Une douleur au bras droit peut se situer au niveau de l'épaule, du coude ou du poignet, elles sont souvent d'origine traumatiques. Mais il est aussi fréquent d'observer l'apparition d'une tendinite suite à un faux mouvement, à la musculation ou encore liée à des gestes répétés du quotidien.
La sensation de bras "endormi" la nuit est très fréquente et généralement inoffensive. Mais dans certains cas, elle peut être liée à des problèmes de santé sous-jacents, comme le diabète, le syndrome du canal carpien ou une carence en vitamine B.
Engourdissement ou picotements dus à un incident imminent
Le fourmillement du bras peut annoncer une ischémie du myocarde ou une crise cardiaque : Si le fourmillement est soudain et localisé sur un seul bras, il peut être le signe précurseur d'un AVC, (accident vasculaire cérébral).
Une sensation de décharges électriques, de brûlures ou de fourmillements qui ne s'accentuent pas avec l'effort. Une douleur qui apparaît soudain lors d'un effort, irradie dans le bras gauche et ne s'atténue pas au repos (dans ce cas il s'agit peut-être d'un infarctus du myocarde : consultez le plus vite possible)
Douleur musculaire au bras
Le bras peut bien souvent être le siège de douleurs musculaires, que ce soit au niveau de la coiffe des rotateurs dont la douleur se projette sur le moignon de l'épaule, le biceps, le triceps ou les muscles du coude. Ces douleurs arrivent principalement pendant l'effort.
Le symptôme le plus connu est une douleur aiguë et persistante dans la poitrine avec une sensation d'étau qui se resserre. La douleur peut irradier dans le bras gauche ou encore causer des vertiges.
Une douleur intense au bras gauche, qui ne fluctue pas en fonction des changements de position et s'accompagne d'une sensation de malaise général, de sueurs, d'une pâleur, etc doit être considérée comme un signe d'infarctus du myocarde !
Le signe classique de l'infarctus du myocarde est une douleur thoracique, rétro sternale, irradiant dans le bras gauche et le poignet et les mâchoires.
Les causes des douleurs dans les bras la nuit
Dans la majorité des cas, les douleurs dans les bras la nuit sont dues à des blessures ou à des chocs traumatiques. La tendinite, la contusion à la suite d'un traumatisme, l'entorse ou encore la fracture peuvent être à l'origine de votre douleur.
Douleur exquise : douleur vive et très localisée, généralement provoquée par la pression. Douleur fulgurante : douleur très intense qui fait penser à un éclair. Douleur irradiante : douleur qui diffuse en rayons à partir d'un point de plus forte intensité.
Pour cela, n'hésitez pas à masser la zone engourdie. Prenez un peu d'huile d'olive, de l'huile de coco ou de l'huile de moutarde et appliquez sur la partie douloureuse. Faites ensuite des mouvements circulaires tout en procédant avec beaucoup de douceur. Effectuez ce massage pendant au moins 5 minutes.
- D'abord du repos et une application de froid pour calmer l'inflammation. - Les anti-inflammatoires locaux (crèmes et gels) sont souvent efficaces.
Des maladies souvent graves qui affectent le système nerveux central (AVC, sclérose en plaques, tumeur, paraplégie, Traumatisme crânien etc.) peuvent être la cause de cette faiblesse (ou paralysie partielle) des bras ou jambes.
L'idéal est donc de garder le haut du bras le long du corps et de plier les coudes si on le souhaite, conseille Charlène Chéron. Si on dort sur le côté on ne doit pas mettre tout le bras sous l'oreiller car ça crée une élévation de la première côte, ça favorise les tensions ainsi que les fourmillements.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
Elles doivent s'alerter si elles ressentent de manière brutale ou intense les symptômes suivants : oppression thoracique, difficultés à respirer, palpitations, essoufflement à l'effort ou parfois au repos, grande fatigue persistante, troubles digestifs, nausées.
L'infarctus du myocarde survient lorsqu'une plaque se détache, puis se déplace et s'immobilise dans une artère coronaire. Un caillot de sang se forme autour de la plaque et interrompt l'apport de sang, privant ainsi le cœur d'oxygène. Cela entraîne la destruction d'une partie plus ou moins étendue du muscle cardiaque.
une tension artérielle supérieure à 140 mm/Hg ; la présence d'un antécédent familial d'infarctus du myocarde ; un excès pondéral (IMC>25)
Mais il s'agit en réalité d'une forme d'insuffisance cardiaque aigue. Le stress brutal déclenche une libération brutale de ces catécholamines, hormones du stress. Elles ont un effet paralysant sur le cœur, qui ne se contracte quasiment plus et n'arrive plus à envoyer le sang dans les artères de notre organisme.
Pour le vérifier des cardiologues, proposent un test qui prend moins de deux minutes et qui ne nécessite pas d'autre matériel qu'un escalier. Comment faire ? Lancez un chronomètre et tentez de monter quatre étages : si vous mettez moins d'une minute, cela signifie que votre cœur est en bonne santé.