Ce « Ara » est un terme utilisé par les guetteurs pour avertir les trafiquants de drogue de la présence des policiers.
Ce terme est utilisé par les guetteurs pour avertir les trafiquants de l'arrivée des policiers.
Il a été présenté devant le juge des enfants. Un présumé guetteur a été arrêté dans le quartier de Kercado à Vannes (Morbihan) le jeudi 24 juin 2021. Il s'agit d'un Lorientais de 16 ans qui a été présenté devant le juge des enfants à Lorient.
Le mot Arah nous vient de l'arabe. Il signifie "attention" et est utilisé comme une alerte.
Étymologie de « ara »
Abréviation d'araraca, qui est, au Guarani, le nom de ce perroquet. (1558) Du tupi-guarani ara.
Définition "chouïa"
Petit nombre, petite quantité.
Hostetler, qu'est-ce que tu fous? (هوستيتلر)، ما الذي تفعله؟
Ce « Ara » est un terme utilisé par les guetteurs pour avertir les trafiquants de drogue de la présence des policiers.
22 v'là les flics apparaît au XIXe siècle. Cette expression était utilisée pour donner l'alerte quand la police approchait. 22 était un terme argotique utilisé par les brigands signifiant "couteau". Signification : En droit français, décision de justice qui n'est susceptible d'aucune voie de recours.
حذر! ; إحذر!
ara n.m. Perroquet d'Amérique latine, aux vives couleurs, au bec fort et...
Keuf est un terme péjoratif désignant un homme ou une femme remplissant la fonction de policier. Le terme proviendrait d'une autre expression pour désigner une personne remplissant les missions de police, flic, dont la prononciation inversée donnerait keuf.
« Cette caserne ayant été bâtie sur l'emplacement de l'ancien marché aux volailles de Paris le sobriquet de poulet est alors donné aux policiers », explique le ministère de l'Intérieur sur son site internet. Le surnom est donc d'abord donné aux policiers parisiens avant de s'étendre à tous en France.
Étymologie. Nom 1 : Emprunt supposé au vocabulaire des colonies africaines, du portugais conde (gouverneur), du latin comes, comitis. Selon cette hypothèse, il s'agit d'un mot apparenté à comte. Désigne à l'origine (argot du XIX e siècle) une autorisation, puis celui qui la donne ou la reçoit, enfin un policier.
90 € par jour pour les guetteurs
À un stade intermédiaire, un « gérant » qui a la main sur plusieurs réseaux de revendeurs (à ne pas confondre avec les « charbonneurs ») peut encaisser jusqu'à 250 000 euros par an.
Son montant est fixé à 500 euros, minoré à 400 et majoré à 1000 selon les délais dans lequel l'amende est payée.
Nom commun. (Argot) (Drogue) Dealer qui revend de la drogue au détail.
حسنا، أين (توني) الآن؟
"لكن الآن أعلم أن هذا جيد".
Locution verbale
(Vulgaire) Se désintéresser, n'attacher aucune importance ou être totalement indifférent de la chose ou personne en question, la prendre avec désinvolture.
Étymologie. (1617) Emprunté à l'arabe طَبِیب , ṭabīb (« médecin »), via le maghrébin ṭbib. Terme d'argot militaire au XIX e siècle.
1. En petite quantité. Synonyme : guère, insuffisamment, médiocrement, pas beaucoup.
Plur. : des choux. Mots composés avec chou-. Ces mots prennent un trait d'union et la marque du pluriel aux deux éléments : des choux-fleurs, des choux-navets, des choux-raves. On écrit : soupe, perdrix aux choux, pâte à choux, mais bête comme chou, faire chou blanc.
– Argotique : bourre, roussin. – Familier : hirondelle, shérif. – Populaire : cogne, flic, keuf, perdreau, poulet, vache. – Vieux : sergent de ville.
Schmitt est un terme argotique employé pour désigner un policier, un gendarme. Il provient de l'allemand "Schmitt" qui signifie "forgeron".