Les poulets grossissent tellement et tellement vite que leur corps ne fournit pas assez d'oxygène et de nutriments à la fibre musculaire, qui se dégrade et devient filandreuse”, explique Rachel Dreskin, directrice de la branche américaine de l'association de défense des animaux d'élevage Compassion in World Farming ( ...
Commencez d'abord par regarder la couleur de la viande. Si cette dernière tourne au grisâtre, c'est que le poulet n'est plus de première jeunesse. Parallèlement, si vous remarquez des traces de moisissure ou tout aspect disgracieux sur votre poulet cuit, on vous conseille d'éviter de le consommer.
Un bon poulet doit d'abord peser plus d'un kilo, sinon cela signifie que la volaille a été mal nourrie ou abattue trop tôt. Le poulet doit aussi avoir des os solides, signe qu'il a pu s'épanouir à l'extérieur. Surveillez également la qualité de la chair du poulet, signe d'une bonne nutrition de l'animal.
En cas de doute et si vous ne voulez pas le jeter de peur de gaspiller, goutez-en un petit morceau. Contentez-vous de le mâcher en vous concentrant attentivement sur son gout sans l'avaler. S'il a mauvais gout ou qu'il vous semble légèrement aigre, recrachez et jetez tout le reste.
Le poulet cuit à haute température peut cuire trop vite et devenir sec et caoutchouteux. Comment procéder: On doit cuire le poulet à feu doux et à basse température (soit environ 85 °C/185°F). On doit laisser la poêle à moitié recouverte pour contrôler le processus.
Malgré vos précautions et le respect des dates limites de consommation, il se peut que la viande ait tourné. Pour vous en rendre compte, le premier critère reste la couleur. Le poulet doit avoir une chair rose clair. Si elle tend à virer au gris, ne prenez aucun risque: jetez-la!
Effectivement, un poulet mal cuit peut être la cause d'une intoxication par la salmonelle, une bactérie pouvant impliquer de nombreuses complications intestinales.
Une viande périmée peut contenir différentes bactéries très dangereuses comme les staphylocoques, le E. coli, la listéria, ou encore les salmonelles.
Dans un bol, posez votre poulet et frottez grossièrement les parties intérieures et extérieures avec les rondelles de citron. Laissez reposer votre poulet pendant 2 à 3 heures avant de le cuire.
La viande n'est pas prête à être mangée juste après l'abattage. Elle a besoin de repos pour devenir sensible, ce qui se produit lorsque les tissus conjonctifs du muscle se décomposent. La maturation des viandes est ce processus de décomposition. La période de maturation idéale est de 21 à 24 jours.
Produit phare du terroir, le poulet de Bresse, déjà très apprécié par la cour du roi Henri IV, est considéré comme le meilleur du monde. Véritable star, cette volaille a même son festival, les Glorieuses de Bresse.
Le poulet jaune, avec sa chair souvent plus grasse due à son régime riche en maïs, offre une saveur intense. Il contient également des caroténoïdes provenant du maïs, qui sont bénéfiques pour la santé. Le poulet blanc, en revanche, a une chair moins grasse, mais demeure une excellente source de protéines maigres.
Mettez les morceaux de poulet dans un ou plusieurs sacs de congélation. Expulsez l'air autant que possible ou congelez la viande sous vide. Sur le sac, notez ce qu'il contient et la date de congélation. Congelez le poulet à une température comprise entre -18 et -20 °C.
Le poulet cru se conserve de deux à trois jours au frigo et jusqu'à six mois au congélateur. Une fois cuit, le poulet se conserve de trois à quatre jours au frigo et de quatre à six mois au congélateur. Laissez le poulet dégeler au frigo et consommez-le dans les 24 heures.
Il vous suffit de couper un citron en deux et de frotter une moitié sur les différentes parties du poulet. Vous pouvez également badigeonner votre viande de jus de citron. En effet, selon le magazine, cet agrume possède une forte action antibactérienne qui vous débarrassera d'une grande partie des infections.
Dans le frigo : on le range au bon endroit !
Dans un réfrigérateur, la température n'est pas homogène, il faut donc bien faire attention où on range la viande. Le poulet cuit (refroidi, pour ne pas créer de choc thermique) doit être placé dans la partie la plus froide, celle où la température oscille entre 0° et 4°.
Ne pas laver la volaille
Or c'est une pratique dangereuse, prévient la FSA, puisque cela "peut, par projection d'eau, disséminer la bactérie sur les mains, les vêtements, le plan de travail ou les ustensiles de cuisine".
De nombreuses personnes pensent que laver le poulet sous l'eau avant de le faire cuire est hygiénique, mais cela augmente le risque d'intoxication alimentaire par la dispersion de bactéries pathogènes. Les poulets, comme tous les animaux, sont l'hôte pour une variété de microorganismes, y compris les bactéries.
En effet, le citron exerce une action antibactérienne très puissante qui permet de lutter contre bon nombre d'infections. Autre alternative : le vinaigre. Il suffit de rincer votre poulet avec, et le tour est joué !
Des traits blancs, une chair plus dure par endroit ou une viande qui s'effiloche façon spaghettis : autant de signes qui indiquent un filet de poulet de mauvaise qualité.
Il est fortement déconseillé de manger de la viande périmée.
Et si vous avez un doute même avant sa DLC, pensez à vérifiez l'odeur, la texture et la couleur de la viande avant de vous aventurer dans une quelconque recette.
Si en ouvrant le papier d'emballage ou la barquette, vous remarquez que la viande dégage une odeur d'ammoniaque, aigre, ou de moisi, qu'elle est visqueuse ou grise, il vaut mieux la jeter. Si une viande rouge est devenue brune, verdâtre, ou est en train de verdir, ne la consommez pas non plus.
Cela permet de réduire la quantité d'huile absorbée par le poulet, et de conserver son jus grâce à la basse température de cuisson.
Plusieurs solutions s'offrent à vous. Le chef Stéphane Ranieri conseille d'émincer la chair (et notamment les filets, particulièrement secs lorsqu'ils ont subi une sur-cuisson), et de la servir avec une sauce un peu « grassouillette » que vous aurez concoctée avec le jus de cuisson du poulet déglacé, réduit et crémé.
Presque tous les animaux sont susceptibles d'être infectés par la salmonelle. La volaille et les porcs sont parmi les animaux les plus souvent contaminés. La bactérie est aussi régulièrement détectée chez les bovins.