La principale fonction du vol n'est pas de s'amuser, mais bien de survivre. Les oiseaux volent pour chercher de la nourriture, pour capturer leurs proies ou pour s'échapper d'un prédateur.
Pour voler, l'oiseau s'aide aussi de deux forces : la poussée quand il bat des ailes, qui lui donne de la force pour avancer, et la P-O-R-T-A-N-C-E. Qu'est-ce que c'est, la portance ? C'est le fait d'être « soulevé » par l'air malgré son poids, du fait de sa vitesse et de la forme de ses ailes.
L'oiseau ne fournit aucun effort pour s'accrocher. C'est automatique. Dès que les capteurs des pattes détectent la présence d'un support à agripper, les tendons fléchisseurs le saisissent. Ils verrouillent par ailleurs les griffes qui sont ainsi bloquées en position fermée avec une force très importante.
Les ailes :
La fonction de l'aile est à la fois de contrebalancer la pesanteur (grâce à sa forme Qui offre peu de résistance à l'air e) et de propulser le corps de l'animal (grâce aux muscles pectoraux très développés qui assurent les battements d'ailes).
La raison essentielle de ces regroupements est la défense contre les prédateurs. Par exemple, quand les étourneaux sont effrayés, ils s'élèvent, se rassemblent et volent en formant la masse la plus compacte possible. Un rapace évite de fondre sur ce groupe de crainte de se blesser.
Avant que la pluie ne se produise effectivement, l'humidité de l'air augmente et pèse sur les insectes qui volent donc plus bas, plus près du sol. Les oiseaux suivent logiquement leurs proies.
Si vous avez déjà eu la chance d'observer une nuée d'oiseaux, appelée « murmuration » en anglais, vous savez à quel point le phénomène est captivant. Prenant la forme d'un énorme nuage dansant dans le ciel, les oiseaux se rassemblent et performent un ballet aérien à couper le souffle.
Ils trouveront refuge dans de grands arbres, sur de grands troncs qui, au moins, les abriteront du vent fort. Et ils resteront fermement perchés tout le temps qu'il faudra. Certains vont au sol, dans les cavités, derrière de grosses roches, dans les creux des ravines, etc. Où le vent est moins fort.
Oui. Ce positionnement vers la gauche est plus ou moins marqué selon que les espèces sont quadrupèdes, comme la presque totalité des mammifères, ou peuvent tenir une position verticale tels les primates ou les oiseaux.
L'aile des oiseaux a inspiré aux hommes le profil des ailes des aéronefs. Les ailes doivent battre rapidement pour permettre le décollage. Elles servent aussi à maintenir les oiseaux en l'air, en utilisant les courants aériens. Il est facile d'observer des mouettes semblant flotter dans les airs sans battre des ailes.
Si vous vous demandez si les oiseaux dorment la nuit, la réponse est oui, la plupart d'entre eux le font. Comme les humains, la plupart des oiseaux sont diurnes, ce qui signifie qu'ils sont actifs pendant la journée et dorment la nuit.
Pour dormir, les oiseaux privilégient avant tout les lieux chauds et en hauteur. Ils peuvent dormir dans des arbres au feuillage dense, dans les creux des murs ou même sur l'eau pour les canards.
Lorsque les oiseaux font une sieste, leur posture ne semble pas du tout confortable. Ils dorment souvent sur une patte ou en équilibre sur une branche mince, et pourtant ils parviennent à rester bien droits.
Le record de hauteur de vol détenu par un oiseau – un vautour de Rüppel sans doute – est de 11 300 mètres ! On le sait car il a détruit le moteur d'un avion en Afrique de l'Ouest lors d'une collision !
Le résultat, surprenant, montre que le vol groupé optimise l'itinéraire des oiseaux au prix d'une dépense d'énergie supplémentaire considérable. On sait que les oies, les canards et d'autres oiseaux migrateurs volent en V pour économiser de l'énergie et parcourir plus efficacement de longues distances.
Article détaillé : Squelette des oiseaux. De nombreux os sont creux avec des structures internes pour en assurer la résistance. Le nombre d'os creux et leur répartition dans le squelette dépendent des espèces. Les espèces non volantes comme les Spheniscidae et les Struthionidae n'ont que des os pleins.
Ainsi, les Oiseaux qui mangent du nectar et de petits insectes collectés dans les fleurs ont une langue très longue, plus ou moins divisée en deux ou quatre lanières parfois enroulées sur elles-mêmes pour former un tube et terminées par des poils fins qui jouent le rôle d'une brosse.
La mandibule supérieure laisse apparaitre deux orifices respiratoires (narines) de formes différentes selon les espèces. Malgré ces narines, les oiseaux n'ont pas ou peu d'odorat.
Chez les Oiseaux actuels, les mâchoires sont revêtues d'un étui corné qui s'étend sur les intermaxillaires et qui remplace les dents. Chez les palmipèdes lamellirostres, cet étui corné forme des replis saillants qui simulent de véritables dents et servent à l'Oiseau pour retenir la proie qu'il a saisie.
Pendant l'orage, certains oiseaux comme le martinet volent au dessus des nuages ou s'éloignent pour éviter l'orage. Les autres se cachent dans des arbres ou derrière des rochers pour éviter les endroits où il y a le plus de vent.
Les troglodytes, les rouges-gorges et les mésanges aiment passer la nuit dans les buissons ou les nichoirs, mais les mésanges recherchent souvent d'autres refuges, par exemple sous les caissons des stores. Les merles ne sont pas très sélectifs, ils dorment dans les haies, les buissons ou les arbres.
Certains oiseaux, comme les moineaux, se blottissent les uns contre les autres. D'autres dorment dans le creux d'un arbre ou dans le feuillage d'une conifère. Les gélinottes et les perdrix ont une autre astuce : elles s'enfoncent sous la neige où il fait plus chaud qu'à l'extérieur.
En l'absence de toute autre information, l'oiseau qui cherche naturellement un hiver doux vole vers le sud. Ainsi les étoiles donnent-elles, semble-t-il, la direction d'ensemble tandis que les informations magnétiques du moment permettent d'affiner la trajectoire.
Chaque soir, ils choisissent un « arbre dortoir » souvent en ville principalement pour se mettre à l'abri des prédateurs.
Bonsoir , comme dit GriseBarbe , pour repérer quelques éventuelles proies , mais en empruntant les vents ascendants pour s'économiser , sans battements d'ailes .