À la base, le bitume est un hydrocarbure formé suite à l'accumulation du plancton au fond des couches sédimentaires. Seulement 30% du pétrole brut peut être utilisé pour la fabrication de routes bitumées. Ce bitume apte à servir de revêtement de routes est principalement constitué de carbone.
On désigne ce phénomène sous le nom de ressuage. Quand les degrés montent, des plaques noires peuvent recouvrir la chaussée : le liant, qui compose la route, remonte à la surface. Des zones de moindre adhérence apparaissent alors, mettant à mal la sécurité des usagers de la route, en particulier pour les deux-roues.
Les routes sombres sont des îlots de chaleur qui peuvent entraîner une augmentation de 10 à 20 degrés par rapport à un sol clair.
Les cycles de gel et dégel, plus fréquents avec les changements climatiques, contribuent à une déformation des chaussées qui rend plus ardu le passage des véhicules et diminue leur durée de vie.
L'asphalte, également appelé béton bitumineux, est un mélange de gravillons, de sable, de fillers et d'un dérivé du pétrole : le brai.
Les routes bitumées modernes sont constituées à seulement 5% de bitume. Les 95 % restant des matériaux entrant dans la composition des routes sont constitués de granulats, un ensemble de matériaux rocheux concassés.
Couleurs & aspects
Ces pigments proviennent d'oxydes métalliques et sont mélangés au bitume lors de la fabrication. Par exemple, l'enrobé rouge est composé de bitume auquel on ajoute de l'oxyde de fer.
Cela peut être dû à un problème de combustion : dans un moteur diesel, un excès d'injection de gazole ou un manque d'air provoquent une combustion de mauvaise qualité et donc un flot de fumée noire. Cela peut être lié aussi à une vanne de recirculation des gaz d'échappement obstruée.
Les différences proviennent de leur origine, car si le bitume est un produit dérivant du pétrole brut, la poix et le goudron sont des produits dérivant du charbon. De son côté, l'asphalte est un produit d'origine naturelle qui peut se présenter librement ou renfermé dans des minerais poreux (roches asphaltiques).
La route Blanche a pour but d'offrir un moyen de déplacement aux résidents de la Basse-Côte-Nord en hiver. En fait, c'est l'unique lien terrestre continu entre Kegaska et Vieux-Fort puisque le territoire de la Basse-Côte-Nord n'est pas relié au réseau routier du Québec.
Les marquages au sol de couleur rouge, pour les situations dangereuses. Les marquages au sol rouges sont utilisés afin de spécifier aux usagers de la route la présence d'un danger ou d'une interdiction.
La chaux, sous différentes formes, est omniprésente en construction civile. Elle améliore la maniabilité et les performances mécaniques des sols de routes et autoroutes, intervient dans la composition de liants hydrauliques routiers ou facilite le recyclage de déchets d'excavation.
Un procédé naturel et vertueux
Concrètement, ce mélange d'eau et de chaux vive blanchit la route et évite ainsi sa montée en température. En constituant une interface entre le bitume et les pneus, les risques de glisser des usagers et d'arracher l'enrobé de la route sont moins importants.
Une ligne discontinue de couleur jaune tracée au centre de la chaussée sert à séparer les voies à sens inverse de circulation là où le dépassement est autorisé. Une ligne continue de couleur jaune accolée à une ligne discontinue de la même couleur sert à séparer les voies à sens inverse de circulation.
La ligne jaune est un mur qu'il ne faut pas franchir ; la ligne pointillée permet de franchir la ligne médiane pour dépasser. Elle se combine à la ligne continue, mais pose problème sur les routes à trois voies, qui cumulent les accidents. Pourtant, le jaune devait être plus visible que le blanc.
Ces damiers blancs peints sur les voies indiquent aux conducteurs qu'ils ne doivent pas encombrer les voies sur lesquelles ils sont tracés. Ces damiers sont peints au niveau d'intersections parfois étroites prises par les bus, qui ont besoin de tout l'espace disponible pour y manœuvrer.
Le goudron, liant oublié
Le bitume et le goudron sont souvent confondus. Pourtant, alors que le bitume provient du pétrole, le goudron est quant à lui issu du charbon et de la distillation entre 800 et 1 100 °C du bois ou de la houille.
Contrairement au bitume, le goudron ne provient pas du pétrole mais de la pyrolyse de la houille (c'est un sous-produit de la transformation de la houille en coke). Il n'existe donc pas à l'état naturel.
Le liant bitumineux, utilisé pour les "couches de roulement" est un dérivé du pétrole, il est donc généralement noir. Toutefois, l'ajout de pigments minéraux (le plus souvent des oxydes métalliques) permet d'obtenir d'autres teintes (rouge, brun, bleu...).
Fumer le sol
Ces apports représentent, tout à la fois, une ressource d'engrais organique à long terme et un excellent conditionneur du sol, améliorant sur le long terme sa structure. Cette fumure sera profitable en toutes saisons, sauf pour le fumier "frais", à épandre et incorporer traditionnellement en automne.
Quand votre moteur est froid, le carburant — l'essence comme le gasoil — ne brûle pas complètement et rejette de l'eau. À moins de 10 °C, le mélange d'eau et de gaz non brûlé se condense et crée un nuage blanc. Pas de panique, une fois le moteur chaud après quelques kilomètres, tout devrait revenir à la normale.
Le carburant non-brûlé peut également provoquer des fumées blanchâtres à l'échappement. Les injecteurs (encrassés), la pompe à injection (mal réglée), ou encore les bougies d'allumage (qui déclenchent la combustion du mélange air-essence) sur les moteurs à essence peuvent être en cause.
1 réponse d'expert. Sachez que de tous les termes que vous employez, le seul à retenir est l'enrobé (ou béton bitumineux), en effet on ne parle pas de "bitume" ou de "goudron". Il s'agit d'un revêtement de voirie.
Le bitume est un mélange d'hydrocarbures issus de la distillation du pétrole. Sa composition chimique varie en fonction du pétrole utilisé pour son obtention. A température ambiante c'est un solide inerte, mais une fois chauffé, il ramollit pour devenir un liquide visqueux et adhésif.
Le terrassement se réalise immédiatement avant l'empierrage et le goudronnage. Plusieurs phases sont planifiées. Les tranchées creusées à la main ou à l'aide d'engins vont permettre de délimiter l'espace à goudronner. Nivelé puis aplani, le terrain est presque prêt à recevoir son revêtement.