La présence italienne en France remonte au Moyen Âge avec les marchands établis dans les villes des foires de Champagne et avec les banquiers lombards. Dès la Renaissance, affluent artisans et artistes toscans, peintres ou architectes, attirés par les papes avignonais et les princes mécènes.
La première vague d'émigration italienne remonte à la fin du XIX e siècle, notamment en Savoie, avec l'arrivée de paysans en provenance du Frioul, du Piémont, de Gênes. Après la Première Guerre mondiale, une nouvelle vague est formée de migrants chassés par la pauvreté, et de réfugiés politiques.
Un véritable flot de départs pour fuir la misère, qui ralentit avec le miracle économique de l'après-guerre mais ne se tarit pas. Ils sont encore 1 million d'Italiens à franchir les frontières de leur pays dans les années 1970 et un demi-million dans les années 1980.
La France, terre d'accueil
De 63 000 en 1851, le nombre des Italiens passent à 240 000 en 1881 puis à 330 000 en 1901, dépassant à ce moment les Belges pour devenir la première nationalité étrangère dans l'Hexagone.
En France, les Italiens s'implantent surtout dans le Sud-Est - En 1900, Marseille compte 25 % d'immigrés italiens - et dans certaines villes de la banlieue parisienne ou de Lorraine. Lors du recensement de 1930, ils représentent un tiers des trois millions d'étrangers présents en France.
De 1900 à 1915, 8 millions d'Italiens sont partis pour travailler dans les mines et usines de France et d'Allemagne, ou encore pour les Etats-Unis. Au sortir de la seconde guerre mondiale, l'Etat lui-même encourageait les travailleurs à plier bagage.
La Lombardie en tête
« Géographiquement, les implantations françaises se concentrent principalement dans le Nord de l'Italie », confirme Business France. La principale région italienne d'implantation économique française est de loin la Lombardie, qui pèse 45% du total dont la majorité dans la Province de Milan.
L'immigration portugaise en France a eu lieu principalement dans les années 1960/1970, pour fuir la dictature et permettre aux immigrés des conditions de vie meilleures. Les migrants portugais étaient parfois surnommés « Les gens des baraques ». La plupart ont commencé à travailler dans le bâtiment.
Les étrangers sur le sol italien depuis 2000
Ainsi, la communauté roumaine (dont on compte plus de 10% de Roms de Roumanie) est devenue la plus importante, tandis que le Maroc et l'Albanie en 2003 sont loin derrière, même s'ils enregistrent une légère augmentation.
Au long du XXe siècle, des centaines de milliers d'Espagnols émigrèrent en France à la recherche de meilleures conditions de vie. L'évolution politique et économique des sociétés de départ et d'arrivée eut une forte incidence sur leur devenir et leur décision de s'installer définitivement ou non dans l'Hexagone.
Le mode de vie de ce pays a été façonné par le caractère de ses natifs. Aussi, ce peuple chaleureux est connu à travers le monde pour son caractère entier et franc. Expansif, il n'hésite pas à rompre la glace avec les étrangers, parfois intimidés par tant de chaleur.
Les premiers Italiens en Belgique étaient des marchands toscans et des banquiers de la Renaissance, puis quelques dizaines d'artisans et d'exilés jusqu'au XVIII e siècle. Au début du XIX e siècle a commencé une petite communauté d'Italiens, presque tous du Nord, dans les principales villes de Wallonie et à Bruxelles.
1860-1870 - Une nation de migrants
Au même moment, et dans un apparent paradoxe, une partie de la population quitte la Péninsule. Ils sont 14 millions lors de cette "Grande émigration" qui s'étend jusqu'à la veille du premier conflit mondial. Ils seront environ 26 millions, entre les années 1860 et les années 1960.
Dans les années 1920, environ 700 000 Polonais arrivent en France à la suite du recrutement fait directement en Pologne par la "Mission française pour le Recrutement de la Main d'œuvre en Pologne" puis à partir de 1924 par la société privée unique "Société Générale d'Immigration" au service du patronat qui réalise de ...
Des centaines de migrants récupérés par les ONG
Selon les médias italiens, le centre d'accueil de ce petit rocher plus proche de l'Afrique que de l'Italie est débordé. D'une capacité d'accueil de d'environ 300 personnes, il en abrite actuellement 1 200, affirme l'agence ANSA.
En 2021, 7,0 millions d' immigrés vivent en France, soit 10,3 % de la population totale. 2,5 millions d'immigrés, soit 36,0 % d'entre eux, sont français. Ils ont acquis la nationalité française depuis leur arrivée en France.
Les villes qui comptent le moins d'immigrés sont principalement des villes de l'Ouest, mais aussi les villes les moins peuplées de la catégorie (celles de moins de 200 000 habitants) : on y trouve ainsi Brest, Caen, Le Mans ou encore Le Havre.
Les États-Unis restent le pays qui abrite le plus grand nombre d'immigrés, 49,8 millions, soit un sur cinq, loin devant l'Arabie saoudite et l'Allemagne (12,2 chacun), la Russie (11,7 millions), le Royaume-Uni (8,8), les Émirats arabes unis (EAU) (8,3) et la France (7,9).
France (658 000) Allemagne (412 000) Espagne (340 000) Italie (294 000)
Cerizay, plus de 20 % de personnes d'origine portugaise
Cette bourgade est considérée comme la ville la plus portugaise de France. Sur 4 800 habitants (au dernier recensement de 2013), 1 000 sont Portugais, et il faut sans doute ajouter au moins 1000 personnes qui ont une filiation avec ce pays du sud de l'Europe.
Affiche actuellement lignes 1 à 6. Concernant les immigrés en situation irrégulière, 16 819 étrangers en situation irrégulière ont quitté le territoire français. Le total des éloignements d'étrangers en situation irrégulière est en légère hausse par rapport à 2020 (13 403 éloignements, soit +8,2% par rapport à 2020).
Huile d'olive et fibres
Par rapport à la France "où la culture culinaire est très riche en graisses, avec les fromages ou le beurre, en Italie la base c'est l'huile d'olive, on a plus conscience que c'est de la graisse, on la voit avant de l'ajouter à un plat", a estimé la nutritionniste.
Ne portez pas de short, de débardeur ou de tongs lorsque vous visitez une église. Dans les lieux sacrés, en Italie, il faut être habillé décemment et il n'est donc pas possible d'y entrer en tenue de plage.
Le coût de la vie en Italie est 9,7 % moins élevé qu'en France. Le pouvoir d'achat local y est cependant 28 % moins élevé. En voyage, prévoyez un budget sur place d'au moins 90 € / jour et par personne.