Le kesh ou kes est la pratique du sikhisme qui consiste à ne pas couper ses cheveux (ni aucun poil du corps), à les laisser croître naturellement comme symbole de respect pour la perfection de la création de Dieu.
En Inde, il est de coutume de se raser les cheveux et de les offrir aux dieux. Les temples en profitent pour les revendre à des entreprises spécialisées.
Le turban permet de tenir les long cheveux du sikh, qu'il ne coupe jamais, selon la règle du Kesh, par respect pour la perfection de la création de Dieu. Il contient le Kangha, un peigne en bois symbolisant le fait que le sikh prend soin de ses cheveux.
Le turban est un symbole d'unité
La plus grande vocation des sikhs d'afficher le turban est qu'il représente leurs croyances. La justice pour tous, l'égalité et une notion radicale de compassion.
Drogues: les consommations d'alcool, de drogue, de tabac sont prohibées. Adultère: la fidélité est de rigueur dans le sikhisme.
La religion sikhe est strictement monothéiste. Ses adeptes croient en un seul Dieu suprême, absolu, infini, éternel, créateur, la Cause des causes, sans inimitié, sans haine, à la fois immanent et transcendant. Il est appelé : le Guru suprême (ou en langage courant, « Quel Dieu ! »).
Les hommes ainsi initiés sont appelés « Singhs » (lions) et, au fil du temps, sont tenus, en tant que membres du Khalsa, de rester fidèles aux cinq kakas (les cinq K) : de ne jamais se couper ni les cheveux ni la barbe (kesh) et de porter un peigne (kangha) symbolisant la propreté, un bracelet de métal (kara), une ...
Singh est un nom de famille d'origine indienne souvent assimilé aux Sikhs. Issu du mot sanskrit sinha, Singh signifie « lion ». On retrouve ce terme dans le nom de la cité-État de Singapour, qui est « la ville du lion ».
Porté depuis l'Antiquité et notamment par les Perses, le turban est présent dans toutes les cultures et traverse l'histoire. Marqueur religieux, il n'en est pas moins, un accessoire de mode.
La religion Sikh a vu le jour au XV e siècle dans la région du Pendjab et le pendjabi est la langue principale parlée par les Sikhs. La plupart des portions du Guru Granth Sahib utilise le pendjabi écrit en gurmukhi, bien que le pendjabi ne soit pas la seule langue utilisée dans l'écriture Sikh.
Dans le sous-continent indien, le turban est appelé pagri ou pagadi (en hindi : पगड़ी, bengali : পাগড়ি, marathi : पगडी, gujarati : પાઘડી, punjabi : ਪੱਗ, ourdu : پگڑی). Le pagri porté par les hommes, notamment durant les cérémonies de mariage. Le turban appelé dastar est quant à lui étroitement associé au sikhisme.
Le turban noir est un couvre-chef, accessoire traditionnel dans les pays chiites. C'est une partie de l'habit de tout théologien chiite descendant du prophète de l'islam Mahomet par l'un de ses deux petits-fils, Al-Hassan ibn Ali ou Al-Hussein ibn Ali, fils de Fatima Zahra.
Depuis quelque temps, une association organise un concours intitulé “Mister Singh International”, qui est réservé aux sikhs enturbannés. Les candidats doivent participer entre autres à une épreuve intitulée “Mon turban, ma fierté, mon identité”, où ils sont jugés sur leur façon de nouer le tissu sur leur tête.
En ce qui concerne vos cheveux, vaporisez un peu d'eau de rose sur votre cuir chevelu, puis massez pendant quelques minutes. L'eau de rose favorisera la circulation sanguine et sera aussi bénéfique pour la pousse des cheveux.
Véritable symbole de pureté et d'élégance, les cheveux des femmes indiennes sont à la fois synonymes de chasteté et de fécondité. Une femme doit d'ailleurs porter toujours les cheveux attachés ou nattés, surtout si elle est mariée ou fiancée.
Selon une étude américaine de l'université de Pennsylvanie, les femmes préfèrent les hommes qui assument leur calvitie et se rasent la tête, ce qui leur donnerait une allure plus virile.
Le foulard se distingue de voile par sa taille, il est plus petit que le voile et il est plus épais. Le voile sera porté sur la tête et le foulard, il se porte noué autour du cou principalement. Il peut être rectangle ou carré alors que le voile, elle est toujours rectangle et jamais carré.
Première charte de la laïcité à l'école (septembre 2013)
Le port de signes ou tenues par lesquelles les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse est interdit ». Cette charte devra être visible dans les établissements d'enseignement public : écoles primaires, collèges, lycées.
En tant que jeune fille ou femme, il est alors possible de porter un turban pour aller en spectacle, faire des courses, aller au boulot ou même en vacances. Il vous permet de cacher votre ancienne coiffure, vos cheveux en mauvais état ou encore votre cuir chevelu rongé ou abimé par un traitement de chimiothérapie.
Il arrive que des Indiens abandonnent leur nom de famille lié à la caste et adoptent leur middle name (deuxième prénom) comme nom de famille, dans leur lutte contre la ségrégation liée au castéisme. M'enfin, d'après mon Indien préféré, au moment de se marier, ils se rappellent tout à fait leur caste.
L'Inde est un pays spirituel et de nombreuses religions s'y sont développées : l'Hindouisme, l'Islam, le Jaïnisme, le Christianisme, le Sikhisme, le Bouddhisme et enfin le Judaïsme.
Un Sikh est ainsi censé prier trois fois par jour : tôt le matin, le soir et avant de se coucher. Les textes de ces prières sont tirés du Gurū Granth Sāhib et du Dasam Granth. Un Sikh doit également se rendre aussi souvent que possible au gurdvārā et y participer aux prières collectives.
Les Sikhs ne forment que 2 p. 100 de la population indienne, soit environ 23 millions d'individus en 2006. 80 p. 100 d'entre eux vivent dans le Panjāb, où ils sont légèrement plus nombreux que les Hindous.
Le kesh ou kes est la pratique du sikhisme qui consiste à ne pas couper ses cheveux (ni aucun poil du corps), à les laisser croître naturellement comme symbole de respect pour la perfection de la création de Dieu.
Le premier livre sacré des Sikhs, l'Ādi Granth, consiste principalement en hymnes écrits par les cinq premiers gurū et par le neuvième, classés selon leur mode musical. Il inclut des compositions de poètes sant et soufis, tels que Nāmdev, Kabīr et Farīd.