L'emploi du pluriel les toilettes , pour désigner par euphémisme un cabinet d'aisances, date du XXe siècle. Chiotte : nom féminin dérivé (1885) de chier, s'emploie au pluriel pour "cabinets (d'aisance)" ; l'emploi au singulier (XXe siècle) entraîne parfois le passage au masculin.
Dans ce cas l'erreur est double, car le mot « toilette » est toujours au féminin et quand il s »agit du lieu d'aisance il est toujours au pluriel. Ne dit-on pas « je fais ma toilette » et « je vais aux toilettes ». Et là vous en conviendrez, ce n'est pas la même chose même si l'on fait sa toilette aux toilettes !
Le terme water-closet(s), que l'on peut traduire par « cabinet à eau » désigne un lieu d'aisance. Emprunté à l'anglais (en 1816), il est synonyme de cabinet ou de toilettes. Son origine est attestée dès 1755. Le mot cabinet désignait la petite pièce du logement qui pouvait être destinée à différents usages.
Dit-on le ou la toilette ? Souvent, on emploie ce mot au pluriel, les toilettes , et son genre n'est pas apparent. Mais le mot toilette est dans tous les cas un nom féminin : une toilette , la toilette .
Ce sont des latrines, suspendues au-dessus du vide. A l'époque féodale, les latrines en encorbellement, fonctionnant sur le principe de l'évacuation gravitaire, sont réservées aux édifices les plus cossus et les plus imposants.
Au Moyen Âge, comme avant au cours de l'Antiquité gréco-romaine et égyptienne, l'essuyage des fesses à l'aide d'un tissu dédié (et non un morceau de vêtement) est l'apanage des élites. Balle de laine, filaments de chanvre ou de lin (…) mais aussi dentelle, à chacun sa fibre.
Durant les XVIe et XVIIe siècles, l'eau héritait de la vision négative transmise depuis le Moyen Âge selon laquelle elle contribuait à propager le fléau qui s'était abattu sur toute l'Europe : la peste.
Ecrit-on salle de bain ou salle de bains ? Logiquement, cela doit être salle de bain (puisque salle de douche) mais en même temps, on y prend des bains.
Testicule. Genre masculin, comme ceux qui en sont dotés. Ce fait pourrait vous aider à vous rappeler que l'on dit « un testicule ».
A la demande de la Reine Elisabeth Ire d'Angleterre, l'inventeur John Harington conceptualise des projets de toilettes qui resteront à l'état de plans sans jamais être réalisés, mais inspireront plus tard Sir Alexander Cummings, inventeur anglais des canalisations en S, ancêtres des ''water-closets''.
L'origine des toilettes turques
L'invention des toutes premières toilettes turques remonterait au XIIe siècle. On la devrait au Belge Bert Vandegeim. Mais c'est 3 siècles plus tard que les colons ottomans améliorent le système en ajoutant à ces toilettes un trou, un clou pour suspendre son pantalon et une porte.
Ce mot est dérivé du latin tentaculum, lui-même dérivé du verbe temptare, « toucher, tâter », « examiner, sonder, essayer, tenter, mettre à l'épreuve », etc. Le tentacule, souvent muni de ventouses, est bien sûr cet appendice souple qui sert notamment aux céphalopodes (les poulpes, les calamars…)
Toujours au féminin (des chips faites à l'huile). Le pluriel est habituel, mais pour parler d'une rondelle unique de pomme de terre frite, on peut dire : une chips.
- hormis ces faits, la présence d'un unique testicule ne pose aucun risque particulier: - la fertilité est généralement conservée ou légèrement réduite selon les individus. - le volume de sperme n'est pas affecté, par contre, la concentration de spermatozoïdes peut être réduite.
choux-fleurs — Wiktionnaire.
Différence entre a et à
- a provient du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif : il a. - à est une préposition. La façon la plus simple pour les distinguer est de mettre la phrase dans un autre temps comme l'imparfait. À l'imparfait, "a" devient "avait" tandis que "à" ne change pas.
Il faut écrire : Le vendeur leur propose divers abonnements. « Leurs » précède ici immédiatement un verbe, « propose » : on a donc affaire au pronom personnel, toujours invariable, et on écrit « leur », sans « s ».
1 - Australie
Les Australiens sont les champions de la propreté, ils se lavent au moins deux fois par jour.
C'est à cette époque que le futur Louis XIV endure une humiliation qui le marque pour le reste de son règne : ses gardes passent la nuit à vérifier s'il est bien là, qu'il ne s'est pas enfui ! Il doit donc, déjà, faire ses besoins devant témoins.
Comme celle qui dit qu'à l'époque de Louis XIV on ne se lavait pas. Et que le roi Soleil lui-même n'aurait pris qu'un seul bain de toute son existence, pourtant longue de 76 années.
Il faut attendre la fin des années 1950 pour voir le « papier cul » – très vite désigné par ses initiales phonétiques PQ – s'introduire dans les foyers français. Il se vend en rouleaux ou en paquets de feuilles intercalées les unes dans les autres.
Inventé au XVIIIe siècle pour la toilette des aristocrates, le bidet sert au nettoyage des parties intimes après un passage aux toilettes. Une fois la petite ou grande commission terminée, cet appareil sanitaire offre un lavage à l'eau chaude pour se sentir frais comme une rose.
Au moyen âge, on voit apparaitre le pot de chambre et à la renaissance, les nobles ne se lavent plus. Les scientifiques de l'époque disent que l'eau entre par les pores de la peau et amène toutes sortes de maladies ainsi et surtout la syphilis.
Le mot s'emploie au féminin et au masculin : une belle après-midi ou un bel après-midi.