Mettre son smartphone dans du riz
Le riz, un bon système D pour absorber l'humidité. Aussi étrange que cela puisse paraître, le riz est le meilleur ami des smartphones victimes de naufrage.
Selon des chercheurs britanniques, manger trop de riz peut s'avérer fatal. En cause, de faibles niveaux d'arsenic qui augmenteraient le risque cardiovasculaire. Le riz est la nourriture de base de la moitié de l'humanité. Or cet aliment est particulièrement sensible aux métaux lourds.
Pourquoi la conservation du riz peut-il le rendre toxique ? Lorsque le riz est cuit puis laissé trop longtemps à température ambiante, les Bacillus cereus peuvent se multiplier rapidement et, après à peine deux petites heures, des toxines sont produites. Or, elles ne seront plus détruite par la cuisson.
Cela permet au grain de riz de se détacher.
L'amidon qu'elle contient va boucher les pores de la plante et la faire ainsi mourir. Attention toutefois à la présence de sel qui va appauvrir le sol. Il est donc recommandé d'utiliser l'eau de cuisson du riz comme désherbant sur une surface où l'on ne plantera rien, comme une terrasse par exemple.
Ne pas rincer le riz
Cela permet d'effacer toute trace possible de poussière et autre impureté due à l'emballage. Mais ce n'est pas l'unique raison. Passer l'ingrédient plusieurs fois sous l'eau avant de le cuisiner permet d'éliminer l'excès d'amidon et ainsi de limiter les risques d'obtenir une texture collante.
Aujourd'hui, le riz blanc a un index glycémique élevé et les processus de raffinage entrainent la perte des fibres, des vitamines, du magnésium et des autres minéraux, des lignanes, des phytoestrogènes et de l'acide phytique, qui peuvent être des facteurs de réduction du risque de diabète.
Eh bien c'est une pratique à bannir au plus vite. Le riz réchauffé développe une bactérie pas sympa du tout appelée Bacillus cereus qui se révèle toxique quand elle est chauffée à haute température. Vous vous exposez alors à un risque d'intoxication alimentaire.
Bonne nouvelle : le riz et les pâtes renferment le même nombre de calories, environ 350 kcal pour 100g. S'ils sont consommés "nature", ils ont donc le même effet sur la ligne.
En fait, d'après les chercheurs, c'est l'index glycémique élevé du riz qui pourrait induire son effet bienfaisant sur le sommeil. L'index glycémique élevé induirait une augmentation de tryptophane, acide aminé qui engendre la production de sérotonine, puis de mélatonine, l'hormone du sommeil par excellence.
Voici nos recommendations: Notre 1er choix, et celui que vous retrouvez le plus souvent dans vos menus, est le riz brun ordinaire. C'est celui qui contient encore le germe et le son, est qui est donc le plus riche en nutriments et en fibres.
Il contient les huit acides aminés essentiels, de l'acide folique, est très pauvre en sel et ne contient pas de cholestérol. Le riz basmati a un indice glycémique faible à moyen. Il libère donc plus lentement et de manière plus stable son énergie, favorisant ainsi un niveau d'énergie plus équilibré.
L'amidon est responsable de l'aspect gluant du riz. Si vous ne voulez pas de ce résultat à la cuisson et préférez que vos grains se séparent les uns des autres, il est donc plus judicieux de les laver au préalable.
Une légende urbaine laisse croire que quand un téléphone tombe dans un liquide, le premier geste doit être de le mettre dans du riz pour absorber l'humidité. Ceci est absolument faux et ne sert absolument à rien. Le taux d'absorption d'humidité du riz est quasiment inexistant comparé à d'autres produits.
En quoi est-ce bénéfique ? L'amidon des pâtes froides et du riz froid est beaucoup moins énergétique que leurs équivalents chauds. Il ne provoque pas de pic de glucose dans le sang, donc n'augmente pas le risque de surpoids et de diabète de type 2.
Il contient également quelques vitamines et minéraux essentiels, comme le fer, le calcium et la vitamine B6. De plus, l'amidon est une source importante de fibres alimentaires, ce qui en fait un aliment sain et nutritif.
Privilégiez plutôt le riz complet, le riz brun, plus foncé. C'est lui qui remporte la palme du transit. Son secret est qu'il n'est pas raffiné et contient beaucoup plus de fibres. Le transit est mieux stimulé et vous passerez moins de temps aux toilettes.
On peut aussi réduire le « risque arsenic » à l'aide de quelques gestes appropriés comme faire tremper le riz quelques heures ; cuire le riz dans un volume d'eau très important (cinq à six fois le volume) ; ou encore cuire le riz en deux temps en jetant l'eau d'une première cuisson de cinq minutes.
Rinçage et trempage :
Comme quasiment tous les riz asiatiques, le riz basmati doit être rincé avant cuisson pour retirer l'excès d'amidon (même si l'emballage ne le précise pas). Il est aussi meilleur si on prend le temps de le faire tremper, surtout pour une cuisson au cuiseur de riz.
Dans l'eau, on frottera les grains entre eux pour nous assurer qu'aucune impureté ne reste accrochée. On répète cette opération jusqu'à ce que l'eau opaque devienne une eau claire et translucide. Les experts recommandent de s'y reprendre à 3 fois au moins, pour que l'amidon s'échappe de notre riz.
Cuisson du riz pilaf ou “riz à l'orientale”
Faire chauffer de l'huile dans une poêle, y faire revenir le riz jusqu'à ce que les grains deviennent translucides, sans brûler.