Les principaux sont : Problèmes psychologiques tels que l'alcoolisme, la dépression ou un trouble mental. Mauvaise relation avec la mère de l'enfant ou divorce. Il a également été rejeté dans l'enfance et répète maintenant ce comportement avec ses enfants.
Un parent toxique critique et se moque de son enfant
Il dira des phrases comme : « c'est bien mais tu aurais pu… ». Ce comportement finira par faire perdre à l'enfant sa confiance en lui. Il ne se sentira jamais à la hauteur de ce qu'on lui demandera, parce qu'il n'a pas assez été encouragé.
Il s'agit du père souvent absent car il fait passer son travail, son passe-temps ou ses amis avant tout le reste. Ce genre de père se repose beaucoup sur la mère en ce qui concerne l'éducation et les soins apportés à l'enfant. Même s'il est présent physiquement, il ne s'implique que très peu dans son rôle de père.
Si votre père est en colère ou violent, vous devez éviter de vous disputer avec lui ou de le raisonner. Dans ce genre de situation, la meilleure des choses à faire est de rester silencieux(se) et de ne parler que s'il s'adresse directement à vous.
Le simple fait de passer du temps ensemble à partager votre vie à travers des photos et des histoires peut aider votre père à mieux connaitre votre nouvelle vie. Même si vous ne parlez pas trop, votre présence seule peut créer une sorte de connexion. Vous pouvez vous contenter de vous assoir tranquillement ensemble.
Il est normal de détester ses parents par moment mais il est encore plus normal de détester son père. Ce qui n'est pas normal, c'est de donner à l'enfant le choix de l'exclure de sa vie. Le père, ça ne se discute pas (ce qui ne veut pas dire que l'on ne peut pas se disputer avec lui).
"Un parent toxique, c'est un parent qui a été dominateur, critique, méprisant, manipulateur ou plus simplement démissionnaire et incapable d'offrir le moindre soutien à son enfant. Ces parents ne sont pas forcément coupables de sévices ou d'abus sexuels", définit au préalable la psychothérapeute.
Un bon père est présent aux côtés de son enfant pour tisser des liens privilégiés et partager des moments de complicité : faire des câlins, donner le bain... Il le rassure, le protège et le réconforte tout en l'aidant à devenir autonome. Il pose des limites et des interdits de manière positive.
Être un bon papa c'est savoir adapter sa manière de communiquer avec un tout petit, consacrer des moments exclusifs et de qualité à son enfant, en veillant d'abord, à être disposé soi-même, à vivre ce moment de partage.
Père de quatre enfants, Yannick Noah arrive en première position dans le classement du père idéal (cité par 27% des Français).
Papa, tu laisses un grand vide dans ma vie, mais sache qu'il y aura toujours une place pour toi dans mon cœur. Même si tu ne sembles pas être avec moi, que je ne peux pas te toucher, te voir ni t'entendre, je sais que tu veilleras toujours sur moi, comme tu l'as toujours fait. Papa, tu me manques déjà.
Pour sortir de cette toxicité, l'adulte qui a dû faire face à un parent toxique peut se faire accompagner par un psychologue. Ainsi, il apprendra à se libérer de cette emprise et à devenir la personne qu'il souhaite être et non plus être façonné et manipulé par la personne toxique de son entourage.
Cette attitude a quelque chose de pathologique chez les parents. Elle est le fruit d'un moment douloureux de leur histoire intime. Il peut s'agir d'un secret de famille bien enfoui, une filiation douteuse par exemple." L'exclusion peut aussi être due à un mode de vie que la famille désapprouve.
Mais c'est finalement une situation assez courante, dont on ne parle pas assez. Pris par la fatigue, le stress du boulot, la charge mentale, le manque de temps pour soi, on a vite fait de rentrer dans un cercle vicieux où la relation à notre enfant se dégrade.
Par peur de perdre l'amour de son père ou de sa mère, l'enfant va « se plier » aux exigences et accepter ce qu'il ne veut pas. A répétition, cet enfant devenu adulte, va « se modéliser » en individu apte à répondre aux demandes qui ne lui conviennent pas, pour fuir l'angoisse de ne plus être apprécié ou aimé !…
Pourquoi est-ce qu'on a honte de nos parents ? La honte est un sentiment lié au rapport aux autres et à l'image, à l'idée, à l'estime que l'on a de soi. La honte est toujours liée au regard ou au jugement des autres, réel ou imaginaire. Et à l'adolescence, ce regard est particulièrement important.
Le père impose une écoute différente de celle de la mère ; il est un support, une sécurité, un moyen de construction importante pour l'enfant. Le père, c'est aussi le garant de cette autorité constructive qui positionne les limites et qui fera des enfants des adultes responsables.
Le test de paternité peut être réalisé selon 2 méthodes : soit un examen comparé des sangs, soit une identification par les empreintes génétiques (test ADN), généralement grâce à un échantillon de salive. Les marqueurs génétiques propres à chaque individu sont analysés.
Une petite fille a besoin de voir ses parents qui s'aiment et se désirent, indispensable pour qu'elle puisse à son tour devenir aimée et aimante. Grâce à son père qui lui aura montré la voie, elle souhaitera, elle aussi vivre une relation remplie d'amour et de désir, à l'instar de celle vécue par ses parents.
Un père est biologique, un papa est affectif
Tout homme peut être père puisqu'il est responsable de la conception de l'enfant mais être papa demande une présence, une responsabilité vis-à-vis de la famille et une participation dans l'éducation et l'évolution de l'enfant.
Un parent manipulateur pervers narcissique se projette sur son enfant, il ne l'accepte pas tel qu'il est. Son enfant n'a d'intérêt que s'il peut en faire un objet de jouissance. S'il ne correspond pas à l'image souhaitée. Il sera rejeté, brimé, humilié...
Soit on s'éloigne du parent toxique, on met des distances, on coupe les ponts mais sans culpabiliser. Soit on agit avec suffisamment de recul, presque comme si c'était une personne étrangère, comme un infirmier qui gère un malade, mais cela demande beaucoup de stabilité émotionnelle.
Le parent manipulateur se projette sur son enfant, qui n'a pour lui qu'un intérêt de jouissance. Il le rejette et l'humilie, fait même en sorte qu'il échoue : il n'est jamais assez bien, jamais parfait. Lorsqu'il réussit, le pervers narcissique s'approprie la victoire : c'est grâce à lui que l'enfant réussit.
Le parent qui a la garde de l'enfant doit l'encourager le plus possible à voir l'autre parent. Si malgré ces encouragements, l'enfant refuse toujours d'y aller, il est alors sage de considérer : l'âge de l'enfant; et. ses motifs pour refuser d'aller avec l'autre parent.