Nous avons beau vivre sur «la planète bleue» composée à 72% d'eau, nos ressources en eau douce sont loin d'êtres illimitées. Seul 2,8% de toute l'eau disponible sur Terre est de l'eau douce et 2,1% provient des glaces et des neiges permanentes, ce qui la rend inexploitable.
En réduisant notre consommation d'eau domestique, nous réduisons les besoins en énergie des infrastructures nécessaires au traitement de l'eau douce. Du puisage de l'eau au traitement des eaux usées en passant par le traitement de potabilisation, de grande quantité d'énergies sont nécessaires.
- l'épuisement progressif du sol ; - la pollution des fleuves, des lacs, des mers et des nappes aquifères ; - la présence de substances chimiques dans les aliments.
Gaspiller l'eau est donc non seulement nocif pour l'environnement, mais aussi pour notre santé. D'ailleurs, peut-être avez-vous vous-même constaté un changement dans le goût de votre eau, qui ne vous semble pas aussi pure qu'une eau embouteillée, par exemple.
L'eau sur terre se compose de 97,5 % d'eau salée, contenue dans les océans et de 2,5 % d'eau douce, contenue dans les lacs, rivières, glaciers, nappes phréatiques, etc. De ce fait, l'homme ne peut utiliser l'eau douce qu'à hauteur de 0,7 % de la totalité des réserves d'eau !
➙ aqua-, hydr(o)-. L'eau est formée d'hydrogène et d'oxygène (H2O). Eau lourde (composée d'hydrogène lourd).
Agir au quotidien : bien gérer sa consommation d'eau. Si la consommation d'eau par habitant est d'environ 150 litres par jours, seul 1% de ce volume est bû. A l'échelle mondiale, la consommation d'eau à été multipliée par 6 en un siècle. Si les ressources en eau potable diminuent, leur gaspillage s'accélère.
Le gaspillage alimentaire a des impacts très importants sur l'environnement. Cela se traduit par un gaspillage de ressources naturelles (eau, surface agricoles…) mais aussi des pollutions liées à la production des aliments (utilisation de pesticides, engrais chimiques…) et à leur destruction.
Mais gaspiller la nourriture revient aussi à gaspiller les ressources qui entrent dans sa production — l'eau, l'énergie, les engrais ou la terre — alors même qu'elles se raréfient et, logiquement, coûtent de plus en plus cher. En 2050, nous devrions être 9 milliards, contre 7 aujourd'hui.
En bref, la réduction du gaspillage alimentaire a un impact positif et pourrait avoir comme résultat : Plus de redistribution de la nourriture pour les plus vulnérables. Une réduction des émissions de gaz à effet de serre. Une réduction de la dégradation des sols et des eaux.
Une grande quantité d'eau est utilisée à la fabrication des produits de consommation courante, par exemple, dans le désordre : 41.500 litres d'eau pour produire un kilo de viande. 500 litres d'eau pour produire une seule orange. 1.340.000 litres d'eau pour produire une tonne d'aluminium.
L'impact de l'eau polluée sur les écosystèmes
En conséquence, la vie animale et végétale dans les rivières, les lacs, les mers et les océans est menacée. De nombreuses espèces sont en voie d'extinction. La pêche intensive aggrave encore cette situation. L'eutrophisation des milieux aquatiques.
Le gaspillage de l'eau douce intervient au moment où il y a une consommation d'eau qui n'est pas vitale. Le problème, c'est que cela se produit au sein de chaque foyer. Ce qui est vital, c'est de boire, le reste des activités domestiques ne nécessitent pas toujours l'utilisation d'une eau pure.
Les Franciliens sont les "champions" du gaspillage alimentaire. Ils jettent chaque semaine pour plus de 20 euros de nourriture. Le moins que l'on puisse dire c'est que les Franciliens ont des efforts à faire pour réduire leur gaspillage.
Bien que la Chine et l'Inde sont les deux pays qui produisent le plus de déchets alimentaires ménagers chaque année, le volume moyen produit par habitant dans ces pays est inférieur à 70 kilogrammes. La France affiche un volume de gaspillage alimentaire d'environ 85 kilogrammes par habitant en 2021.
Les produits laitiers, avec 143 millions de tonnes (9% du gaspillage global) ; La viande, avec 74 millions de tonnes (5% du gaspillage global) ; Les oléagineux et fruits secs, avec 50 millions de tonnes (3% du gaspillage global) ; Les poissons et fruits de mer, avec 22 millions de tonnes (1% du gaspillage global).
Mauvaise anticipation des sécheresses, surconsommation, pollutions agricoles et urbaines... tous ces facteurs, humains plus que naturels, expliquent que l'eau soit aujourd'hui devenue une ressource précieuse.
Pour être au top de ses performances, l'idéal est donc de boire par petites gorgées tout au long de la journée. L'eau du robinet s'y porte très bien, elle est suffisamment riche en minéraux pour répondre aux besoins de l'organisme.
L'eau évolue en un cycle perpétuel rejoignant parfois des activités humaines. Arrivée sur terre, elle peut alors être stockée, prélevée, utilisée ou rendue potable, distribuée, assainie puis restituée au milieu, avant de reprendre son cycle naturel.
nom féminin (pluriel Eaux). Étymologie : xie siècle, egua et ewe. Du latin aqua.
On distingue donc : - Les eaux de distribution (eau du robinet...) - Les eaux de production (eaux de forage, de puits...) - Les eaux de ressource avec les eaux brutes souterraines et les eaux superficielles (eau de rivière, lac...)