Même dans un contexte comme celui qu'est l'année 2023, il reste d'excellentes opportunités d'investissement locatif en France. Les prix ne baissent pas partout et les taux d'intérêt encore très inférieurs à l'inflation font que sur le long terme vous serez gagnant.
La conjoncture n'est pas optimale
Hausse des taux d'intérêt, prix de l'immobilier en baisse, stagnation de la demande locative, restriction des banques face au taux d'endettement maximum…. La conjoncture n'est pas optimale. Il est préférable de ne pas investir dans l'immobilier pour l'instant.
L'immobilier est le placement préféré des Français, devant les placements financiers car il donne une impression de stabilité. L'investissement immobilier peut être très intéressant actuellement en raison des taux bas, et des outils de défiscalisation à votre disposition.
Cependant, le recul des prix immobiliers est bien réel. Selon une étude de Terra Nova publiée le 30 mai 2023, la valeur de l'immobilier d'habitation pourrait bel et bien chuter de 20 % à fin 2023.
Des conditions d'emprunt plutôt favorables et une demande soutenue. Malgré les fluctuations économiques et l'inflation, les taux d'emprunt restent à un niveau raisonnable en 2024. Cette situation incite les acquéreurs à investir dans l'immobilier, ce qui crée une demande soutenue sur le marché.
La Bourgogne : Cette région verra les températures évoluer vers un climat plus Méditeranéen. Elles bénéficie par ailleurs d'un cadre varié et propice au bien-être (vignes, forêts, lacs, etc…). Des villes comme Dijon ou Maçon ou encore Beaune vont ainsi devenir incontournables.
Par exemple, en 2050, l'océan Atlantique pourrait avoir grignoté les côtes de l'estuaire de la Gironde. Saint-Nazaire, Nantes et les rives de l'estuaire de la Loire risquent de ne pas être épargnées non plus, et Noirmoutier pourrait être engloutie.
Les experts s'accordent à dire que le moment est idéal pour investir dans l'immobilier en raison du contexte inflationniste. Les prix ne vont d'ailleurs probablement pas s'effondrer et les taux d'intérêt devraient se stabiliser. Alors, si vous avez un projet d'achat immobilier, c'est le moment ou jamais !
En 2024, plusieurs tendances majeures sont à observer sur le marché immobilier. La baisse des prix de l'immobilier devrait se poursuivre, avec une estimation moyenne de -4%.
En général, la rentabilité d'un investissement locatif varie de 2 à 8 %. Dans certains cas, elle peut aller au-delà de ce taux et atteindre 10 %. Ainsi, comparé aux autres types de placement, l'immobilier assure une rentabilité élevée et un cash-flow positif.
Chez Meilleurs Agents, par exemple, on anticipe au cours de l'année 2024 un recul des prix de l'immobilier d'environ 4% en moyenne au niveau national, «soit une baisse deux fois plus importante qu'en 2023», précise le groupe.
La médaille d'or revient à Villeneuve-Saint-Georges, dans le sud du Val-de-Marne. "Avec 6,8%, la commune présente une rentabilité brute (avant les charges, ndlr) parmi les plus élevées au sein des villes de plus de 20.000 habitants en France au 1ᵉʳ février 2024", écrit SeLoger.
En 10 ans, les prix moyens de l'immobilier ont largement progressé en France métropolitaine. Selon l'INSEE, l'indice des prix des logements a connu une hausse de près de 30 % entre 2013 et 2023, pour l'ensemble du territoire métropolitain, tout type d'habitat confondus (maison et appartements, neufs et anciens).
A contrario, l'extrême nord du globe semble passer entre les mailles du filet d'ici 2040 : le Canada, la Russie, les pays scandinaves, le Groenland mais aussi ceux de la Grande Muraille verte d'Afrique et le Brésil utiliseront moins de 19 % de leurs ressources en eau.
D'ici à 2050, ceux d'Auvergne-Rhône-Alpes, de Bourgogne-Franche-Comté et d'Occitanie seront les plus éprouvés par ces vagues de chaleur torride, alors que les populations des zones littorales seront encore assez préservées.
Parmi les grandes villes les plus à risque entre 2020 et 2050, on trouve Le Havre (de loin la grande ville la plus menacée), Caen, Bordeaux, Arcachon, Deauville, Bayonne, Toulon et Sète. « Au Havre, par exemple, 3,6 % des biens vendus entre 2016 et 2021 vont devenir inondables avant 2050 », selon le cabinet Calendar.
Comme lors des deux précédents classements, Angers et Guéthary conservent leur première place dans ce classement qui met à l'honneur les villes moyennes. Le bruit des vagues, les plages de sable fin, l'immensité de la forêt landaise : la côte ouest n'a pas fini de faire rêver les Français en quête d'une meilleure vie.
Privilégier le centre-ville
Quand on a étendu les villes en créant des zones pavillonnaires, on a créé des zones de risque. Les extensions des communes sont aujourd'hui les plus exposées aux impacts croissants du réchauffement climatique : vent, inondations sécheresses, canicules et même incendies.
Les Glénan, Molène, la côte du Pays bigouden, L'Île-Tudy, Fouesnant, le littoral autour de Morlaix ou encore Landerneau pourraient se trouver sous les eaux en 2050… Dans sa dernière étude, l'association Climate Central montre un littoral finistérien grignoté par la mer.
Louer sa résidence principale permet d'avoir un logement plus grand et de rester mobile. En l'absence des frais liés à l'achat d'un bien, il est possible de constituer une épargne plus facilement.
Le nombre de ventes de logements anciens baisse nettement à 955 000 ventes sur douze mois à fin août 2023 (soit -17% sur un an), et les prix se sont infléchis et s'inscrivent en légère baisse. L'inflation a légèrement reflué mais reste élevée : 4% en septembre 2023.
Ainsi vendre en 2024 peut jouer en votre faveur plutôt que d'attendre avec incertitude que les prix immobiliers repartent à la hausse. Vous souhaitez découvrir la valeur de votre bien ? Obtenez une estimation 100% gratuite, en quelques clics seulement !