Puisque les enfants de 1 à 3 ans sont plus au fait de leur corps et de leurs parties génitales, ils explorent leur corps plus volontairement, à la recherche d'une certaine stimulation sexuelle. Pour certains, c'est une question de détente. Ils vont alors se caresser en se couchant, avant la sieste, et s'endormir.
La découverte de son propre corps est une étape importante du développement psycho-sexuel. Cela n'est ni sale, ni interdit, ni dangereux et ni anormal. L'enfant explore et associe une sensation de plaisir à une partie de son corps (bien-être, chatouille agréable).
L'autostimulation
Il n'est pas rare de voir les jeunes enfants se frotter contre une peluche, se balancer sur les hanches ou se frotter les cuisses. Cela leur procure de l'apaisement, du réconfort et du plaisir. Cette forme d'autostimulation constitue donc une activité normale pratiquée par plusieurs enfants.
Il cherche avant tout à découvrir son corps et à s'apaiser.
D'ailleurs, beaucoup d'enfants se caressent pour s'endormir. D'autres le font pour se calmer quand ils sont anxieux. D'autres encore posent ce geste sans y penser quand ils sont concentrés ou lorsqu'ils regardent la télévision, par exemple.
Puisque les enfants de 1 à 3 ans sont plus au fait de leur corps et de leurs parties génitales, ils explorent leur corps plus volontairement, à la recherche d'une certaine stimulation sexuelle. Pour certains, c'est une question de détente. Ils vont alors se caresser en se couchant, avant la sieste, et s'endormir.
Un enfant épanoui a un visage souriant, il rit beaucoup et spontanément. Son sommeil est calme et paisible, il mange bien. Il est curieux de plein de choses et est animé par une belle confiance en lui : il ose aller vers les autres, partir en voyage scolaire sans ses parents…
L'enfant peut être en retrait, s'isoler ou avoir peur. À l'inverse, sa tristesse peut se manifester par de l'agitation, de l'agressivité, voire de l'hyperactivité ou de la provocation ; il se sent impuissant, désespéré, seul ou rejeté.
La famille, première source de bonheur
"Le temps des vacances", passées le plus souvent avec les parents, arrive lui aussi dans le peloton de tête. Dans le même sens, lorsqu'ils sont en famille, passer du temps avec leurs parents est la première source de bonheur des enfants.
Le plaisir immédiat n'a rien à voir avec ce qu'on peut enseigner à un enfant : l'acceptation de soi, l'acceptation des autres, l'acceptation de la réalité. Un enfant heureux, c'est un enfant qui se connaît bien, qui est capable d'être en lien avec les autres et qui compose avec les aléas de la vie.
Les pâtes arrivent en tête des aliments préférés des enfants. Elles plaisent quelle que soit leur forme et se cuisinent à toutes les sauces. Pas besoin d'être un chef pour réussir ce plat simple et rapide, il suffit de concocter des pâtes à la bolognaise ou bien faire un gratin avec des pâtes et des légumes.
L'enfant qui « va bien » construit ses racines pour « grandir bien » et devenir un adulte qui ira « suffisamment bien ». Celui-ci pourra alors trouver un juste équilibre qui lui permette de répondre à ses propres besoins et respecter ceux des autres.
Encourager et complimenter un enfant l'aide à avoir confiance en lui et à maîtriser ses émotions en cas de faiblesse (tristesse, ou peur par exemple). Ainsi donc, lorsque notre enfant a entrepris quelque chose d'inhabituelle, apprenons à le féliciter. Une autre façon aussi de lui dire qu'on lui fait confiance.
En tous cas, savoir écouter son enfant est un vrai bonheur. Tout petits, ils savent déjà très bien se faire comprendre et c'est un point à privilégier avec un enfant unique. Il peut en effet se sentir intimider par « les grands » (autrement dit, ses parents) et ne pas oser dire ce qu'il pense ou ressent.
L'ennui de l'enfant est parfois évident. Ainsi dès qu'on voit un enfant qui erre de façon prolongée dans la pièce d'activités et qui ne s'engage pas dans un jeu, on pense à juste titre qu'il s'ennuie.
Il pose beaucoup de questions et s'inquiète plus que les autres enfants de son âge. Il a de la difficulté à s'endormir, il fait des cauchemars ou de l'insomnie. Il a des changements d'humeur difficiles à comprendre ou à relier à un événement précis.
Ils ou elles ont du mal à se concentrer, montrent peu d'émotions ou sont hypervigilant-es et toujours en état d'alerte. Souvent, ils ou elles n'ont plus envie d'aller à l'école ou de pratiquer leurs loisirs habituels.
8 ans, l'âge des grands bouleversements
À 8 ans, les enfants passent un cap. Physiquement, psychologiquement, socialement, tout change, les enfants deviennent doucement des pré-ados. Tous les moments de transition dans la vie de nos chères têtes blondes entrainent des crises.
Vous pouvez lui dire « Je comprends, tu es en colère parce que... mais me taper est interdit ». Surtout, n'hésitez pas à exprimer votre propre émotion à ce moment-là : par exemple « Je suis si triste quand tu me tapes ».
Il n'a plus envie de ses assauts de câlins parce qu'il grandit et qu'il veut affirmer son tempérament. C'est surtout vers deux ans qu'il va ressentir un besoin d'autonomie et qu'il va vouloir se détacher de vous pour partir à la découverte du monde qui l'entoure et vos bisous sont une entrave.
Selon la théorie freudienne, cette période se joue de 2 à 3 ans en moyenne. L'enfant découvre le plaisir que lui procure le fait de retenir les matières fécales (rétention) ou de les expulser (défécation). C'est aussi, à cet âge, la période d'opposition.
Il arrive que l'enfant se masturbe par plaisir, mais il est possible aussi qu'il le fasse par ennui ou encore pour se calmer. Quand votre enfant se masturbe, vous pouvez lui dire que c'est correct, mais que se toucher se fait en privé, dans sa chambre.