En 1924, après la victoire contestée des élections et l'assassinat du député socialiste Giacomo Matteotti, Mussolini assume l'entière responsabilité de la situation. La série de lois fascistissimes lui attribue, à partir de 1925, des pouvoirs dictatoriaux et fait de l'Italie un régime fasciste à parti unique.
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
Le suffrage universel à scrutin de listes régionales, avec une représentation proportionnelle, et le droit de vote pour les femmes. L'âge minimum pour les électeurs abaissé à 18 ans, celui des députés abaissé à 25 ans. La suppression du Sénat.
Le Parti national fasciste après la nomination de Mussolini chef du gouvernement : vers le parti-État. Dès décembre 1922 , Mussolini réunit le Grand Conseil fasciste, auquel prennent part le gouvernement et les dirigeants du PNF.
Les chemises noires (en italien : camicie nere ou squadristi) sont les adhérents à la milice du régime fasciste de Benito Mussolini, organisés depuis le 23 mars 1919 en Faisceaux italiens de combat (Fasci Italiani di Combattimento) (allusion au symbole d'autorité des consuls dans la Rome antique).
Au sens le plus strict, il désigne donc le régime de Benito Mussolini. Si historiquement le nazisme apparaît proche du fascisme, bien d'autres régimes politiques ont été qualifiés, à tort ou à raison, de fascistes par leurs opposants, comme l'Égypte nassérienne, le régime des Talibans, le stalinisme, le péronisme, etc.
Définition de extrémiste nom et adjectif
Partisan d'une doctrine poussée jusqu'à ses limites, ses conséquences extrêmes ; personne qui a des opinions extrêmes. Extrémiste catholique, musulman. ➙ fondamentaliste, intégriste. adjectif Les députés les plus extrémistes.
autocrate, despote, oppresseur, tyran.
La série de lois fascistissimes lui attribue, à partir de 1925, des pouvoirs dictatoriaux et fait de l'Italie un régime fasciste à parti unique.
En son sens large, le fascisme se définit comme une réaction aux valeurs de l'humanisme démocratique du siècle des Lumières. Issu des frustrations engendrées par ce nouveau modèle de société, le fascisme rejette les droits de l'homme, le communisme, l'anarchisme, les libertés individuelles et le libéralisme politique.
Le dictateur italien Benito Mussolini était conscient que l'Italie (dont les ressources ont été réduites par des interventions militaires d'avant la Seconde Guerre mondiale, quoique réussies, en Espagne, en Éthiopie et en Albanie) n'était pas prête pour un long conflit.
Le totalitarisme est un type de système politique dans lequel existe un parti unique, n'admettant aucune opposition organisée, où l'État tend à confisquer la totalité des activités de la société. Un tel système restreint l'opposition individuelle à l'État.
Après la mort de Lénine en 1924, Staline s'impose progressivement comme dirigeant de l'URSS. Dès 1928, il y installe un régime totalitaire, marqué par la suppression des libertés, la violence de la répression et par le strict contrôle de l'économie par l'État.
En Europe, la Biélorussie et l'Azerbaïdjan sont considérées comme des dictatures. Entre l'Europe et l'Asie, la Turquie est vue comme un régime où la démocratie se dégrade, à la limite un régime autoritaire.
L'URSS de Staline est considérée comme un régime totalitaire car Staline a tous les pouvoirs : il n'y a qu'un chef. De plus, il n'y a qu'un parti politique : le parti communiste. Il y a aussi l'utilisation du culte de la personnalité : Staline est "vénéré". Par exemple, il se fait appeler le "petit père des peuples".
"Un premier facteur peut être l'accroissement de la taille des femmes italiennes, à poids constant, cela a pu entraîner une baisse de l'IMC", explique le professeur Pietro Migliaccio, président de la Société italienne des sciences de l'alimentation.
En particulier en Italie, le terme « ennemi » ne désigne pas tellement, ou seulement, les puissances étrangères en guerre – tour à tour les Autrichiens, les Anglais, les Russes, les Ottomans – mais plutôt tous ceux qui s'opposent à la révolution et aux principes républicains.
Le 26 avril 1915, l'Italie signe un traité secret avec l'Angleterre et la France. Contre la promesse de gains territoriaux, elle leur propose d'entrer en guerre à leurs côtés contre l'Allemagne et l'Autriche-Hongrie.
Selon une tradition sémantique propre à l'extrême gauche italienne, Mussolini était le Duce, le « guide », l'incarnation d'un socialisme intransigeant porteur des espoirs du prolétariat.