Un enfant de 5 à 8 ans peut également avoir de la difficulté à comprendre et à parler de ses émotions. Ainsi, même quand il est un peu plus vieux, un enfant peut bouder pour exprimer une émotion et vous signaler que quelque chose ne va pas. Il arrive aussi qu'un enfant boude pour avoir l'attention de ses parents.
L'enfant en proie à une colère de frustration a besoin d'apprendre à mettre des mots sur ses désirs et ses désirs frustrés (pas forcément que ses désirs soient exaucés). Par exemple, un enfant qui explose de colère quand sa mère lui refuse quelque chose est précisément en train de se remettre de sa frustration.
Pourquoi mon enfant est-il susceptible ? Comme pour tout trait de personnalité, la susceptibilité est plus ou moins marquée chez les enfants. “Au départ, c'est une question de caractère. Notre héritage génétique fait que nous sommes plus ou moins sensibles (il y a des familles de « susceptibles »).
Demandez-vous pourquoi au regard de son environnement. Souvent, on connaît déjà l'origine du trouble : «c'est vrai que je rentre tard» ou «c'est vrai qu'un petit deuxième vient d'arriver». Je conseille vraiment aux parents de faire le point d'abord de leur côté.
Le trouble primaire du langage oral, ou la dysphasie, est un trouble neurodéveloppemental du langage qui affecte la compréhension et/ou l'expression d'un message verbal, peu importe la modalité de présentation, langage oral ou écrit.
Le mutisme sélectif est dû à une anxiété grave. Il est dû au fait que le cerveau est tellement débordé que la personne est incapable de parler. Notre cerveau est doté d'un "système de peur" câblé. Il s'active lorsque nous nous sentons en danger.
Il nous revient d'apprendre à les décoder en termes d'émotions et de besoins. Un enfant qui ne veut pas se confier a peut-être honte ou peur (de notre réaction ou d'une punition par exemple). Il est peut-être trop en colère ou trop triste pour pouvoir parler.
Par définition, le mutisme sélectif est une incapacité persistante, qui dure plus d'un mois, à parler dans une ou plusieurs situations sociales (à la crèche ou à l'école, le plus souvent) alors même que l'enfant est en capacité de parler dans d'autres situations (à la maison, notamment) .
Les arts martiaux externes en sont les exemples parfaits. Parmi ces sports de combat, on trouve l'aïkido qui permet de se protéger et de comprendre la position de l'attaquant. Ce sport peu agressif, dont la philosophie est basée sur l'empathie, convient parfaitement aux enfants et aux adolescents hypersensibles.
Les enfants ont besoin d'être reconnus, entendus dans ce qu'ils vivent. Évitez de banaliser l'événement en disant qu'il s'en fait pour rien et soyez attentifs à ce qu'il ressent. Discutez avec votre enfant une fois sa colère passée : Demandez-lui ce qu'il l'a fait réagir dans la situation qui s'est produite.
Le trouble explosif intermittent (TEI) est un trouble comportemental caractérisé par des expressions extrêmes de colère, souvent au point de violence, disproportionnées par rapport à la situation qui survient (voir aussi à la définition de Seb Bouyer).
La période des « fucking fours » est principalement caractérisée par des crises de colère, des négociations, de la bouderie, des paroles blessantes envers l'adulte et de la confrontation face aux limites instaurées par l'adulte.
Le mieux est de l'engager à consulter un psychiatre ou un psychologue… mais nous savons parfaitement que ce n'est pas facile…
Il est fréquent qu'un enfant n'ait pas envie de raconter ce qu'il fait en votre absence. C'est tout à fait normal. L'école fait partie de sa vie à lui. Il doit prendre peu à peu conscience que son existence lui appartient bien et apprendre à s'approprier son histoire.
Le plus important avant de parler à un·e proche ou un·e spécialiste est de se concentrer sur soi-même et de s'assurer que nous en avons vraiment besoin : “Il faut se raconter ce qui ne va pas, effectuer un travail de reconnaissance avant de se jeter dans l'expression de ses émotions.” Pour faire cette introspection, la ...
La personne ressent une peur intense avec perte de contrôle (peur de s'évanouir, de mourir, de devenir fou, de faire un malaise cardiaque…), une sensation de danger immédiat et des sensations physiques très désagréables et très variables (palpitations, sueurs, frissons, bouffées de chaleur, tremblements, douleurs ...
"Sans prise en charge, cet état peut devenir chronique et se compliquer par l'apparition d'autres pathologies comme des troubles de l'humeur, une dépression, des modifications de la personnalité, l'alcoolisme ou la toxicomanie", précise le spécialiste.
Pourquoi consulter un orthophoniste ? L'orthophoniste aide les personnes de tous âges présentant des difficultés de parole, de langage, de communication, d'apprentissage et de déglutition (action de mastiquer ou d'avaler) afin de favoriser leur autonomie, leur bien-être et leur intégration dans leurs milieux de vie.
La dyscalculie est un trouble d'apprentissage des mathématiques. Il ne s'agit pas d'une déficience mentale. L'enfant dyscalculique a de la difficulté à comprendre et à utiliser les chiffres. Des professionnels comme un orthophoniste ou un orthopédagogue peuvent aider l'enfant.
À retenir. Un enfant commence généralement à parler entre 12 et 16 mois. Quand il a plus de vocabulaire, le tout-petit combine des mots. Cela se produit souvent entre 18 mois et 2 ans.