La cause la plus courante est une mauvaise position la nuit : le corps exerce une pression sur un nerf du bras, qui finit par "s 'endormir". Ces cas sont inoffensifs. La sensation disparaît après avoir changé de position.
Une douleur dans le bras gauche, en particulier, peut être le signe d'un infarctus du myocarde ou d'une angine de poitrine. C'est pourquoi il est important d'accorder une importance particulière à toute douleur soudaine dans le bras gauche et consulter un médecin sans attendre.
Les médecins demandent également si la personne a présenté un trouble qui peut provoquer un engourdissement, particulièrement le diabète, une maladie rénale chronique, des infections (comme une infection par le VIH ou la maladie de Lyme), un AVC ou de l'arthrite.
Une douleur au bras gauche peut être liée à une douleur musculaire, à un pincement nerveux, à une blessure osseuse ou encore à une douleur référée du cœur. En effet, le bras peut être source de nombreux types de symptômes avec des douleurs apparaissant la nuit, au repos ou au mouvement.
Elle peut irradier vers le bras gauche, l'avant-bras, avec parfois une sensation de serrement au poignet, dans le cou, la mâchoire inférieure, parfois dans le bras droit, la nuque, le dos ou la région de l'estomac.
Le symptôme le plus connu est une douleur aiguë et persistante dans la poitrine avec une sensation d'étau qui se resserre. La douleur peut irradier dans le bras gauche ou encore causer des vertiges.
Une consultation médicale en urgence devient indispensable si : les fourmillements sont soudains et surviennent au niveau d'un seul bras ; les fourmillements s'accompagnement d'autres symptômes dont des troubles de la parole, des troubles de l'équilibre et des vertiges.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
"Typiquement la douleur est thoracique gauche, avec une sensation d'étai et de serrement, favorisée par l'effort. Elle peut irradier dans la gorge, la mâchoire ou le bras gauche, il s'agit parfois d'ailleurs le seul signe, notamment chez les femmes", détaille le médecin.
Des fourmillements
Des fourmillement dans les mains et les pieds sont fréquents lors d'épisodes de stress intense. Ils sont dus à une accumulation de dioxyde de carbone dans le sang, au niveau des extrémités. C'est une manifestation physique en réponse à un danger potentiel.
Il suffit de remuer le membre engourdi pour réactiver la circulation et atténuer les fourmillements. Lorsqu'ils s'avèrent tenaces, une friction avec une goutte d'huile essentielle de géranium diluée dans une noisette d'huile végétale (amande, argan ou macadamia) permet de les atténuer.
Pouvez-vous la reproduire en appuyant sur la partie sensible ? Une réponse positive à l'une de ces questions suggère davantage une douleur musculaire. Une douleur d'origine cardiaque est, quant à elle, persistante, peu importe la position ou le type de respiration.
L'infarctus du myocarde survient lorsqu'une plaque se détache, puis se déplace et s'immobilise dans une artère coronaire. Un caillot de sang se forme autour de la plaque et interrompt l'apport de sang, privant ainsi le cœur d'oxygène. Cela entraîne la destruction d'une partie plus ou moins étendue du muscle cardiaque.
Le nerf radial a pour principale fonction l'innervation du bras, de l'avant-bras et de la main.
D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.
Bras tendus, les jambes bien ancrées au sol, dans le prolongement du bassin donc un peu écartées, vous pliez, vous dépliez. Vous descendez, vous remontez. 30 fois. 30 flexions à un rythme assez soutenu dans la mesure où il faut que ça soit bouclé en 45 secondes.
Le mot "engourdissement" peut être utilisé par les patients pour décrire divers symptômes, y compris la perte de sensibilité, des sensations anormales, et une faiblesse ou une paralysie. Cependant, l'engourdissement est en réalité une perte de sensibilité, partielle (hypoesthésie) ou totale (anesthésie).
Rien de plus banal que de ressentir des « fourmis » dans les jambes, pieds, mains, bras, lorsqu'on est resté par exemple, dans la même position durant un certain moment. Cela est seulement le signe que notre circulation sanguine nous a joué un petit tour, pendant que nous étions immobiles.
Des fourmillements peuvent apparaître "certainement à cause du manque de vitamine D et de son action sur les muscles". Cependant, l'experte ajoute que ces fourmillements peuvent également être dus à un manque de potassium ou de magnésium.