Les chasseurs affirment qu'ils ont un rôle écologique essentiel, car ils protègent le biotope. Sans eux, disent-ils, il n'y aurait pas de régulation de certaines espèces qui détruisent l'équilibre de la faune et des forêts.
La chasse est la traque d'animaux dans le but de les capturer ou de les abattre, les manger ou les détruire. Quand la chasse est soumise à une réglementation, la pratique de la chasse en dehors de son cadre légal est appelée braconnage.
Les partisans de la chasse continuent de prétendre qu'on peut éviter la surpopulation des animaux sauvages et les dégâts qu'elle provoque par l'abattage sélectif du gibier. En outre, on préserverait ainsi la nature, car, en tuant les animaux malades, on protègerait les hommes et les bêtes de diverses maladies.
Le principal problème, c'est que ces animaux ne sont absolument pas capables de se nourrir ni de se protéger. De fait, il ne leur est pas possible d'assurer l'avenir de leur espèce. En plus, ils apportent des maladies liées aux élevages, et perturbent les écosystèmes.
La chasse existe depuis la Préhistoire, comme moyen pour l'homme de se nourrir. L'Homme est omnivore, ce qui veut dire qu'il peut manger des végétaux, mais aussi des animaux. Manger de la viande apporte des protéines au genre humain, ce qui lui permet d'être en bonne santé physique et de se développer.
La chasse est interdite depuis une trentaine d'années en Inde et dans tout le sous-continent indien, en Afrique de l'Est, et même, en Europe, dans le canton de Genève. Elle est marginale dans les Pays-Bas. Tous ceux qui ont pu visiter ces pays ont vu qu'aucun déséquilibre ne résultait de l'interdiction de chasser.
Loisir pour les uns, barbarie pour les autres, la chasse fait depuis des années l'objet de nombreuses controverses entre partisans de son interdiction, pratiquants qui s'affirment premiers écolos du pays ou adeptes des balades fusil en main et animaux dans le viseur pour le simple «plaisir».
D'abord, parce que la chasse n'est pas éthique, la mort d'un animal ne pouvant faire l'objet d'un amusement ; ensuite, qu'elle est une source de gène et d'insécurité pour les promeneurs ; enfin, qu'elle est préjudiciable à la faune sauvage : la pratique a notamment des répercussions sur la distribution géographique des ...
Elle fait ressurgir et s'exacerber instincts et émotions enfouis au plus profond, permettant ainsi une véritable communion avec la nature. Echapper au quotidien, ne serait-ce qu'un instant, est un plaisir unique. La chasse est une terre de rencontres avec la nature, la faune sauvage, les autres et vous-même.
La chasse signifie perturber l'équilibre naturel des écosystèmes. Elle peut entraîner l'amincissement ou l'extinction d'espèces animales. Les chasseurs sont des utilisateurs de la nature, mais pas des protecteurs de l'environnement. Au mieux, ils nourrissent les espèces animales qui les intéressent en tant que proies.
Un peu sans doute, mais le chasseur est avant tout un grand observateur de la nature. La chasse, c'est avant tout le plaisir de marcher dans la forêt, avec ses amis et ses chiens, et si gibier il y a, de le partager.
La chasse a pour séquelle de déstabiliser les équilibres naturels. Le simple fait de déverser du plomb dans l'environnement, empoisonne et tue les végétaux dont certains animaux se nourrissent, tombent malades et meurent à leur tour. Environ 9000 tonnes de plomb par an disséminées dans la nature.
une chasse respectueuse des animaux
À la chasse à courre, ce sont les chiens qui chassent leur proie en poursuivant l'odeur qu'elle laisse sur son passage. Elle se pratique en milieu ouvert ; les animaux chassés y déploient l'ensemble des ruses dont ils usent pour échapper à leurs prédateurs depuis la nuit des temps.
Donc, les chasseurs se sont tournés vers le gros gibier. Le sanglier a été une sorte de bénédiction, les chasseurs ont fait ce qu'il fallait pour augmenter les populations. Si l'on épargne les grosses femelles, qui font plus de petits, la population s'installe rapidement. » D'autres facteurs ont aidé.
SADIQUE : Définition de SADIQUE.
Chez les petits carnivores, l'espèce la plus prélevée est le renard, avec 430 000 animaux tués. Pour le grand gibier, le sanglier et le chevreuil arrivent en tête, avec respectivement 724 000 et 591 000 individus abattus.
A l'instar du pompier pyromane, la chasse s'entretient elle-même. Tuer les prédateurs, élever et lâcher des millions d'animaux, pour ensuite avoir l'hypocrisie de se mettre en position de « sauveurs », de se prétendre « régulateurs » indispensables, relèvent de la pure imposture.
Le candidat peut passer son examen à partir de 15 ans révolus. Il pourra valider son permis et chasser seul à partir de 16 ans révolus.
En France, le mercredi a été non chassé entre 2000 et 2003. En Italie, à l'exception de la Sardaigne où les seuls jours de chasse autorisés sont les jeudis et les dimanches, la chasse est interdite les mardis et vendredis, et il n'est possible de chasser qu'entre trois et cinq jours par semaine (selon la région).
Aussi, il est interdit de chasser dans un rayon de 150 mètres autour d'une habitation, uniquement si le dit-terrain se trouve sur le territoire d'une ACCA.
Synonyme : battue, pistage, poursuite, traque.