Si le yaourt obtenu est trop granuleux, avec beaucoup de sérum et/ou trop acidulé, les raisons peuvent être les suivantes : – Le temps de maturation est trop long ; – Les ferments n'ont pas été mélangés pendant l'inoculation.
Vos yaourts restent trop liquides ? Ajoutez simplement un demi-pot de yaourt, voire un pot entier, de lait en poudre. En plus d'une texture bien ferme, vous obtiendrez des yaourts onctueux et veloutés !
La seconde méthode pour savoir si un yaourt a tourné est de vérifier la texture du yaourt. Il doit être lisse et homogène. Dans le cas contraire, jetez-le. Enfin, un yaourt est périmé si une odeur désagréable s'en dégage.
Le lait pour le yaourt !
Attention toutefois à ne pas en mettre de trop sinon les yaourts seront « filandreux ». Idéal le lait entier, frais ou pasteurisé pour des yaourts fermes et onctueux. Le lait demi-écrémé donne généralement des yaourts moins fermes. Évitez le lait écrémé, à moins de vouloir des yaourts liquides…
Vos yaourts sont gluants. Tentez de « réduire » votre lait en le faisant bouillir au préalable. Attention à le laisser refroidir avant d'ajouter les ferments !
Les bactéries responsables de la transformation du lait en yaourt sont très sensibles aux variations de températures. Trop froid, le yaourt ne prend pas. Trop chaud, les bactéries meurent. Et entre les deux, moins de 5 degrés de latitude.
La texture des yaourts varie en fonction du lait liquide utilisé : avec du lait entier, ils seront naturellement plus fermes et onctueux. On peut donc utiliser seulement 3 cuillères à soupe de lait en poudre.
Faut-il mettre les couvercles sur les pots pendant la cuisson ? Non. Les couvercles se posent à la fin du cycle avant de placer vos yaourts, pendant au moins 4 heures, dans votre réfrigérateur.
Le lactosérum (c'est son nom mais on le connaît plus sous l'appellation “petit-lait”) est la résultante de la synérèse du yaourt (le processus chimique qui sépare le liquide du solide). Comme ce liquide est un peu acide, il est possible de le mélanger avec le reste du yaourt. À consommer sans hésiter donc.
Une fois la fermentation terminée, refermez les pots et laissez-les refroidir tel quel avant de les mettre au réfrigérateur pendant 4 à 5 heures. Ils sont prêts à être dégustés. Vous pouvez les conserver ainsi pendant plusieurs jours tout en sachant que plus le temps passe, plus ils sont fermes.
Les yaourts indiquent une Date Limite de Consommation (DLC), fixée à 30 jours après fabrication. La DLC indique habituellement la date au-delà de laquelle le produit peut représenter un danger pour la santé.
Pour se développer, le ferment aime un peu de chaleur, mais pas trop. 40°, c'est parfait pour lui… parce qu'à 45°, il meurt (et vos yaourts sont ratés). Le principe de la yaourtière est donc de maintenir cette douce chaleur le temps optimal (de 6 à 8h) pour obtenir des yaourts fermes mais savoureux.
GELATINE EN POUDRE QUALITÉ PREMIUM
La gélatine est le seul épaississant autorisé dans les protocoles de soins intestinaux tels que GAPS et SCD. La gélatine est activée à très basse température, et donc vous pouvez préparer du yaourt cru avec cette méthode d'épaississement.
– Lait de vache :entier ou demi-écrémé, frais, pasteurisé ou UHT, tous les types de lait sont utilisables. Néanmoins, je vous recommande d'utiliser du lait entier de préférence frais ou pasteurisé pour obtenir des yaourts fermes et onctueux.
Comment utiliser ma yaourtière ? Vous devez d'abord mélanger soigneusement un litre de lait à température ambiante avec un yaourt entier à température ambiante. Ensuite, répartissez le mélange dans les pots et placez ces derniers dans la yaourtière. Mettez le couvercle sur la yaourtière, puis branchez-la.
La présure : Ce produit permet de faire cailler le lait. On l'utilise principalement pour la fabrication des fromages, mais on peut également l'utiliser dans nos yaourts pour les rendre plus fermes à la place du lait en poudre. Il suffit d'ajouter en plus du ferment lactique, 3 à 4 gouttes de présure dans le lait.
En maintenant les pots à 40 °C environ, la yaourtière permet aux bactéries des ferments lactiques de se développer, ce qui fait épaissir le lait. Après 6 à 9 h dans la cuve, les yaourts sont prêts.
En moyenne, il faut laisser les yaourts pendant 8 heures dans la yaourtière. Plus il fait froid, plus il faut les laisser longtemps. S'il fait trop chaud (en été par exemple) c'est possible qu'ils tournent, cela arrive.
Lorsque l'on ajoute un produit acide à la préparation, les yaourts prennent l'aspect de lait tourné. Le lait tourné n'est pas mauvais (c'est comme ça que l'on fait les fromages) mais si vous souhaitez des yaourts et que vous obtenez un résultat qui ressemble à du lait caillé, ce n'est pas top.
Là encore, le marché propose différentes possibilités, certains appareils consommant un minimum de 14 Watts, soit moins d'un centime d'électricité consommée par heure. D'autres yaourtières consomment 20 W, 40 W, voire 600 W pour certains modèles très avancés.
On peut fréquemment lire que faire ses yaourts représente une économie de 50% en moyenne. C'est un peu trop optimiste selon-nous, mais l'économie est d'au moins 30% si on se base sur nos propres calculs. L'économie ne paraît pas énorme comme cela, mais il faut savoir que certaines personnes en mangent 2 à 3 par jours.
Mes yaourts sont gluants, filants :
– Le ferment est trop vieux. – Ferment de mauvaise qualité. – Trop de ferment (il n'en faut pas plus de 3 cuil. à café par litre de lait).
Mélangez 1 litre de lait à température ambiante avec un yaourt industriel ou un yaourt maison. Utiliser un yaourt pour faire un yaourt, c'est ce que l'on appelle le « repiquage » ! La préparation doit être bien homogène. Selon votre yaourtière, il faudra compter de 8 à 10 heures de cuisson.
Comment fonctionne la yaourtière ? Le lait se transforme en yaourt grâce à la fermentation à une température idéale et pendant une durée déterminée ; fonctions assurées par la yaourtière. Le lait est un ferment qui constitue un « catalyseur » naturel indispensable à cette transformation.
Dans la version de substitution du lait fermenté, on ajoute du jus de citron ou du vinaigre au lait, sans passer par la phase de décomposition du lactose. Cela fonctionne également très bien avec le lait de soja dont les protéines coagulent également sous l'effet du citron.