Pour favoriser la conbustion des graisses, Uwe Schröder conseille de "manger que très peu et de ne surtout pas manger de glucides comme des pâtes, du pain ou du riz. Il en va de même pour les boissons sucrées, la bière sans alcool ou les produits laitiers sucrés, et ce, jusqu'à six heures avant votre entraînement."
Avant une course, il faudra privilégier les aliments suivants : Aliments riches en glucides (riz, quinoa, patate douce, pomme de terre, pâtes, pain, muesli, fruits). Des protéines maigres (volaille, oeufs, poisson blanc, thon). Limiter les aliments riches fibres, à partir de 48 heures avant la course.
Mais on va mal courir aussi. Parce que l'estomac et les intestins seront lourds et pesant. Par conséquent, la règle pour votre bien être c'est d'attendre au moins 1h30 voir 2h avant d'aller faire du sport après un repas.
Toutefois, manger juste avant de bouger pourrait causer des indigestions, des crampes à l'estomac ou des nausées. Afin d'éviter de souffrir de problèmes intestinaux, consommez des repas digestes et riches en glucides environ trois heures avant l'effort.
Quoi et quand manger avant le sport
Des fruits frais ou en jus (bananes, canneberges, bleuets…) Des pâtes ou du riz complet. Des barres énergétiques avec des fruits secs. Des légumes, comme du bébé kale ou du quinoa.
Consommée une à deux heures avant l'effort, ce délai permet d'entamer la digestion et d'éviter les lourdeurs digestives pendant sa séance sportive.
Les muscles de la jambe sont bien entendu les plus sollicités lors de la course à pied. Plus particulièrement les quadriceps, les ischio-jambiers, les fessiers et les mollets. Trois exercices efficaces vont permettre de tous les muscler : les squats, les fentes et le leg curl.
Testez vos limites en courant sur de longues distances. Si vous faites des pauses en marchant, ce n'est pas un problème. L'objectif est d'essayer de les retarder autant que possible et d'allonger un peu plus chaque fois les périodes de course, jusqu'à ce que vous puissiez courir toute la distance sans vous arrêter.
Légumes : chou vert, chou de Bruxelles, lentilles, brocoli, cresson de fontaine, navet, poireau, pois chiches … Graines et fruits oléagineux : noix séchés, amandes, noix de cajou, noix de pécan, noix du Brésil, châtaignes, graines de tournesol, graines de sésame, pistaches…
Selon les chercheurs, la fréquence optimale, pour profiter des bienfaits du jogging sans nuire à la santé, est de trois joggings par semaine, d'une durée de 20 à 48 minutes chacun.
Courir à jeun se fait généralement le matin car c'est la nuit que l'on reste le plus longtemps sans se nourrir. Il est par contre possible, et même vivement recommandé, de boire de l'eau non sucrée. Jogger durant environ 30 minutes à allure modérée en ayant zappé le petit-déjeuner ne pose a priori aucun problème.
Courir à jeun le matin : positif pour le physique ? Courir le ventre vide c'est donc courir un peu plus sur la filière lipidique que d'habitude, c'est pourquoi l'entraînement à jeun est souvent plébiscité dans les régimes. C'est efficace car on brûle plus de graisses en courant à jeun.
Le dernier long entraînement d'endurance (90 minutes ou plus) devrait être réalisé environ deux semaines avant la compétition. Le rythme doit être plutôt lent, n'adoptez pas votre allure de compétition!
Vous devez boire suffisamment la veille de l'épreuve : au moins 2 litres. Buvez ensuite 300 ml à 500 ml d'eau dans l'heure précédent l'effort. Cela représente 2 verres d'eau. Pour assurer un bon confort digestif, buvez tranquillement par petites gorgées.
Le soir. Les avantages : Le footing du soir possède un bienfait incontestable. Celui de relâcher complètement la pression et la fatigue de la journée. Au-delà de ça, il s'agit surtout d'un créneau à privilégier pour tous les coureurs avides de performance.
Comment tenir une course de 5km ? Pendant la course, gardez votre rythme, sans vous laisser influencer par celui des autres coureurs. Pour tenir sur la durée, essayez de ne pas dépasser 90 % de votre fréquence cardiaque maximale (FCM) pendant le 1er kilomètre.
15 min de course lente à 65-70% de FCM + 3 x 10 sec de chaque éducatif : montées de genoux, talons-fesses, pas chassés avec récupération marche au retour) + 30 min en endurance et aisance respiratoire à 70-75% de FCM + 5 lignes droites en accélération (retour marché).
Une déshydratation, même faible, diminue vos capacités, donc votre souffle. Buvez une demi-heure avant le départ. Par ailleurs, il est essentiel de bien s'hydrater, et de boire beaucoup, tout au long de la journée. Les professionnels de santé recommandent même de boire au minimum 1.5 l d'eau par jour.
Courir 2 à 3 fois par semaine devrait être un maximum pendant les premières semaines et sur de courtes distances. Augmenter ensuite le volume (km courus) de 10% par semaine environ, pas plus.
Courir lentement permet d'améliorer la capacité d'apports sanguins dans les muscles. En endurance fondamentale, non seulement le cœur prend du volume, mais le coureur renforce dans le même temps la capillarisation des muscles. « Les capillaires, c'est le petit réseau qui va dans les muscles.
Pour s'améliorer en course à pied, il est donc conseillé de faire 3 à 5 entraînements de 20 minutes par semaine pour les plus expérimentés sans oublier le temps de récupération.
Préférez un yaourt nature sans sucre. Si vous n'êtes pas adeptes des yaourts nature non sucrés, ajoutez-y quelques fruits frais, comme des rondelles de banane, des morceaux de fraises quand la saison vous le permet ou de pommes.
La pomme : riche en potassium, elle vient “sucrer” les jus avec douceur. La betterave : riche en nitrates, vraie bombe pour la récupération. La carotte : riche en vitamine A, elle est antioxydante et a un effet alcalinisant qui vient neutraliser certains déchets métaboliques produits lors de l'effort.
Pensez par exemple à l'orange, la pomme, la poire, la banane ou encore au kiwi et au raisin ! Les fruits à coque (amandes, noisettes, pistaches, …) sont une excellente source de protéines, de minéraux, et de bons acides gras.