Les rastas considèrent alors que leur terre devient un « enfer terrestre », une terre de captivité et d'esclavage. L'île devient alors la Babylone des Caraïbes, le symbole de leur emprisonnement.
1842 : Babylone [...] [a] dans l'Écriture, se dit pour signifier, Un lieu de désordre et de crimes. [b] Dans le langage de la chaire, il veut dire Le monde. C'est une Babylone.
Considérée comme une religion ou mode de vie pour d'autres, les rastas évoquent Babylone comme le retour de l'empirisme et de la domination avec la consommation occidentale dont ils se sentent piégés, et c'est précisément ce que veut mettre en avant Népal dans son morceau.
Dans cette langue, le nom même de Babylone signifie « porte des dieux » (de Bab, porte, et El, Dieu). Autant dire que cette ville est dès sa création vouée à un destin exceptionnel !
Sous sa graphie latine « Jah », le terme est le nom utilisé pour désigner Dieu dans la foi Rastafari (les rastas disent même « Jah Rastafari »).
Les membres du mouvement Rastafari utilisent le cannabis comme une partie de leur culte du Roi, Haïlé Sélassié Ier d'Éthiopie, et comme une aide à la méditation.
La viande, considérée comme un aliment mort, ne remplirait pas ce rôle et, selon la croyance rastafari, sa consommation transformerait même le corps en 'cimetière'. Pour signifier que le mets est préparé dans l'esprit des disciples de Jah, on rajoute le mot ital (de l'anglais vital) : soupe ital, omelette ital, etc.
Dans les Chroniques de Tabari ( IX e siècle), Nemrod fait construire une tour (sarh) à Babil, afin d'attaquer Dieu « au ciel, sur son propre terrain ». Mais Dieu détruit la tour et le langage unique de l'humanité, qui était le syriaque, est confondu en 72 langues.
Présentation. Le nom de Babel, ou Babylone, désigne la ville où fut érigée la fameuse tour évoquée dans la Genèse. La ville comme la tour ont réellement existé, trois millénaires avant Jésus-Christ, et il n'en reste rien aujourd'hui qu'un immense champ de ruines sur le site antique de Babylone en Irak.
C'est aujourd'hui un site archéologique majeur qui prend la forme d'un champ de ruines incluant des reconstructions partielles dans un but politique ou touristique. Elle est située sur l'Euphrate dans ce qui est aujourd'hui l'Irak, à environ 100 km au sud de l'actuelle Bagdad, près de la ville moderne de Hilla.
Mouvement religieux et politique né en Jamaïque dans les années 1930 à l'instigation de Leonard Percival Howell et adopté par de nombreux groupes dans le monde entier, le rastafarisme mêle des éléments du protestantisme, du mysticisme et du panafricanisme.
Babylone est le nom d'une ville antique de Mésopotamie située sur l'Euphrate à environ 200 kilomètres au sud-est de l'actuelle Bagdad (Irak), près de la ville moderne de Hilla. Le nom de « Babylone » est parfois utilisé pour désigner la totalité de l'empire babylonien.
Leonard Percival Howell fut le fondateur du culte rastafarien qui inspira Bob Marley et le reggae. Le leader jamaïcain aurait 100 ans. Redécouverte. culte qu'a fondé Howell paraît l'un des mieux répartis sur les cinq continents: il y a des rastas du Japon aux Antilles, de l'Australie au Brésil.
Selon la Bible, les hommes de Babylone ne parlaient auparavant qu'une seule langue et ne formaient qu'un seul peuple. Un jour leur vint à l'idée de construire une tour qui atteindrait les cieux par sa hauteur, et leur permettrait ainsi d'accéder directement au Paradis.
Babylone fut fondée un peu avant le règne de Sargon d'Akkad, appelé aussi Sargon le Grand (r. 2334- 2279 AEC), qui dit avoir construit des temples à Babylone (d'autres sources anciennes semblent indiquer que Sargon fonda la cité elle-même).
L'abandon de Babylone au IIIe siècle après JC
La cité cesse alors peu à peu d'être une ville majeure. L'invasion sassanide au IIIe siècle ap JC précipite Babylone dans sa chute. Bien que les ruines de la cité antique soient aujourd'hui dans un état de dégradation avancée en Irak, Babylone reste immortelle.
L'impact de la destruction de Babylone tient principalement à son prestige culturel et religieux. En effet, à l'époque qui nous intéresse, « l'aura culturelle de Babylone dépassait largement sa puissance politique ou militaire » [15] Saggs, Au temps de Babylone, D. -A.
La tour de Babel a réellement existé. C'était une ziggourat édifiée à Babylone, à une centaine de kilomètres au sud de l'actuelle Bagdad, vers 1500 avant notre ère. Comme tous les édifices de ce genre, cette tour avait une fonction sacrée, bien marquée par son nom, « La Maison du Fondement du Ciel et de la Terre ».
La langue d'Adam était pour lui le flamand, qu'auraient conservé les descendants de Noé parce qu'ils n'avaient pas participé à l'entreprise de la Tour de Babel. Les Anversois, en particulier, parleraient donc encore la langue adamique, qui était germanique…
La hauteur de l'ensemble s'établit donc à 90 mètres, et la tour à étages se présente comme une pyramide parfaite, s'inscrivant dans un cube aux arêtes de 90 mètres. Au cœur de la ville de Babylone, entre le début du 6e et le début du 5e siècle av.
Dans la Bible, la ville de Babylone est souvent personnifiée, sous une forme féminine, et se caractérise par un luxe tapageur et une immoralité foncière mais aussi la promesse d'un destin funeste lorsque Yahweh aura décidé de renverser le cours de l'histoire: en 539 av. J. -C.
Babel est un autre nom de Babylone dans la Bible. Le mot Babel a deux origines possibles : En hébreux, Babel vient du mot "BLBL" qui signifie "bredouiller" ou "confondre". En akkadien (langue antique de la Mésopotamie) il vient du mot Bāb-Ilum qui signifie "Porte de Dieu".
Relatif au rastafarisme ; adepte du rastafarisme. 2. Qui concerne ou qui rappelle la culture (musique reggae) ou les coutumes (cheveux tressés par exemple) des rastafariens ou des musiciens jamaïcains de reggae qui les ont popularisées.
Pour devenir rasta, il faut avant tout la volonté de faire le bien autour de soi. En voulant être membre du mouvement rastafari, on respecte les principes spirituels de cette idéologie mais l'on doit surtout croire en sa personne et aux autres. Tout cela grâce à la musique, l'amour et la méditation.
La chair animale, vendue pour la consommation humaine, est donc définie – par le mouvement rastafari – comme un « poison », qui nourrit l'agressivité humaine, les famines dans le monde, l'obésité et la plupart des maladies.