Bien que certaines rumeurs parlent d'un assassinat, la plupart des historiens s'accordent à dire que la mort de Napoléon, survenue en 1821 alors qu'il avait 51 ans, est due à un cancer de l'estomac.
Après les échecs en Russie et en Allemagne, la Grande Armée est forcée de se battre sur son propre territoire pour repousser les forces coalisées largement supérieures en nombre qui affluent sur toutes les frontières. 1814 marque le crépuscule du Premier Empire, combattant contre l'Europe liguée.
Le coupable serait le général Charles de Montholon, un proche de l'Empereur. Il aurait empoisonné petit à petit Napoléon en versant quelques gouttes de poison dans le vin que consommait le général à Sainte-Hélène.
Le 5 mai 1821, à l'âge de 51 ans, il finit par mourir. François Antommarchi, le médecin au service de Napoléon qui l'avait suivi jusqu'à l'île, réalisa l'autopsie du corps dès le lendemain de sa mort. Il déclara un cancer de l'estomac.
Ces ouvrages inculpent sans ambiguïté Charles de Montholon de l'assassinat de Napoléon par empoisonnement chronique selon la méthode de la Brinvilliers. Les auteurs avancent comme mobile du crime l'hypothèse que Montholon était un agent royaliste et que le meurtre aurait été commandité par le comte d'Artois.
Dans cette commune belge, Napoléon aurait été doublement trahi le 18 juin 1815. D'abord par ses généraux, Ney et Grouchy en tête. Ensuite par la météo : une pluie diluvienne avait transformé en bourbier le champ de bataille, déroutant son artillerie.
Le 5 mai, à 4 h du matin, il prononce avec peine ses derniers mots : « À la tête de l'armée. » À moins que ce ne soit : « France… mon fils… armée… » On l'entend à peine avant qu'il ne plonge dans le coma.
La bataille de Waterloo, le 18 juin 1815, est l'une des plus célèbres batailles de l'histoire européenne. Vaincu par les forces de la coalition menée par Wellington et von Blücher, l'empereur Napoléon Bonaparte a définitivement perdu le pouvoir après sa défaite.
C'est ainsi que les maladies, l'hiver, mais aussi les soldats et la population russes, sont responsables de la défaite de Napoléon en Russie. Les guerres napoléoniennes ont profondément marqué la culture russe.
Après la défaite de Napoléon et le congrès de Vienne en 1815, la monarchie est réinstaurée en France. Louis XVIII (1815 - 1824) est proclamé "roi de France".
Il devient alors l'un des opposants les plus célèbres à Napoléon III. Victor Hugo met en effet sa plume au service de son engagement politique contre l'empereur. Il proclame les grands principes de libertés et de justice et refuse même de rentrer en France lors de l'amnistie des proscrits en 1859.
Ahmed Ben Bella (1916-2012)
Devenu un des chefs historiques de la résistance algérienne, il est de nouveau fait prisonnier en 1956 et interné à l'île d'Aix au fort Liédot de 1959 à 1961. Pendant trois ans, l'île retrouve son statut d'île forteresse avec près de 200 gardes mobiles chargés de la surveillance des lieux.
Si vous interrogez un féru napoléonien, il vous dira tout de go que IL (Napoléon) aimait le chambertin. La source est digne de foi, s'agissant de Louis-Constant Wairy, le premier valet de chambre de IL.
Le Second Empire fut englouti par la défaite militaire de 1870. Le désastre aboutit au déchirement de la nation, avec la Commune et l'annexion de l'Alsace-Moselle.
Le coup d'État du 18 brumaire an VIII ( 9 novembre 1799 ), souvent abrégé en coup d'État du 18 Brumaire, organisé par Emmanuel-Joseph Sieyès et exécuté par Napoléon Bonaparte, avec l'aide décisive de son frère Lucien, marque la fin du Directoire et de la Révolution française, et le début du Consulat.
Le Second Empire se termine le 4 septembre 1870 à la suite de la défaite de Sedan, lors de la guerre contre la Prusse, puissance montante en Europe dirigée par le chancelier impérial Otto von Bismarck. La Troisième République lui succède et inaugure la pérennité du régime républicain en France.
Le vice-amiral Nelson décide de perforer la ligne franco-espagnole en lançant deux colonnes de navires à angle droit. Le succès est total. Les deux tiers de la flotte impériale sont détruits. Après cette défaite à Trafalgar, Napoléon Ier renonce définitivement à envahir l'Angleterre.
Entre 1792 et 1815, sept coalitions européennes affrontent la France. La guerre est au service d'objectifs politiques : outre la quête de puissance, il s'agit pour la France de diffuser les idéaux révolutionnaires, et pour ses adversaires de les combattre. Les armées, jusque-là cosmopolites, deviennent nationales.
La guerre est due à la volonté de Napoléon de mieux contrôler l'Espagne afin de renforcer le Blocus continental contre le Royaume-Uni. Après avoir contraint le roi d'Espagne Charles IV et son fils Ferdinand à abdiquer en sa faveur (mai 1808), Napoléon donne le trône d'Espagne à son frère Joseph Bonaparte.
Napoléon a fui, échappant de peu aux avant-gardes prussiennes. Wellington, dont les troupes sont épuisées, laisse aux Prussiens la tâche de poursuivre. Il rentre à son quartier-général, y rédige son rapport et donne à la bataille le nom de l'endroit où il se trouve : Waterloo.
Son objectif est d'affronter chaque adversaire séparément avant de se rendre maître de Bruxelles. Il entre en Belgique le 15 juin. Le 16 juin il bouscule les Prussiens à Ligny tandis que le maréchal Ney contient les troupes de Wellington aux Quatre Bras.
Ainsi, la défaite de Napoléon à Waterloo marque la fin définitive de la période révolutionnaire en France et en Europe. Cela dit, les acquis de la Révolution française restent profondément inscrits dans les esprits ; quelques années plus tard, une nouvelle contagion révolutionnaire gagnera l'Europe.
Chef-d'œuvre de stratégie militaire, la bataille d'Austerlitz, dite aussi « des Trois empereurs » (Napoléon, Alexandre Ier de Russie et François II d'Autriche), demeure la plus célèbre des victoires napoléoniennes.
Surnom donné par les républicains à Napoléon III (du nom de l'ouvrier qui lui avait prêté ses habits lorsqu'il s'évada du fort de Ham, en 1846).