Pour Jens Kjeldgaard-Christiansen, dans les fictions, les héros, héroïnes et les méchant•es sont des miroirs de notre réalité. Ils nous disent quelque chose de ce que nous sommes, du fonctionnement de notre monde… Et aiguiseraient nos sens du bien et du mal !
Voici le top 3 des réponses : Pour 36% des personnes interrogées faire de la provocation est le moyen favori pour exprimer sa méchanceté Pour 33% il s'agit de se moquer un peu gratuitement de quelqu'un. Pour 31% c'est la tendance à dire plutôt du mal que du bien.
Besoin de l'autre Nous vivons les uns avec les autres. C'est important d'être en communication avec l'autre pour bien grandir. « Mais parfois, ce rapport à l'autre nous laisse sur notre faim [ne nous satisfait pas]. C'est dans ce contexte-là que l'on devient méchant », précise-t-elle.
« Quand on est petit, on admire les super-héros, quand on grandit, on comprend les méchants »
Les super héros réveillent notre bon côté
Être un héros, c'est faire le bien autour de soi, défendre les justes causes et les êtres plus vulnérables… S'identifier à un être bon nous réconforte dans la personne que nous sommes et nous pousse à être encore meilleur.
Un anti-méchant est l'opposé d'un anti-héros; alors que l'anti-héros se bat souvent du côté du bien, mais avec des motifs égoïstes ; l'anti-méchant joue le jeu du méchant, mais pour une noble cause, du moins à "leurs" yeux, bien que parfois aussi à ceux des autres.
Il s'agit du parfait opposé du héros traditionnel. Ses valeurs sont tout sauf nobles, il n'a aucune qualité héroïque (courage, abnégation, magnanimité…) et ces personnages peuvent être détestables, voire malaisants.
Quand on est petit, on admire les super-héros. Quand on grandit, on comprend les méchants. C'est comme ça que ça marche aujourd'hui.
Qui fait intentionnellement du mal à autrui, qui cherche à nuire : Un méchant homme. Il est méchant avec les animaux. 2. Qui manifeste la volonté de nuire, la malveillance : Une remarque méchante.
Même si la personne qui la reçoit pense qu'elle est gratuite, elle ne l'est jamais au regard de la psychologie. Cette volonté de faire du mal peut être due à des traumatismes liés au passé, à une volonté de revanche, ou au fait de vouloir montrer qu'on a l'ascendant sur l'autre.
Les Français interrogés expliquent qu'ils sont majoritairement prêts à râler souvent (55%) ou à facilement critiquer (53%). Il y a aussi d'autres moyens d'être méchant. C'est par exemple la provocation pour 36% des sondés, la moquerie gratuite (33%) et la médisance (31%).
Regardez-la dans les yeux et dites-lui d'une voix calme et sérieuse : « OK, ça suffit maintenant, je sais que tu crois que c'est drôle, mais ça m'énerve, je voudrais que tu t'arrêtes ». Si elle ne s'arrête pas tout de suite, vous pourriez lui dire : « je te demande sérieusement de t'arrêter » avant de partir.
Méthode 2 sur 3: Ignorer la provocation. Faites comme si vous n'entendez pas. L'une des stratégies pour faire face aux provocations consiste à faire semblant de ne pas entendre ce que les brutes disent, afin de pouvoir transformer cela en blague.
Le héros négatif Ses actions : la corruption, la destruction Ses attributs moraux : immoral ou amoral, violent, souvent sans états d'âme On le trouve souvent présenté en opposition au héros positif.
S'il débute en étant mauvais, sadique, violent et cruel, notamment envers les autres héros de l'univers Marvel qu'il regarde de haut avec un dédain non dissimulé, il s'essaie toutefois brièvement à un comportement héroïque même si ses méthodes restent les mêmes, c'est à dire plutôt discutables.
Un don hors du commun
L'antihéros le plus sombre possède bien souvent une particularité qui le distingue des autres protagonistes. Une fois de plus, il s'agit là d'une des façons de faire de lui un personnage captivant. Donnez-lui une qualité qui le rend unique pour qu'on ait envie de voir comment il va s'en servir.
Personne qui joue le rôle principal dans une affaire, qui en est l'instigateur : Le protagoniste d'un projet. 3. Chacune des personnes, chacun des groupes qui sont en lutte, en concurrence, etc. : Les protagonistes d'un conflit.
Anti-héros tourmenté
Incarnant le mal absolu malgré l'absence de super-pouvoirs, le Joker reste le méchant le plus fascinant des Comics. Cette figure nihiliste ne recherche pas l'argent ni même à diriger le monde : seulement faire régner le chaos.
Anti-héros classique : Un protagoniste médiocre, pleutre, sans aucune confiance en lui et/ou sans aucun talent particulier. Exemples : Bilbon, des films Le Hobbit ; Naruto Uzumaki dans le manga Naruto ; Tsunayoshi Sawada du manga Reborn!
La meilleure réponse que l'on puisse donner à ce type de personnes consiste à leur donner une leçon de bonté. Il s'agit là de la réaction la plus juste et la plus respectueuse que l'on puisse avoir face à ce type de comportement.