En général, les activités humaines ont des répercussions sur l'environnement lorsque : elles produisent des rejets (émission de polluants, eaux usées, production de déchets, etc.); elles modifient (dégradent) le sol et l'habitat; elles utilisent et font disparaître les ressources.
La fabrication, l'utilisation et le rejet des objets ont des effets considérables sur l'environnement. Les matériaux utilisés pour les fabriquer peuvent provenir de sources non renouvelables, telles que le pétrole, le gaz naturel ou les métaux rares, ce qui peut entraîner l'épuisement des ressources naturelles.
La modification des habitats naturels par la déforestation des forêts tropicale et amazonienne, très riches en espèces végétales et animales. Les polluants chimiques émis, souvent toxiques pour les êtres vivants. Le changement climatique, qui modifie trop rapidement les conditions de vie des espèces.
Actuellement, l'homme a un effet plutôt destructeur sur la nature : il rase des forêts, construit des routes, utilise des produits chimiques qui tuent massivement certains insectes, pêche plus que nos océans ne le permettent… La biodiversité souffre de ces activités et décline fortement.
Ces cinq causes sont désormais bien identifiées : le changement d'usage des terres et de la mer, l'exploitation directe de certains organismes, le changement climatique, la pollution, et les espèces exotiques envahissantes. Les changements d'usage des terres et de la mer.
Les principales causes de dégradation des sols sont anthropiques : agriculture intensive, déforestation, surpâturage, pollution industrielle, irrigation… Et cette dégradation risque de s'aggraver si rien n'évolue dans les pratiques agricoles et environnementales.
L'homme en polluant, modifie localement le peuplement des milieux, pollution par rejet des usines dans les fleuves et rivières, pollution par l'emploi de pesticides et d'engrais, pollution urbaine.
Pollution
Selon l'Organisation mondiale de la santé, « la pollution atmosphérique représente désormais le plus grand risque sanitaire environnemental au monde. » En effet, elle est responsable d'environ 3,7 millions de morts chaque année (selon une étude de 2012).
Les écosystèmes, d'un point de vue utilitariste, fournissent quantité de biens et services à l'Homme, pour son alimentation (l'agriculture et la pêche dépendent de la richesse des écosystèmes), pour ses équipements (bois, caoutchouc, laine, osier, combustibles, etc…) et pour sa santé.
En effet, les conséquences de la dégradation de l'environnement sur notre santé ne sont pas anodines : perturbation de la croissance, maladies respiratoires et cardio-vasculaires, baisse de la qualité de vie, stress, allergies…
Il suffit par exemple de voir les objectifs des Nations unies pour le développement – ce qu'on appelle les Objectifs du millénaire – : réduire par deux la pauvreté, réduire par deux le non-accès à l'eau, ou à l'énergie… Tous ces objectifs sont clairement remis en cause par le réchauffement climatique.
Migration des espèces en raison de la pollution lumineuse ou du changement climatique. Extinction d'espèces animales et végétales due au changement climatique ou aux polluants provenant de l'utilisation de pesticides ou d'herbicides.
Les changements climatiques, l'extinction de nombreux animaux et plantes dans le monde, une population humaine qui frôle les 10 milliards, des terres dégradées, l'air pollué, le plastique, les pesticides et les produits chimiques déversés dans l'eau font de la planète un endroit de plus en plus dangereux pour la santé, ...
la mise en culture de prairies et de forêts, le labour et la moindre restitution des résidus de culture (pailles…) qui diminuent la biodiversité et les matières organiques contenues dans les sols.
En 2019, les scientifiques du monde entier ont confirmé que la nature décline à un rythme alarmant. Il existe cinq causes directes de la perte de la biodiversité : La perte d'habitat est la menace la plus importante pesant sur la biodiversité et elle met en péril plus de 80 p. 100 de toutes les espèces.
Les trois pays les plus gros émetteurs de CO2 sont donc : La Chine responsable à hauteur de 32.9% des émissions de CO2, en grande partie dues à l'exportation de biens de consommation et à sa forte dépendance au charbon ; Les États-Unis responsables à hauteur de 12.6% ; L'Inde responsable à hauteur de 7.0%.
L'Homme a utilisé le milieu de deux manières différentes : soit en cultivant des terrasses, soit en transformant les sols montagneux en pâturages (ovins et caprins). La vie urbaine a dominé la Méditerranée depuis les Cités antiques jusqu'aux villes marchandes et portuaires.
Les impacts de l'homme sur les forêts naturelles du monde ne se limitent pas à la déforestation. Le feu, la coupe de bois et l'invasion par des animaux et des plantes exotiques sont quelques exemples d'impacts directs sur la biodiversité et les stocks de carbone des parties non déboisées, ou vestiges forestiers.
L'Office National de la Biodiversité liste cinq facteurs majeurs d'origine humaine qui pèsent sur la biodiversité : les changements d'usage des milieux naturels, la surexploitation des ressources naturelles, la pollution, le changement climatique et les espèces exotiques invasives.
Les causes de l'érosion de la biodiversité
la surexploitation d'espèces sauvages : surpêche, déforestation, braconnage, etc. ; les pollutions de l'eau, des sols et de l'air ; le changement climatique qui peut s'ajouter aux autres causes et les aggraver.
La biodiversité est confrontée à de nombreuses pressions : artificialisation des sols, fragmentation des milieux naturels, changement climatique, pollutions chimique et lumineuse, etc.
Les écosystèmes souffrent surtout de la pêche à grande échelle, de l'utilisation d'eau douce et de l'agriculture. Plus… 1.2 Les écosystèmes dépendent de cycles naturels fondamentaux tels que la circulation continue de l'eau, du carbone et d'autres éléments nutritifs.
Réparer les équipements et machines défectueux au lieu d'acquérir des articles neufs pour réduire les déchets électroniques qui sont nocifs pour l'environnement. Épurer les eaux usées. Procéder à l'adoucissement d'eau. Employer un sac en tissu qui peut être utilisé plusieurs fois au lieu d'un sachet.