En résumé, l'insolence de l'enfant est généralement une réaction qui vient en opposition à un parent ou une personne qui cherche à le soumettre. C'est une réaction en chaîne, un cercle vicieux. En évitant de rentrer dans ce rapport de force, on ne donne pas l'occasion à notre enfant d'être un enfant insolent.
Cette insolence va de pair avec le manque de respect, mais peut aussi s'exprimer comme la réaction émotionnelle à une frustration. Et certains parents ont remis en cause ce principe de frustration. Or, être autoritaire ne signifie pas être "autoritariste".
Rester calme, mais ferme face à l'insolence
Faites-lui entendre que vous saisissez ce qu'il ressent, sa colère ou sa frustration en lui disant par exemple : « je vois que tu es énervé ». Dialoguez avec votre enfant pour tirer la situation au clair tout en faisant preuve de fermeté.
Lorsque l'insolence de l'enfant perdure, expliquez-lui clairement quelles seront les conséquences. Le but n'est pas de punir l'enfant, mais de l'aider à comprendre son comportement et à mieux le gérer. En revanche, les conséquences ne doivent pas être des menaces en l'air, sinon il reproduira son mauvais comportement.
Pourquoi fait-il ça ? Il arrive à l'âge où il prend conscience de son individualité, il sait qu'il ne pense pas toujours comme ses parents ou comme les autres adultes, il cherche à former sa propre personnalité en vous montrant qu'il ne suit pas vos règles.
Ils ont tendance à dramatiser des problèmes, même mineurs, et à voir toute légèreté possible comme une raison de devenir hostile, en colère, verbalement abusif ou destructeur. Manque d'empathie - la personne ou le parent toxique n'est pas capable de sympathiser avec les autres.
Bien avant d'accueillir leur premier enfant, les parents entendent souvent parler des deux ans et des trois ans comme les âges où les enfants sont les plus compliqués à gérer.
En résumé, l'insolence de l'enfant est généralement une réaction qui vient en opposition à un parent ou une personne qui cherche à le soumettre. C'est une réaction en chaîne, un cercle vicieux.
Si l'ado refuse d'avouer ses erreurs et de changer d'attitude, ne vous énervez pas, ignorez ses provocations, ne répondez simplement pas à son ''insolence''! Votre ado cherche à vous provoquer! Soyez ferme, calme et utilisez des phrases courtes et directives, en vue d'aboutir à une négociation.
Un jeune enfant qui fait preuve de retenue toute la journée, à l'école par exemple, sans ses figures d'attachement, accumule des tensions, du stress, des émotions. Il ose moins se confier, se « lâcher ». Ce comportement a tendance à provoquer une décharge émotionnelle en fin de journée, face aux parents.
comme des critiques ou des reproches. Pour se protéger, il choisira d'agir comme s'il avait raison, même s'il se sait dans l'erreur. Et ce, quitte à attiser votre frustration. Pour remédier à la situation, vous pouvez essayer de nouvelles formules qui privilégient la forme interrogative plutôt qu'affirmative.
La façon de répondre à la provocation pour réinstaurer un dialogue constructif est importante. Il s'agit de trouver le moyen de faire comprendre à l'enfant que vous avez compris qu'il a besoin de votre aide et de votre écoute, de lui dire que vous êtes là pour l'écouter tout en faisant tomber la tension.
Les limites
Il est souhaitable de faire une liste des comportements dérangeants qui ne seront plus tolérés et, bien sûr, d'en expliquer la raison. Il faut mettre l'enfant au courant des interventions qui seront mises en place dans le cas d'une impolitesse et l'informer des conséquences qui s'y rattachent.
Ces enfants ont du mal à réguler l'émotionnel, ils sont anxieux, inquiets du regard social, font des efforts pour se contenir à l'extérieur et explosent dès qu'ils rentrent chez eux. Cela commence très tôt. « Mon fils, aujourd'hui âgé de 19 ans, a présenté une intolérance totale à la frustration dès l'âge de 18 mois.
Parler avec son enfant et lui lire des histoires favorise le développement de son raisonnement, tout comme le laisser explorer son environnement et lui donner du matériel varié pour jouer. De bonnes capacités de raisonnement aideront l'enfant à mieux comprendre les situations qui se présentent à lui.
Bien sûr, il y a pléthore de punitions à notre disposition pour répondre à l'insolence d'un élève : on peut le coller, faire un rapport, l'exclure de cours, le faire exclure une journée ou deux du collège.
− Orgueil offensant, attitude hautaine et arrogante (envers des inférieurs ou des personnes traitées comme telles). Insolence d'un parvenu, des riches envers les pauvres.
Les règles doivent être claires et connues. Employez des mots que votre enfant comprend, selon son âge. Formulez la règle de manière positive. Par exemple, dites : « Je veux que tu parles sur un ton calme », plutôt que « Si tu n'arrêtes pas de crier, tu te retires dans ta chambre sans télévision ».
Si le comportement insolent perdure, le mieux est de rester près de lui. On peut lui dire simplement : “Je vois que quelque chose t'a blessé, et j'aimerais vraiment savoir ce qui s'est passé.” Poser une limite calmement de cette façon va sans doute provoquer la colère de ton enfant.
Expliquez à votre enfant qu'il y a des limites à ne surtout pas dépasser et dites les choses clairement. Prenez le temps avant toute chose d'anticiper ce genre de comportement. Instaurez ainsi des punitions que vous allez appliquer selon les cas qui se présentent et qui seront connus de votre ado.
À 7 ans, non seulement le langage et la prononciation de votre enfant évoluent, mais ses capacités de communication se développent. Il est capable de raconter un court récit et de faire des liens entre les principaux éléments d'une histoire. Il adapte ce qu'il dit en fonction de la personne à qui il s'adresse.
Conclusion, l'âge auquel on a le plus de chance d'atteindre le bonheur se situerait entre 30 et 34 ans.
Il a envie de faire les choses par lui-même. Toutefois, il est encore maladroit pour certaines tâches et il a souvent besoin de votre aide (ex. : pour s'habiller). Cela peut entraîner des frustrations puisque son envie d'autonomie est plus grande que ce qu'il est capable de faire.
Tentez de mettre des mots avec lui sur les raisons de ce « caprice », aidez-le à organiser sa pensée. Expliquez-lui la situation. Plus grand, aidez-le à verbaliser son mal-être. A partir de 5-6 ans, les « caprices » peuvent exprimer sa difficulté à trouver sa place.