Étymologie. De quinze et de jour. Au départ, cette locution avait le sens légal d'une durée équivalente à la moitié d'un mois creux. Petit à petit, le sens commun a glissé sur deux semaines, au point de donner une synonymie quasi parfaite entre les deux.
Provient de la manière qu'avaient les Romains de diviser les mois en quatre semaines, d'une durée variable de sept, huit ou neuf jours. De plus, les Romains ne connaissant pas le zéro, une période de huit jours comportait la journée en cours et le jour du terme. Donc, "une semaine" équivalait à huit jours.
Des entretiens bimensuels ont lieu tous les quinze jours. Je reçois ce bimestriel un mois sur deux. Pour distinguer « bimestriel » de « bimensuel », rappelez-vous que « bimestriel » est fait sur le même modèle que « trimestriel ». Donc, si « trimestriel » = tous les trois mois, « bimestriel » = tous les deux mois.
Adjectif. Qui revient, qui paraît deux fois par semaine. (Vieilli) Qui se fait, qui paraît toutes les deux semaines. Un quinzomadaire est un bihebdomadaire.
Les Romains ont donné aux jours de la semaine le nom des 7 astres qu'ils connaissaient. Ainsi, lundi est le jour de la Lune ; mardi, le jour de Mars ; mercredi, celui de Mercure ; jeudi, le jour de Jupiter ; vendredi, celui de Vénus.
Du latin ecclésiastique dies dominicus «jour consacré à Dieu, au repos», le mot dimanche est selon le CNRTL d'abord apparu dans le calendrier sous les formes didominicu puis diominicu par «dissimilation consonantique».
lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi
Notre semaine de sept jours a été inventée par les astrologues mésopotamiens vers le VIIe siècle avant notre ère.
Le site du CNRTL définit le passéisme comme un « attachement excessif au passé » et le passéiste comme une personne « excessivement attachée au passé », présentant donc le terme comme étant lié à une exagération du sentiment de nostalgie.
journalier : synonyme courant, en particulier pour parler d'un travail, d'un salaire ; diurne : cet adjectif signifie habituellement « qui a lieu le jour plutôt que la nuit », mais il peut aussi signifier, dans certains contextes, « qui suit un cycle de vingt-quatre heures ».
Un ou une vingtenaire est une personne qui a atteint l'âge de vingt ans mais n'a pas encore trente ans, c'est-à-dire qui est âgé d'une vingtaine d'années. Le stade de vingtenaire suit donc l'adolescence. Exemple : Les vingtenaires sont souvent étudiants ou à la recherche de leur premier emploi.
bihebdomadaire adj. Qui a lieu, qui paraît deux fois par semaine. bihebdomadaire n.m.
Bimensuel = qui a lieu, qui paraît deux fois par mois. → bihebdomadaire. Bimestriel = qui a lieu, qui paraît tous les deux mois.
Décade = période de dix jours ; par extension, période de dix ans, décennie. Le mot a un dérivé, décadaire = qui a lieu, qui se fait tous les dix jours.
Locution nominale
Période de deux semaines ou de la moitié d'un mois.
« Di » annonce le jour
Il est issu du latin lunae dies qui signifie « jour de la Lune ». Le dimanche, qui vient du latin dies dominica, est un jour de repos pour les Chrétiens, il représente le jour de la résurrection du Christ. Il correspond au premier jour de la semaine pour les Juifs et les Musulmans.
L'expression du dimanche renvoie à l'emploi du temps traditionnel d'un individu : le dimanche évoque le jour chômé, celui où l'on fait les choses non pas par métier, mais par passion, juste pour le plaisir.
Bisannuel = qui revient tous les deux ans (fête bisannuelle) ; qui a un cycle vital de deux ans, en parlant d'un végétal (plante bisannuelle). recommandation : Pour qualifier ce qui a lieu deux fois par an, employer semestriel.
fugace adj. Qui ne dure pas, disparaît, échappe facilement, fuit rapidement.
C'est un sixtennat.
Je-m'en-foutiste : Définition simple et facile du dictionnaire.
Dans ce mot, il y a deux noms issus du latin : lunis, de lunæ, qui veut dire « lune », et dies, qui veut dire « jour ». Lunis + dies = lundi, qui s'est d'ailleurs écrit « lunsdi » par le passé. Cette origine transparaît encore davantage dans l'italien lunedi, voire dans l'espagnol lunes.
Pour les grands mathématiciens qu'ils étaient, le calcul n'a pas fait un pli: ils ont pris une année solaire (365 jours) et l'ont divisée par la durée d'un cycle lunaire (30 jours). Autrement dit, en langage mathématique: 365÷30=12,2 et des poussières. En arrondissant, on obtient donc bien 12 cycles lunaires par année!
D'un point de vue purement mathématique il y a bien 52 semaines complètes dans une année. En effet si l'on divise 365 (nombre de jours dans une année régulière) par 7 (nombre de jours dans une semaine) nous obtenons 52,1428 soit 52 semaines et 1 jour.