Opter pour un toit pentu est d'ailleurs assez avantageux. En effet, en plus de faciliter l'évacuation de la neige et de l'eau de pluie, il est résistant et se décline en différents modèles.
La toiture traditionnelle de l'Eure est clairement assez pentue et ce, pour deux raisons, la première est technique et liée à l'usage de la charpente en bois qui est dans sa forme la plus simple assez pentue (puisque plus la pente est faible, plus cela nécessite de pièces de bois).
Des petites ouvertures permettaient de se protéger des éléments. Elle recevait traditionnellement, lors de sa construction, un nom breton de la localité. La longère possède un toit bas, généralement en ardoise et plus rarement en chaume.
La maison bretonne de bord de mer
Si le bleu est aujourd'hui le plus courant, toutes les couleurs coexistaient à l'origine, les pêcheurs utilisant les restes de peinture des bateaux pour peindre leurs volets ! La plupart des maisons de pêcheurs sont blanches, mais certaines conservent toujours leur granit apparent.
Le fait de pouvoir acquérir en Bretagne un bien immobilier plus grand, proche de la nature et pour un montant moins élevé séduit ainsi un grand nombre de cadres. En parallèle, le classement du top 50 des “villes où il fait bon vivre” renforce d'année en année l'attractivité du territoire breton.
Ty et Ker en breton
Kêr est tout simplement un lieu où il y a de la vie : une maison, une ferme, un hameau, voire même une ville ! Ti signifie également « maison ».
Historiquement, la ville de Nantes est bretonne avec ses 1200 ans d'histoire. En 1941, le Maréchal Pétain sépare la Loire-Atlantique de la Bretagne et c'est ainsi que la ville, administrativement ne fait plus partie de la Bretagne mais des Pays de la Loire.
Des Bretons attachés à la région et aux traditions
« Par rapport aux autres régions, les Bretons citent plus particulièrement les traditions comme une qualité de leur lieu de vie », indique l'étude, qui place la Bretagne au premier rang des régions de France sur ce point.
En vieux français, une région haute désigne celle qui est plus proche de la capitale d'un pays, par rapport à une région basse plus éloignée.
Les toits en pente sont conçus pour résister à la neige, à la glace, à l'eau et au vent. En forme de triangle, ils sont stables, plus solides et assurent un drainage parfait de l'eau. Certaines tuiles, comme l'ardoise naturelle, sont extrêmement résistantes, imperméables et ignifuges.
Les pratiquants, appelés traceurs, utilisent uniquement leurs capacités corporelles pour se déplacer. Courir, sauter, grimper, ramper, rouler, se suspendre, tous les moyens sont bons pour arriver à destination avec grâce et fluidité. Quelques années plus tard, le free running est apparu.
Les crochets de sécurité permettent d'accrocher un EPI ou de sécuriser une échelle. Ils sont proposés dans des coloris différents afin de s'intégrer au mieux sur la toiture et se posent sans étanchéité.
Avec le temps et sous les assauts des rayons solaires et lunaires, des précipitations mais encore plus de la pollution atmosphérique et des attaques par les végétaux, la surface lisse de la tuile s'érode et présente des trous minuscules qui correspondent aux bulles d'air emprisonnées dans la terre lors de la cuisson.
En Bretagne, petite maison située à l'écart d'un village, souvent au bord de la mer, caractérisée par son toit pentu recouvert d'ardoises.
C'est Georges Eugène Haussmann, préfet de la Seine, qui entreprit les travaux de construction, sous l'égide de Napoléon III. Pour rénover les toits, Haussmann choisit d'utiliser des plaques de zinc ajouté à de l'ardoise, d'où cette couleur grise, si typique des toits parisiens.
Entre 1830 et 1850, parler breton était non seulement interdit, mais aussi puni. Le conférencier a abordé une loi non écrite, laissée à l'appréciation des instituteurs qui a perduré pendant 130 ans en Bretagne. Le climat scolaire était délétère. La carotte, mais surtout, le bâton, était une pratique coercitive.
La mentalité : les Bretons sont authentiques et accueillants
Modestes, discrets, pudiques, fidèles, honnêtes, légalistes… La réputation des Bretons leur colle à la peau. Elle dessine une façon de faire société qui semble rassurante, aux yeux des habitants mais également des néo-arrivants.
Ils sont généreux et donnent ce qu'ils ont. Toujours partants pour faire la fête, ils ouvrent toutes grandes leurs portes. Les Bretons sont chaleureux, mais pas au premier abord, il faut gagner leur confiance et lorsque celle-ci est acquise alors… Ils sont fiers de leurs terres et heureux de partager leur culture.
Le Mont-Saint-Michel est officiellement normand. Il y a un proverbe local, qui dit que « le Couesnon dans sa folie a mis le Mont en Normandie. » C'est un peu le résumé de toute la controverse normando-bretonne.
En effet, tour à tour, Troyens, Romains, Gaulois et Celtes, Phéniciens, ont été désignés comme les lointains ancêtres des Bretons.
« Je t'aime » se dit « Da garan » en breton.
Da garout a ran ! Da garan !
L'expression yec'hed mat se prononce alors [ jeʁɛdmat ] (« yé-red-mat »).
Trugarez. C'est la façon la plus connue et la plus utilisée par les bretonnants. Mais « trugarez » ne signifie pas un simple « merci » breton.