L'immense majorité des Amérindiens tués depuis 1492 sont les victimes des épidémies, des mauvais traitements infligés sans dessein meurtrier, des guerres (Indiens contre Indiens, Indiens contre Européens, guerres intercoloniales, civiles et d'indépendance).
L'Histoire a démontré que l'arrivée des colons britanniques était en grande partie responsable du massacre des Indiens d'Amérique. Mais ces derniers sont également responsables de la déportation de tribus ayant accepté les habitudes européennes et ont même mené à la quasi-disparition d'une espèce animale.
En cause : les épidémies – les colons européens amènent des maladies contre lesquelles les Amérindiens ne sont pas immunisés telles que la variole – mais également les famines consécutives au recul du nombre de bisons qui fournissaient une part substantielle de la nourriture des Amérindiens.
À Wounded Knee, dans le Dakota du Sud, la septième cavalerie procède au désarmement des Sioux Lakotas. Officiellement, les Lakotas attaquent les soldats. 300 Indiens dont la moitié de femmes, d'enfants et de vieillards sont tués à coups de fusils et de canons, et 26 soldats sont morts.
Les épidémies, constituent la principale cause de l'effondrement démographique car les Indiens ne sont pas immunisés contre les maladies importées pas les Européens, comme par exemple la grippe, la peste ou la variole.
C'est durant cette période que les premiers anglais s'installent en Inde à des fins commerciales. La colonisation de l'Inde débutera dans les années 1750 avec la prise du Bengale et le pillage de son trésor en 1757. Les britanniques prendront le pouvoir sur le commerce indien en imposant une hausse des taxes.
Oui, il existe encore des indiens, mais ils vivent dans de grandes réserves souvent éloignées de leurs terres d'origine. Ils vivent aussi dans les villes américaines.
Les Sioux sont sans doute les plus belliqueux des Indiens des plaines, avec les Blackfeet. Le mot « sioux » vient d'ailleurs de la contraction d'un nom algonquin, francisé par les trappeurs français, « nadowesiou », qui signifie « ennemi, serpent venimeux ».
Tatanka Yotanka,aussi appelé Sitting Bull (1834-1890)Chef et homme-médecine des Sioux Hunkpapas Tetons,Chef indien le plus célèbre sans doute avec Pontiac et Tecumseh,Sitting Bull joua un rôle prédominant dans la résistance indienne.Il y fut poussé par les violations de contrat incessantes de la part du gouvernement et ...
1622-1632 : deuxième guerre anglo-powhatan. Débute par le massacre de 347 colons à Jamestown. 1636-1638 : guerre des Pequots. Cette guerre est liée aux premières traces de recours à l'esclavage en Nouvelle-Angleterre, contemporaines d'autres en Virginie et au décret de 1636 sur l'esclavage à vie à la Barbade.
Dès le XVIème siècle, ils se mettent à voler les chevaux aux espagnols et attrapent des maladies au contact des blancs qui décime des populations. Ces indiens, se peignaient le visage ainsi que certaines parties du corps et les blancs, en les découvrant, les surnommèrent les peaux rouges.
En Amériques Centrale et du Sud, beaucoup d'Indiens furent exploités dans des mines et des plantations, parfois réduits en esclavage quand ils voulaient résister à la déculturation et à l'ethnocide qui étaient des constantes coloniales.
Les Indiens d'Amérique sont en fait les premiers habitants du continent américain. Lorsqu'il découvrit l'Amérique, Christophe Colomb les appela « Indiens » car il croyait avoir accosté en Inde !
L'étude montre ensuite l'impact de cette hécatombe sur le climat de la planète. Un territoire équivalent à la France était autrefois cultivé par les civilisations amérindiennes. Avec leur disparition, les terres sont redevenues des friches, entraînant notamment une repousse du même type que celle des forêts premières.
Selon cette théorie, longtemps hégémonique, les premiers Américains sont venus d'Asie, il y a 13 000 ans, via le détroit de Bering alors asséché. Cette thèse est en passe d'être détrônée par la datation longue : les premiers Américains seraient plutôt arrivés dès - 30 000 et peut-être même bien avant.
La population indienne est rapidement décimée, par les violences et le travail forcé, mais surtout par les maladies: au milieu du XVIIe siècle, elle ne comprend plus qu'1,5 millions de personnes.
Les celtes
Les Celtes regroupent plusieurs peuples de l'antiquité de Grande-Bretagne et France. Et c'est probablement les gens qui se rapprochent le plus de l'image mentale que vous vous faites des barbares.
Quanah Parker, chef des Comanches.
Alors qui est la personne née en Inde la plus connue dans le monde selon vous ? Mais bien sûr, Mahatma Gandhi ! Top personnalité née en Inde (et indienne) le 2 octobre 1869 à Porbandar (dans le Gujarat), sa date de naissance est même un jour national s'il vous plaît !
Horum omnium fortissimi sunt Belgae (littéralement « De tous ceux-là les plus courageux sont les Belges», souvent traduite littérairement en français par « De tous les peuples de la Gaule, les Belges sont les plus braves. ) est une locution latine.
Tous ces peuples, innombrables, universels, divers, Dieu les a créés simples, sans malveillance ni duplicité : plus humbles, plus patients, plus pacifiques que quiconque au monde, d'une santé plus délicate, ni orgueilleux, ni ambitieux, ni cupides.
Sitting Bull (Tatanka Iyotake, signifie littéralement en lakota « bison qui s'assoit ») est un chef sioux d'une tribu nommée Hunkpapa Lakota (né en 1831; mort le 15 décembre 1890 dans la réserve de Standing Rock, Dakota du Sud).
Peau-rouge est un terme utilisé par le passé pour désigner les Amérindiens aux États-Unis et les Premières nations au Canada. Ayant subi une péjoration au cours du XIX e siècle et au XX e siècle, le terme est en désuétude.
Dans les îles Andaman, en Inde, la tribu la plus isolée au monde vit seule depuis plus de 55 000 ans.
Le terme Amérindiens désigne les premiers occupants du continent américain (avant l'arrivée des Européens). On dit aussi les Indiens d'Amérique ou tout simplement Indiens, mais ce dernier terme est à éviter hors contexte, car les Indiens sont aussi les habitants de l'Inde.