« Les problèmes d'addiction sont répondus chez les musiciens classique pour plusieurs raisons. Il y a d'abord le mode de vie, les horaires décalées, le travail le week-end, la vie après le concert…
Ces personnes, qu'elles soient écrivaines, actrices ou chanteuses, consomment des drogues pour oublier leurs souffrances ou pour combler un vide ou un sentiment de mal de vivre qui les habite.
Avec des substances de plus en plus dures et des effets dévastateurs, comme en témoigne la longue liste des artistes qui ont fini par tomber dans la dépendance et y laisser leur peau : Jim Morrison, Janis Joplin, Billie Holiday, et plus récemment Whitney Houston, qui s'est noyée dans sa baignoire après avoir absorbé de ...
Parfois, les gens décident de prendre de la drogue pour se détendre, avoir du plaisir, vivre une expérience commune avec des amis ou célébrer une occasion spéciale. Il arrive qu'ils se rendent compte qu'ils prennent de la drogue plus souvent quand ils se tiennent avec certaines personnes.
C'est que la liste des raisons pour lesquelles il semble nécessaire de le faire est fournie : la drogue développerait l'immoralité, ferait perdre le goût du travail, ruinerait la santé physique et mentale des personnes, conduirait à la délinquance, causerait l'échec scolaire, détruirait les familles, aggraverait l' ...
Il faut savoir aussi qu'un toxicomane est un menteur "professionnel". S'il s'énerve quand vous le mettez face à ses mensonges, c'est parce qu'il culpabilise de ne pas vous avoir dit la vérité. Sans doute est-il aussi culpabilisé par sa faiblesse et son manque de résistance.
Les substances psychoactives libèrent la dopamine qui active différentes zones du cerveau reliées entre elles (circuit de la récompense). Cette libération de dopamine procure un afflux de plaisir et en contrepartie de ce plaisir, la substance va demander au cerveau de continuer de consommer.
L'addiction résulte de l'interaction de facteurs personnels et environnementaux. Elle peut aussi être favorisée par la consommation de certaines substances ou la présence de troubles psychologiques.
Risques liés à la consommation de GHB
Même si le GHB n'est pas connu comme une drogue dangereuse, son utilisation est associée à : l'ébriété la perte d'inhibition. la perte de mémoire.
Elle s'accompagne d'une descente brutale : quand on n'est plus sous l'influence de la méthamphétamine, on se sent fatigué, déprimé, nerveux et très irritable; on transpire abondamment et on se sent affamé.
De nombreuses célébrités ont publiquement évoqué leur dépendance à cette substance qui, comme toute drogue, est avant tout délétère. Pierre Palmade, Johnny Hallyday, Thierry Ardisson, Frédéric Beigbedder, Samy Naceri, Rose…
Christine Bravo, Elodie Frégé, Véronique Sanson, François Cluzet... Plusieurs célébrités françaises ont avoué être dépendantes à l'alcool.
Benoît Magimel, Pierre Palmade, Thierry Ardisson... Pour faire la fête, se détendre, se couper du monde quelques heures... Plusieurs stars françaises ont confirmé avoir déjà pris de la drogue. Cocaïne, héroïne...
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.
Ces blancs se produisent lorsqu'une personne boit suffisamment d'alcool pour bloquer temporairement le transfert des souvenirs du stockage à court terme au stockage à long terme, ce que l'on appelle consolidation de la mémoire, vers une région du cerveau appelée hippocampe.
Les pupilles dites "en tête d'épingle" sont caractéristiques d'une prise d'opiacés alors que la cocaïne dilate plutôt les pupilles. Le mélange de cocaïne et d'héroïne, qui s'appelle le "speed ball", a pour but de compenser les effets d'endormissement de l'héroïne.
Le tabac, puis l'héroïne, la cocaïne ou l'alcool sont ainsi les produits les plus à risque et dont la consommation problématique est la plus fréquente. Concernant les jeux vidéo, ceux « en réseau », notamment en mode multi-joueurs, sont réputés plus addictogènes que les autres.
Être « addict » n'est pas une fatalité. En cas de consommation à risque ou de dépendance, un accompagnement par des professionnels renforce les chances de succès. Partager : Toute personne ayant une consommation problématique ou vivant dans l'entourage d'une personne en proie à des addictions peut se faire accompagner.
Les paramètres influençant la consommation sont le sexe, l'âge, le niveau d'éducation, la classe socio-économique, l'absence d'activité.
Parmi les activités qui poussent le corps à synthétiser de la dopamine, le sport en est champion. En effet, l'activité physique active la zone de récompense, ce qui libère de la dopamine et procure une sensation de bien-être en fin de séance.
L'hygiène de vie joue directement sur la sécrétion de dopamine : Pratiquer une activité physique régulière. Passer du temps à l'extérieur, à la lumière (les rayons du soleil permettent d'activer l'expression de la tyrosinase, l'enzyme intervenant dans la transformation de la Tyrosine en dopamine).
La voie de connexion en question relie le cortex orbitofrontal au striatum dorsal. L'inhibition artificielle de ce circuit entraîne d'ailleurs une disparition immédiate du comportement compulsif. « Nous avons identifié une adaptation du cerveau associée au dernier stade de l'addiction, explique Christian Lüscher.
Le toxicomane va se débrouiller pour trouver le désir et le plaisir dans un objet qui reste totalement contrôlable et à sa merci : ainsi croit-il qu'il n'en dépendra pas puisqu'il le contrôle : l'objet inerte, non désirant, sera la drogue. Le toxicomane se pense donc auto-suffisant avec son produit.