« Ces vêtements sont particulièrement problématiques car ils sont en matières synthétiques et contiennent donc des microparticules de plastique ». Ils sont particulièrement polluants et souvent renouvelés annuellement par les consommateurs.
La fast fashion détruit l'environnement
En 2050, le secteur textile émettrait même 26 % des émissions globales de gaz à effet de serre si les tendances actuelles de consommation se poursuivent (source : ADEME). Le textile est donc le troisième secteur le plus consommateur d'eau dans le monde.
Elle représente environ 1/3 de la pollution microplastique (des particules de plastique inférieures à 5 millimètres) des océans. Elle entraîne aussi un énorme gaspillage qui se produit aussi bien avant l'achat (15% du tissu d'un vêtement serait gâché pendant sa fabrication) qu'après l'achat.
Une production déraisonnée de matières synthétiques nocives
Il génère des milliards de microplastiques qui en lieu et place d'être recyclés, sont directement rejetés dans les eaux usées et dans les océans. Avec cette consommation de masse, l'empreinte environnementale devient alarmante.
Faire un bilan d'honnêteté envers soi-même. Pour prendre conscience de l'importance de son dressing, il est nécessaire de sortir ses vêtements puis, on peut faire plusieurs piles : vêtements agréables et portés plus de 10 fois, vêtements portés moins de 10 fois, vêtements jamais portés, vêtements à donner/trier/vendre.
Selon une infographie de l'ADEME, l'industrie de la mode émettrait 1,2 milliard de tonnes de gaz à effet de serre. Ces émissions sont supérieures aux vols internationaux et au trafic maritime réunis.
L'industrie textile est la 2ème industrie la plus polluante derrière le pétrole, et émet 1,2 milliard de tonnes de gaz à effet de serre chaque année. Les Français achètent en moyenne 30 kg de textile par habitant et par an. 1 tonne de textile produite = 200 tonnes d'eaux polluées.
Le secteur de la mode emploie 75 millions de personnes à travers le monde. L'industrie du textile dite « jetable » a des conséquences sociales : exploitation des enfants, des femmes, salaires précaires et conditions de travail indécentes.
Quel est l'impact de la mode sur les jeunes ? La mode vestimentaire est un moyen pour les adolescents d'exprimer leur statut social, de rejoindre une communauté ou d'appartenir à un groupe. L'adolescent tente de démontrer sa personnalité ou de l'extérioriser à travers son style vestimentaire.
Les impacts sociaux et économiques
perte du sens critique, risque de dépendance à la consommation (achats compulsifs); stress et anxiété liés aux dettes et au travail (travailler plus pour gagner plus); malbouffe, conditions de travail dangereuses et non respectueuses.
En achetant durable, vous limitez donc l'impact à la production. Et surtout, vous “rentabilisez” cet impact sur un temps plus long grâce à des vêtements qui durent plus longtemps.
La mode éthique est une alternative à la fast fashion. Elle vise à proposer des vêtements plus respectueux des hommes et de l'environnement. Cela passe par le choix des matières, les lieux de production, mais aussi le processus de fabrication.
La mode éthique pour soutenir le travail local
Favoriser des vêtements de marques éco-responsables proches de chez soi c'est réduire les transports et donc la pollution que cela engendre et soutenir un travail local en pouvant facilement vérifier que de bonnes conditions de travail sont appliquées.
Cette industrie de la mode génère des tonnes et des tonnes de tissu jetées, brûlées ou déversées dans des décharges. Pas moins de 73 % des matériaux entrant dans la fabrication des textiles finissent leur vie dans des décharges ou sont incinérés.
Pour éviter le gaspillage et réduire les déchets textiles, rien de mieux que de réutiliser, revendre ou échanger nos vêtements que nous ne portons plus. En gros, la mode seconde main. La réutilisation est une bonne solution pour lutter contre la surproduction et la surconsommation de produits de mode.
Pourquoi mon ado veut sauver la planète mais surconsomme la fast fashion? FIGARO DEMAIN - Ils marchent pour le climat, font la morale sur le gaspillage et mangent végan. Mais, quand il s'agit de mode, ils plébiscitent les marques à très petits prix, les moins éthiques et les moins écologiques.
Selon l'Agence de la transition écologique (ADEME), l'empreinte carbone de l'industrie textile s'élèverait à 1,2 milliard de tonnes de gaz à effet de serre chaque année, ce qui représente jusqu'à 10% des émissions de gaz à effet de serre mondiaux.
UN FACTEUR D'INTEGRATION. Facteur d'intégration, les marques peuvent intégrer mais aussi exclure les adolescents de leur groupe social, c'est en effet un facteur important pour s'intégrer dans un groupe de pair (ensemble formé par des individus dont le statut social est identique).
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
En effet, pour produire ces matières, l'extraction de pétrole en milieu marin est nécessaire mais pollue l'eau. Aussi, le lavage de nos vêtements synthétiques en machine à laver relâche 500 000 tonnes de microparticules de plastique chaque année dans l'océan, ce qui correspond à 50 milliards de bouteilles de plastique.
Derrière ce mot barbare se cache une réalité plutôt simple : lors du lavage de vos vêtements, des fibres se détachent à cause des frottements. Des fibres trop petites pour être filtrées, qui se retrouvent donc dans les eaux usées, et continuent leur voyage jusqu'aux fleuves pour terminer dans les océans.
C'est pourquoi la mode n'est pas seulement une forme d'art mais aussi un marqueur social qui nous permet de clamer notre singularité, notre volonté de nous distinguer du groupe social auquel nous appartenons ou, au contraire, d'afficher notre appartenance à ce même groupe.
L'arrivée de Cider en France, la marque en ligne n°1 de la fast fashion. La marque en ligne Cider a été conçue pour venir proposer des pièces et looks à la génération z.