L'honnêteté, la sincérité, la simplicité, l'humilité, la générosité, l'absence de vanité, la capacité à servir les autres – qualités à la portée de toutes les âmes – sont les véritables fondations de notre vie spirituelle. Leçon apprise par Nelson Mandela sur le leadership quand il était jeune éleveur de bétail.
Il a été l'un des dirigeants historiques de la lutte contre le système politique institutionnel de ségrégation raciale (apartheid) avant de devenir président de la République d'Afrique du Sud de 1994 à 1999, à la suite des premières élections nationales non ségrégationnistes de l'histoire du pays.
Les huit leçons de leadership de Mandela : Le courage n'est pas l'absence de peur c'est inspirer les autres à la dépasser. Dirigez depuis le front mais ne laissez jamais votre base à l'arrière. Dirigez depuis l'arrière et laissez croire aux autres qu'ils sont à l'avant.
Il est connu pour être un homme politique aux commandes de la lutte contre l'apartheid, ce qui le mena à la présidence de l'Afrique du Sud de 1994 à 1999. Sa vie s'est articulée autour du combat contre la ségrégation raciale. Pour cela, il obtiendra le Prix Nobel de la paix en 1993.
Mandela a passé 27 ans de sa vie en prison pour son inlassable lutte contre l'apartheid. Une fois libéré, il a négocié la fin de la politique raciale avant d'être élu président de l'Afrique du Sud. L'apartheid n'a pas immédiatement pris fin avec la libération de Mandela.
Il se battait contre l'apartheid, mais il se battait aussi pour une chose : un monde meilleur, dans lequel on respecte la liberté, la justice et la dignité pour tous et toutes. Avant même sa libération en 1990, Mandela avait entrepris des négociations avec le gouvernement pour mettre un terme à l'apartheid.
Qu'il s'agisse de personnes prétendument décédées, qui sont en fait en bonne santé, ou de paroles de chansons mal récitées – lorsque de nombreuses personnes ont collectivement un faux souvenir de quelque chose, on appelle cela l'effet Mandela.
Défenseurs des droits de l'Homme
En 1944, il s'est joint au congrès national africain (ANC) et a activement travaillé pour abolir la politique d'apartheid du parti au pouvoir. Jugé pour ses actions, Mandela a déclaré : « J'ai lutté contre la domination blanche et j'ai lutté contre la domination noire.
Albert Lutuli, chef de l'ANC et prix Nobel de la paix de l'année 1960.
«Madiba », le surnom de Nelson Mandela.
Selon K. Lewin, psychologue américain spécialiste des relations inter-personnelles, on peut distinguer trois types de leadership : le leadership autoritaire, le leadership démocratique et le leadership permissif ou “du laisser-faire”.
Quelques heures plus tôt, Nelson Mandela avait recouvré la liberté. Il était sorti libre de la prison de Victor Verster à Paarl (sud-ouest), main dans la main avec son épouse Winnie, autre grande figure de la lutte contre le régime raciste.
Entre 1948 et 1991, ce pays a connu un régime raciste, ségrégationniste, où les Noirs, qui étaient pourtant majoritaires, devaient vivre à l'écart des Blancs.
En 1948, l'United Party est élu en prônant le véritable apartheid. Le racisme devient alors la valeur officielle du gouvernement. En 1950, la loi d'enregistrement de la population définit les quatre groupes raciaux et en établit les critères d'appartenance.
La colonisation et l'Apartheid
Les Néerlandais fondent la colonie Le Cap en 1652. Ils y installent une escale de la Compagnie des Indes Orientales. Poursuivant leur expansion, les Boers, descendants des premiers colons, rencontrent après plus d'un siècle, en 1775, les populations Bantous.
Blanche-Neige et les sept nains
La faute peut-être à ce qu'on appelle "l'effet Mandela", moment où notre mémoire nous fait défaut et nous crée de faux souvenirs. Ce qu'on dit : "Miroir, mon beau miroir, dis-moi qui est la plus belle ?" La réplique originale : "Miroir magique au mur, qui a beauté parfaite et pure ?"
La question des faux souvenirs est une question scientifique qui reste très étudiée. Depuis les travaux précurseurs de Loftus, de nombreuses études ont validé le fait que les souvenirs peuvent être influencés et que de faux souvenirs peuvent être implantés en mémoire de plusieurs manières.
Mahatma Gandhi, grand défenseur de la résistance pacifique à l'oppression, a décrit la non-violence comme étant « la plus grande force dont l'humanité disposait. Une force qui renferme plus de puissance que l'arme la plus destructrice qui ait été conçue par l'ingéniosité de l'Homme. »
La première proclamation de la liberté d'expression date de 1776, date à laquelle les Etats-Unis adoptent leur Constitution. En France, la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen (DDHC) de 1789 reprendra ce droit fondamental, qui relève de valeurs aussi bien laïques que démocratiques.