Pour certains, le nom « Martinique » serait une version francisée de « Madinina » ou « Madiana » anciens noms de l'île que les Arawaks lui auraient donné. Ce nom signifiait « île aux femmes ». En effet selon les Arawaks, l'île n'était habitée que par des femmes au moment des voyages des explorateurs dans la zone.
On ne sait pas vraiment qui ou à quelle occasion on parla pour la première fois de "l'île aux fleurs" pour désigner cette terre des Antilles autrement appelée Madinina.
La Martinique connait différents noms : Madinina, « l'île aux fleurs » ou Jouanacaera, « l'île aux iguanes ».
La Martinique a été abordée par Christophe Colomb le 11 novembre 1493, lors de son second voyage. Son nom viendrait selon une version poétique de la déformation phonétique de son nom indien : Matinino, que l'on traduit approximativement par « l'île aux fleurs ».
Il est situé sur la côte Océan Atlantique, dans le Sud/Est de la Martinique. Il était un quartier de la commune du François avant de devenir une commune autonome en 1837. On y trouve de petites plages, comme celle de Macabou mais également La Montagne du Vauclin.
1. Les Anses-d'Arlet. Concourante au titre du meilleur village français en 2020, la ville des Anses-d'Arlet est assurément un des plus beaux villages de Martinique. Nichée sur la côte Sud Caraïbe de l'île, sur la réputée « route des Anses », elle est un petit coin de paradis appelant à la farniente décomplexée.
Les premières traces des Amérindiens à la Martinique ont été archéologiquement attestées du I er siècle. Ces premiers habitants viennent d'Amazonie et sont de culture saladoïde, du nom du site éponyme vénézuélien de Saladero.
Aux Antilles françaises, un béké est un blanc créole descendant des premiers colons. Ce terme concerne principalement les descendants originaires de la Martinique mais aussi ceux de Guadeloupe.
Les Blancs créoles sont les descendants des premiers colons. Ils sont couramment appelés « Békés ». Cette appellation peut être ressentie comme péjorative [10]. Cependant, mes informateurs blancs créoles se désignent eux-mêmes comme « Békés ».
C'est à eux que la Guadeloupe doit son nom Karukéra, " l'île aux belles eaux " en langue caraïbe. En novembre 1493, le navigateur espagnol Christophe Colomb débarque à Sainte-Marie, dans l'île qu'il appelle Guadeloupe, en référence au monastère de Santa Maria de Guadalupe d'Estrémadure.
Je t'aime en créole :
Créole Antillais (Antilles françaises) : mwen enmen. Créole Martiniquais (Martinique) : mwen enmen'w.
Si vous êtes amateurs de randonnées dans la jungle et que vous aimez les cascades, alors vous trouverez certainement votre bonheur en Guadeloupe. Si en revanche pour vous l'authenticité et les fleurs ça vous parle plus, pensez à aller en Martinique.
On parle aussi volontiers dans les journaux de l' « Hexagone2 » et des Départements d'Outre Mer (DOM) de la « communauté antillaise » pour désigner les personnes originaires de Martinique, de Guadeloupe et parfois par extension de Guyane3.
Les Amérindiens auraient appelé l'île Madinina, ce qui signifiait «l'île aux fleurs». Colomb aurait baptisé l'île du nom de "Martinica" (Martinique) en l'honneur de son patron, San Martín (saint Martin).
Au nord, des montagnes ruisselantes de forêt tropicale, des pentes raides entaillées de ravines, des nuages presque toujours accrochés aux sommets, qui nimbent d'humidité les cultures de bananiers.
Bien que la date de 1635 soit celle qui est officiellement reconnue si on considère la date de 1802, la Martinique est française depuis 219 ans.
Dans certaines anciennes colonies françaises, les «Métropolitains» peuvent encore être appelés les Zoreils ou Zoreilles. Ce surnom viendrait du fait que, comprenant mal le créole ou la langue des autochtones, les Français feraient constamment répéter et passeraient ainsi pour être «durs d'oreille».
1 - Bernard Hayot, le pilote du groupe le plus puissant de l'île. Aussi puissant que discret, Bernard Hayot, véritable patron économique de l'île, est le descendant le plus illustre de la famille Hayot, des Juifs hollandais arri-vés en Martinique à la fin du XVIIe siècle.
Dans les départements, régions et collectivités de la France outre-mer (DROM-COM), le terme Z'oreille (qu'on peut aussi orthographier Zoreilles, Z'oreil ou encore Zorey) désigne un Français métropolitain.
C'est un vestige de l'activité volcanique de la Martinique, dont la forme se rapprochant du célèbre bijou qu'est le diamant lui a valu son nom. Mais également, car selon les heures de la journée, la lumière le fera scintiller tel un diamant grâce à la constitution de ses parois.
Les « Blancs-Pays » sont encore appelés « Blancs-créole » en Guadeloupe, « békés » étant le nom qu'on leur donne en Martinique.
La plupart des Békés vivent dans ce quartier du Cap-Est, au François, que la population a surnommé "Békéland". "Ce n'est pas une charge contre les Békés, tout le monde en prend pour son grade dans le roman ! Mais il ouvre une porte sur ce monde méconnu, sa culture, son mode de vie.
Les premiers habitants de la Martinique sont les Arawaks, venus d'Amazonie. Ils s'installèrent à la Martinique, et plus précisément aux alentours de la montagne Pelée, pour pratiquer la pêche, l'agriculture, la cueillette, et fabriquer de superbes céramiques colorées.
Voici comment l'esclavage a été aboli en Martinique en 1848. 27 avril 1848. Sous l'impulsion de Victor Schœlcher, homme politique français, un décret pour l'abolition de l'esclavage est signé par le gouvernement de la IIe République.
La religion catholique à la Martinique
Largement majoritaire à la Martinique, la religion catholique est représentée dans chaque village à travers de multiples églises.