Il se trouve que dans le domaine de l'édition, depuis au moins le XVIIIe siècle, est qualifiée de « nègre » la personne chargée d'écrire un texte publié sous la signature d'une autre personne. Dans ce sens, l'usage de « nègre (littéraire) » perdure, mais il est de plus en plus souvent assorti de guillemets.
Un nègre littéraire, ou simplement nègre, également appelé prête-plume ou écrivain fantôme, est l'auteur « sous-traitant » et anonyme d'un texte signé par une autre personne, souvent célèbre.
La ministre de la Culture, Françoise Nyssen, a validé une recommandation qui propose plutôt d'employer le terme «prête-plume».
Il vous faudra compter 800, 1000, voire 3000 euros, en fonction du nombre de pages. Je ne parle pas non plus du budget nécessaire pour éditer un livre.
On dit biographe professionnel, mais on peut dire aussi écrivain-conseil ou écrivain public. En bref, c'est la personne à qui on demande d'écrire un texte, plus ou moins long, sur sa vie, à sa place et pour telle ou telle raison.
Locution nominale 1
(Péjoratif) (Vieilli) Homme noir occidentalisé.
Créée en 1930 par l'entreprise Perrier à Chavannes-près-Renens dans le canton de Vaud, c'est en 1969 qu'elle est commercialisée par l'entreprise fribourgeoise Villars. En Suisse romande, après avoir été longtemps connue sous le nom de « tête de nègre », Villars la renomme en 1992 « tête au choco ».
Étymologie. Le mot est dérivé du latin niger, « noir » en tant que couleur. Selon le dictionnaire de Godefroy, le mot negre ou nigre (noir), apparaît en ancien français au XVI e siècle pour désigner la couleur noire : « Que je en la nigre montaigne / M'en aile desous Andioche. »
Un écrivain, ou une écrivaine, est, à l'origine, une personne qui est habile dans l'art d'écrire ou qui en fait son métier (le maître écrivain). Par la suite, le terme a désigné l'auteur d'ouvrages littéraires, également désigné par l'expression « homme de lettres » ou « femme de lettres ».
Ensemble de valeurs culturelles et spirituelles propres aux personnes noires et revendiquées par elles ; prise de conscience de l'appartenance à cette culture spécifique. Cette notion, qui retourne en positif ce que le terme « nègre » a de péjoratif, est due à Léopold Sédar Senghor, Aimé Césaire et d'Alioune Diop.)
(Populaire) Petit de la chèvre.
(Esclavagisme) Esclave fugitif de la propriété de son maître en Amérique, aux Antilles ou dans les Mascareignes à l'époque coloniale et se réfugiant en forêt.
Cette pâtisserie avait reçu le nom de "tête de nègre" au cours de la période post-coloniale. Les boulangeries l'appellent aujourd'hui "Meringue chocolat" ou "Tête de choco".
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Terme dont on usait autrefois pour désigner un homme noir, une femme noire (ce terme, souvent jugé dépréciatif, a été parfois revendiqué au xxe siècle par les Noirs pour affirmer leur identité). Montesquieu a consacré un chapitre de « L'Esprit des lois » à l'esclavage des nègres.
nègre adj. Qui appartient aux Noirs, à la culture des Noirs.
Nègres blancs d'Amérique est un essai de Pierre Vallières publié en 1968 aux Éditions Parti pris.
Métier, prête-plume : "Même si j'écris pour d'autres, mon écriture est subjective et cela doit être rétribué" Ne dites plus "nègre littéraire", mais "prête-plume".
Les termes désignant l'autobiographie ne deviennent courants en Europe qu'à partir du milieu du XIX e siècle. Leur apparition correspond bien sûr à une période d'essor du genre qui lui-même coïncide avec ce qu'on appelle le « Tournant des Lumières » (de 1770 à 1820-1830).
Le mot MARRON vient de l'espagnol cimarrón et signifie «s'échapper, fuir»; il désignait d'abord les animaux domestiques qui devenaient sauvages. En français, le mot s'étendit d'abord aux Blancs engagés qui fuyaient leurs mauvaises conditions de travail. Il a fini par désigner également les «esclaves fugitifs».
Il suggère la contestation ouverte d'un ordre social, économique et politique qui promeut la recherche de profits. Le marron- nage est bien la forme la plus expressive de la protestation des esclaves contre leur ins- trumentalisation. Il est consubstantiel à la liberté et renvoie à des valeurs de primauté de l'être.
1848 : l'abolition définitive
Le décret du 27 avril 1848 interdit absolument « tout châtiment corporel, toute vente de personnes non libres ».