La Russie "bombarde les objectifs militaires (...) puis les infrastructures de santé et d'énergie pour rendre la vie impossible aux civils et les pousser au départ", selon lui. "Une fois les civils partis, il est plus facile à l'armée d'avancer."
Quel intérêt pour Vladimir Poutine de s'emparer d'un pays "rasé" et hostile ? Poutine n'a qu'un seul intérêt à ces frappes contre les civils : justifier son invasion. Le discours officiel est clair : il faut démilitariser l'Ukraine, détruire tous les équipements militaires qui pourraient viser la Russie.
La désinformation et la propagande du Kremlin accompagnent et soutiennent les actions militaires de la Russie en Ukraine, notamment la tentative d'annexion de la Crimée, l'appui aux mouvements séparatistes dans l'est de l'Ukraine et la guerre d'agression en cours.
Après avoir échoué à prendre rapidement la capitale, Kiev, pour remplacer le gouvernement ukrainien, l'armée russe a intensifié ses bombardements pour tenter de briser la résistance des Ukrainiens. Les frappes sur des villes densément peuplées font de nombreuses victimes parmi les habitants.
Guerre en Ukraine : des troupes russes se retirent de la région de Kharkiv pour protéger Donetsk - Le Parisien.
L'île des Serpents au cœur de toutes les convoitises. Depuis l'invasion russe, les deux camps se disputent âprement le contrôle de cet îlot de la mer Noire. Après des semaines de bombardements ukrainiens, Moscou a annoncé, ce jeudi 30 juin, en avoir retiré ses hommes "en signe de bonne volonté".
L'Ukraine a confirmé, ce samedi, que les forces russes opéraient un « retrait rapide » des régions de Kiev et de Tcherniguiv, dans le nord du pays. Un retrait afin de mieux « garder le contrôle » des « vastes territoires » qu'elles occupent dans l'est et le sud.
Cuba, Corée du Nord, Syrie... Ces pays qui soutiennent encore la Russie de Poutine.
La guerre d'agression non provoquée et injustifiée menée par la Russie contre l'Ukraine a des conséquences désastreuses pour le peuple ukrainien, mais aussi pour de nombreuses populations à travers le monde. La guerre d'agression menée par la Russie a considérablement aggravé la crise de la sécurité alimentaire.
Cette entrée en guerre résulte de longs mois de tensions entre les deux pays, la Russie n'acceptant pas le rapprochement de l'Ukraine avec les démocraties occidentales et encore moins son désir d'adhérer à l'OTAN, un point inacceptable pour Vladimir Poutine qui y voit une menace pour ses frontières.
En 1993, la Russie, la Biélorussie, l'Arménie, l'Azerbaïdjan, le Kazakhstan, l'Ouzbékistan, le Tadjikistan, le Kirghizistan et la Géorgie signent un accord-cadre d'union économique dans le cadre de la CEI (l'Ukraine et le Turkménistan s'y sont associés).
Guerre en Ukraine : la Russie a perdu une grande partie de ses armes lourdes. La Russie a perdu en Ukraine l'équivalent de la moitié de ses chars d'assaut opérationnels.
Guerre en Ukraine : la chute de Marioupol comme symbole pour les Russes, ce qu'il faut retenir du 21 avril.
L'Ukraine gagne du terrain, les Russes ripostent avec des frappes massives...
Cependant une guerre risque belle et bien de se produire en France. Les causes exactes sont encore incertaines. Beaucoup de personnes commencent à évoquer un soulèvement pour le printemps 2022 ! Peut-être qu'il y aura un rapport avec la crise sanitaire de 2020 liée au Covid 19 et ses confinements.
La Russie a lancé dans la nuit du 23 au 24 février 2022 une offensive militaire sur l'Ukraine. L'ONU considère que cette attaque est une violation de l'intégrité du territoire et de la souveraineté de l'Ukraine. Elle est contraire aux principes de la Charte des Nations Unies.
Allégation : la défense antimissile de l'OTAN représente une menace pour la sécurité de la Russie. Dans les faits : la défense antimissile balistique de l'OTAN n'est pas dirigée contre la Russie et ne peut porter atteinte aux capacités de dissuasion stratégique russes.
La reconnaissance par la France de la fédération de Russie comme État successeur de l'URSS s'accompagne de la signature d'un Traité bilatéral d'amitié, d'entente et de coopération.
Mercredi 12 octobre, sur France 2, Emmanuel Macron a répété que la France n'était "pas en guerre" contre la Russie. Mais en même temps, Paris augmente son soutien à l'Ukraine. Le chef de l'Etat avance sur une ligne de crête.
Le Kremlin avait fait de la conquête du Donbass, en vue de son annexion, son principal objectif dans son “opération militaire spéciale”. Officiellement, il s'agissait de “libérer” cette région industrielle, au cœur d'un conflit sanglant entre l'Ukraine et la Russie qui dure depuis près d'une dizaine d'années.
"La plupart des Russes pensent que les soldats sont accueillis en libérateurs en Ukraine. Et ils voient les Ukrainiens comme une population opprimée", poursuit-elle. La résistance russe existe toutefois bel et bien.
Selon la version officielle russe, la décision a été prise « en signe de bonne volonté », les « objectifs fixés » sur place ayant été « accomplis » selon elle. Il s'agirait notamment, selon Moscou, de faciliter le transport de céréales ukrainiennes.
La vie sociale des Russes est très riche et cadencée. L'année est rythmée par de nombreuses célébrations qui pour certaines trouvent leur origine dans le paganisme slave, pour d'autres dans la religion orthodoxe ou même dans les traditions sociétales et professionnelles soviétiques.
Le ministère de la Défense ukrainien a annoncé que ses forces ont repris le contrôle de la totalité de la région de Kiev et de Tchernihiv. Les forces russes, quant à elles, se sont rapidement retirées du Nord du pays, et auraient pour objectif de "prendre pied dans l'Est et le Sud", d'après la présidence ukrainienne.
Alors que les soldats ukrainiens postés dans l'est rassemblent leurs forces, les troupes russes se massent, elles, dans le sud-ouest de l'Ukraine. C'est en tout cas ce qu'a constaté le ministère britannique de la Défense, qui suit la situation sur le terrain depuis le début de la guerre.