Tous les noms féminins ont la terminaison en oire. Les adjectifs (des deux genres) ont la terminaison oire (sauf noir). Ex= illusoire. Les verbes se terminent tous par oir sauf les verbes boire et croire.
Ex. : devoir, désespoir, parloir, perchoir, foutoir, etc. sauf ces mots qui se terminent en -oire : auditoire, prétoire, consistoire, conservatoire, grimoire, interrogatoire, répertoire, promontoire, observatoire, laboratoire. Les adjectifs se terminent en -oire : sauf l'adjectif "noir".
abreuvoir, absolutoire, accotoir, accottoir, acottoir, ajustoir, ajutoir, aparcevoir, apercevoir, assavoir, aurevoir, avoir, bateaux-lavoirs, bavoir, belle-à-voir, blutoir, butoir, cargo-dortoir, cavoirs, cités-dortoirs, coconcevoir, concevoir, consistoire, contradictoire, couvoirs, décevoir, décrottoir, dégustoir, ...
Différence entre a et à
- a provient du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif : il a. - à est une préposition. La façon la plus simple pour les distinguer est de mettre la phrase dans un autre temps comme l'imparfait. À l'imparfait, "a" devient "avait" tandis que "à" ne change pas.
abolir, aboutir, abrutir, accomplir, (s') accroupir, adoucir, affaiblir, affermir, affranchir, agir, agrandir, alourdir, alunir, amerrir, anéantir, aplanir, aplatir, appauvrir, applaudir, approfondir, arrondir, assainir, assombrir, assoupir, assourdir, attendrir, atterrir, avertir, bâtir, blanchir, blêmir, (re)bondir, ...
Le verbe dormir est du troisième groupe.
Verbes du 3ème groupe: -s, -s, -t, û/îmes, û/îtes, -rent. Exceptions: Tous les verbes en "-dre" se conjuguent avec la voyelle "i" au passé simple. Exemple: prendre => pris: je pris; vendre => vendu: je vendis.
Le passé simple est un temps du passé qui s'utilise principalement à l'écrit. Contrairement à l'imparfait, il permet d'exprimer une actuelle ponctuelle et relativement brève sans notion de répétition ou d'habitude. Il regardait un film lorsque le téléphone sonna. Ce jour-là, le train arriva à l'heure.
Différence entre s'est / c'est
Pour bien faire la différence, on peut mettre la phrase à la première personne du singulier. Dans ce cas, s'est devient me suis tandis que c'est lui ne bouge pas.
-> On utilise tout, quand ce qui suit est au singulier. -> On utilise tous, quand le nom qui suit est au pluriel. tout = adjectif féminin : toute, pluriel : tous, toutes.
Selon les règles du bon usage, seule la préposition « de » marque l'appartenance. Le fait d'employer « à » dans le même sens est vivement critiqué. La tournure ainsi formée est considérée comme étant très familière, voire grossière.
Toi ou moi = singulier première personne (Toi ou moi suis venu). Lui et moi = singulier première personne (Lui ou moi suis venu). Toi et lui = singulier deuxième personne (Toi ou lui es venu).
Quand on veut indiquer un lieu, on doit employer la préposition à s'il s'agit de la destination ou du lieu où l'on se trouve et la préposition de quand il s'agit de la provenance (origine).
En orthographe traditionnelle (non réformée), employé comme adjectif, vidéo est invariable : des bandes vidéo ; employé comme nom, il prend la marque du pluriel : des vidéos (= des films, des émissions tournés en vidéo).
Exemples : "Bonjour à vous, bonjour à vous, bonjour à nous !" "Bonjour à toutes !"
Si la phrase reste correcte, c'est qu'il s'agit d'un infinitif en « -er » : Il faut vous dépêcher. = Il faut vous reprendre. Sinon, écrivez « -ez », marque de la 2e personne du pluriel (= vous).
Cette phrase comporte trois difficultés : la dernière lettre de tout , la première lettre de s'est et l'accord de passé . On écrit tout s'est bien passé, avec un t à la fin du mot tout , avec un s au mot s'est et avec passé au masculin singulier.
Les verbes pronominaux permettent d'indiquer que le sujet fait l'action pour lui-même. On les reconnaît par les pronoms réfléchis me, te, se, nous, vous et à nouveau se devant le verbe. Ces pronoms réfléchis sont toujours de la même personne que le sujet.
La réponse simple. On écrit toujours « ça s'est bien passé ».
Le plus-que-parfait est un temps du passé. Il précise qu'une action s'est déroulée avant une autre qui a déjà eu lieu dans le passé. Cette action peut être exprimée avec un passé composé, un imparfait ou un passé simple.
Le plus-que-parfait se forme avec l'auxiliaire être ou avoir conjugué à l'imparfait suivi du participe passé du verbe conjugué : j'étais parti, j'avais gagné, etc.