Télévision, téléphone ou ordinateur : en effet, tous les écrans émettent de la lumière bleue et blanche qui ralentit la production de mélatonine, la fameuse hormone du sommeil. Responsable du dérèglement de notre horloge biologique, la lumière émise empêche de s'endormir rapidement.
L'exposition à la lumière bleue des écrans stimule fortement les récepteurs de la rétine, envoyant de fait à l'horloge biologique un signal « de jour » qui retarde l'endormissement et induit un retard de phase.
La lumière bleue, ennemie numéro 1
Plus précisément, cette lumière bleue empêche "la production de mélatonine (l'hormone du sommeil, NDLR), sécrétée dès que le jour baisse autour de nous", complète la médecin et psychiatre Vanessa Slimani.
Les principales maladies en cause sont le syndrome d'apnées du sommeil, la narcolepsie, le syndrome des mouvements périodiques. Le syndrome d'apnées du sommeil est une maladie fréquente qui survient chez 4 à 6 % des adultes et également chez l'enfant.
Un usage des écrans en pleine nuit, même bref, est associé à une augmentation de risque de tous les troubles du sommeil. Dès 30 minutes d'utilisations des écrans en cours de nuit, les risques de privation de sommeil, d'insomnie, de restriction de sommeil, de sommeil non reposant sont multipliés par deux.
Pour le cerveau adulte : le premier danger lié à une surconsommation d'écrans chez l'adulte est celui de « l'attention multitâche ». Lors des activités sur écrans, le cerveau peut être attiré par des sources d'information plurielles et volatiles et aura du mal à se focaliser sur une dimension particulière.
Le nombre d'heures passées à regarder la télévision est également associé à une augmentation du risque d'hypercholestérolémie chez les enfants. La télévision peut aussi favoriser des troubles alimentaires chez les adolescentes, qui peuvent imiter les modèles de minceur qu'elles y voient.
Pour éviter les reflets de lumière gênants, il est préférable de placer votre miroir de manière à ce qu'il ne se reflète pas directement sur votre lit. Donc pas à côté ou en face du lit. La tendance à accrocher un miroir au-dessus du lit est donc totalement déconseillée.
La narcolepsie est un trouble du sommeil marqué par une somnolence excessive pendant la journée ou récurrente, des épisodes irrésistibles de sommeil pendant les heures de veille normales, généralement avec des épisodes soudains et passagers de faiblesse musculaire (cataplexie).
La somnolence diurne excessive se traduit par un besoin non désiré et parfois incontrôlable de dormir dans la journée. C'est pourquoi, au quotidien, elle représente une gêne voire un risque d'accident. Cette affection concerne surtout les personnes qui ne dorment pas assez.
pathologies psychiatriques comme la dépression ou les troubles bipolaires. l'obésité ou le surpoids. le diabète. autres : maladies neurodégénératives, accident vasculaire cérébral, tumeur cérébrale, traumatisme crânien, trypanosomose (maladie du sommeil), etc.
Hypersomnie en relation avec un trouble médical
De nombreuses maladies et troubles médicaux peuvent nuire au sommeil et entraîner des hypersomnies. Le diabète par exemple, l'hypothyroïdie, le cancer etc. C'est aussi le cas des tumeurs cérébrales, des encéphalites, des traumatismes crâniens.
S'endormir sur le canapé est peut-être plus fréquent qu'on ne le pense. Que ce soit pour regarder la télévision ou simplement parce que cette posture verticale nous permet de mieux respirer pendant le sommeil.
ne pas s'exposer aux écrans le soir au lit : la mélatonine se sécrète dans l'obscurité. laisser de côté smartphones, tablettes, ordinateurs... 1h30 avant l'heure du coucher. attendre le lendemain matin pour lire, sms, mails et actualités.
Un précieux conseil ! Car lire avant de dormir permettrait à notre cerveau de mieux assimiler certaines informations. Mieux : certaines recherches montrent un regain de créativité et une meilleure concentration sur des projets personnels. Se mettre en état de repos.
Insomnie psychophysiologique
On parle aussi d'insomnie chronique. L'idée est que la personne souffre tellement de ne pas dormir qu'elle finit par avoir peur de se coucher et de ne pas réussir à s'endormir : c'est une insomnie qui se nourri elle-même !
La logorrhée est un symptôme souvent présent dans les maladies psychiatriques et neurologiques chroniques. La personne ne se rend pas compte de son trouble, c'est pourquoi il est important de lui expliquer régulièrement ce qui lui arrive pour essayer de contenir son flux verbal.
Placez le miroir par rapport au lit
Pour l'emplacement, tout est envisageable sauf pour deux endroits : en face et directement au-dessus du lit. Cela pourrait éventuellement perturber le sommeil. Vous pouvez par exemple positionner un miroir de plain-pied en face de la porte, au niveau du banc situé au pied du lit.
Il faut donc penser à placer des miroirs à leur hauteur, que ce soit dans l'entrée ou même dans leur salle de bains. Vous pouvez également en installer dans leur chambre, à côté de leur armoire par exemple.
Vous pouvez le placer dans un couloir. Si votre couloir est petit, pour l'agrandir, vous pouvez mettre un miroir sur le mur opposé à l'ouverture de la porte. Les miroirs (yang) sont déconseillés dans les chambres, car ils vont activer le Chi, qui doit rester le plus yin possible pour un bon sommeil.
Elle influence nos loisirs, notre savoir, notre culture et nous renseigne sur l'actualité, la météo, le sport et même sur la musique. La multiplication des chaînes numériques spécialisées et diffusées par satellite nous donne maintenant accès à une grande variété de contenus de bonne et de moins bonne qualité.
Trop regarder la télé peut nuire à la santé : les yeux peuvent être affectés aussi bien que le corps qui lui manque d'activité et peut engendrer l'obésité et des maladies à cause de la sédentarité.
En 2019, une étude de l'association britannique Mental Health Foundation établit le constat que la télé-réalité entraîne des complexes chez certains jeunes spectateurs. Comme le commente The Guardian, "la télé-réalité alimente l'anxiété des jeunes à propos de leur corps, ce qui peut conduire à des pensées suicidaires".