C'est un pronom personnel indéfini, c'est ce qui fait son intérêt. Selon le contexte cela peut signifier "je", "tu", "il", "nous", "vous", "ils". Il ne se remplace pas forcément par "nous". Il est bien plus souple que ça.
Cette conjugaison à l'oral peut interroger l'interlocuteur. Ainsi, le pronom «on» est souvent préféré pour obtenir un langage que l'on qualifierait de plus «naturel». «On» dérobe alors au «nous» ses usages, et désigne de ce fait un groupe de personnes plus précis qu'incertain.
Nous s'emploie quelquefois à la place des pronoms personnels Tu, Il, Elle ou Vous, pour exprimer la bienveillance, la condescendance ou l'ironie. Dans cet emploi, lorsque Nous ne représente qu'une personne, l'adjectif ou le participe qui s'y rapporte se met au singulier.
Puisque le genre et le nombre des personnes en question sont ignorés, « on » est considéré comme étant de la troisième personne du masculin singulier, et il exclut celui qui parle. Exemple : On frappe à la porte. Il peut représenter un ensemble de personnes et signifier « tout le monde ».
Le pronom nous est employé, dans certaines circonstances, pour désigner une seule personne. Il en va de même pour le pronom on. Dans ce contexte, l'adjectif et le participe passé restent au singulier. Ils s'accordent toutefois en genre selon le sexe de la personne désignée par ce pronom.
"Nous" peut aussi être un substitut du "je", par emphase ("Nous, Roi de France...") ou au contraire par modestie (dans une dissertation ou une thèse, lorsque le "je", par principe, est interdit : "Nous allons démontrer que...")
En linguistique, le nous inclusif est un pronom ou une conjugaison de verbe qui indique l'inclusion du locuteur, des auditeurs, et peut-être encore d'autres personnes.
Le pronom on vient du nom latin homo « homme ». Étant à l'origine un nom, on l'employait avec le déterminant défini l' (forme élidée de le). L'on avait déjà un sens indéfini et signifiait « l'homme en général, les hommes ».
ON est un pronom (im)personnel qui s'utilise comme il ou nous. On peut le remplacer par il.
Pronom de la première personne du pluriel, incluant le locuteur ainsi que d'autres personnes au nom de qui il parle, utilisable en sujet, en complément d'objet, ou en tant que pronom tonique pour marquer l'insistance sur la personne.
pronom personnel. Pronom personnel de la première personne du pluriel (représente la personne qui parle et une ou plusieurs autres, ou un groupe auquel la personne qui parle appartient ➙ on).
NOUS : La première personne du pluriel (nous) désigne une ou plusieurs personnes +moi/je. EXEMPLE : Toi et moi, nous marchons dans Paris. / Mon cousin et moi, allons à Paris. VOUS : La deuxième personne du pluriel (vous) désigne plusieurs destinataires (tu + tu) ou tu + il/ils.
Et pour dire que c'est à lui ou à elle, c'est pareil, mais avec un « s ». J'adore sa voiture. Pour dire que c'est à nous, on utilise « notre » au singulier et « nos » au pluriel. Pour dire que c'est à vous, on dit « votre » ou « vos ».
Usage du mot
Susceptible de désigner plusieurs individus, de sexe masculin ou féminin, on est toujours neutre, et le verbe qui l'accompagne est donc toujours conjugué à la troisième personne du singulier.
Un verbe impersonnel (aussi appelé « verbe unipersonnel ») ne s'emploie qu'à l'infinitif ou à la 3e personne du singulier avec le pronom il (ou, plus rarement, avec les pronoms ça, ce ou cela).
Définition. On est un pronom personnel indéfini de la troisième personne, invariable, exprimant l'idée d'animé humain et fonctionnant toujours comme sujet. Il est dérivé du latin homo, homme. On a employé autrefois, dans un sens absolu et indéterminé, les formes hom, hum, hons, um, om, on, etc.
1. Un être humain non précisé ; quelqu'un : On a frappé à la porte. 2. Des personnes dont l'identité n'est pas connue ou précisée : On vous demande au service du personnel.
nous pron. pers. Représente le locuteur et une ou plusieurs autres personnes constituant...
On signifie nous dans le langage courant. Il garde la conjugaison de la 3e personne du singulier. On a bien rigolé. = Nous avons bien rigolé.
Quand on remplace je, tu ou vous, il ou elle ou nous, l'accord se fait en genre et en nombre avec le sujet représenté par on : "On est arrivés ce matin ; alors, on est contente ?" D'ailleurs, il y a une grande émission de télévision en "on", dont le titre comporte une erreur d'accord.
Faut-il dire "on" ou "l'on" ? Devant "on", il est d'usage de mettre un "l'" pour éviter l'hiatus (suite de deux voyelles), notamment après "et", "ou", "où", "qui", "si". Exemple : "J'aime les week-ends où l'on ne fait rien." Ce "l'" sert aussi à éviter le son [con]. À "qu'on", on préférera "que l'on".
« Qui », « que », « dont » et « où » sont tous des pronoms relatifs.
Remplaçons « la » par « les » : « Les-tu changé, ton mot de passe ? » est faux. Remplaçons alors « la » par « l'avais » : « L'avais-tu changé… » Cela fonctionne : il s'agit de « l'as » (le sujet étant « tu »), et non de « la ».