«Le mot «quoicoubeh» est une réplique qu'on lance à quelqu'un qui dit quoi ? ou qui termine une phrase par le mot quoi. Cette réplique n'a aucun sens, elle fonctionne davantage comme un piège qui se referme sur l'interlocuteur», explique le site orthodidacte, plate-forme en ligne d'apprentissage de l'orthographe.
Ce mot n'a aucun sens, si ce n'est qu'il permet de tendre un piège à son interlocuteur. Il serait issu d'un jeu de mots, le «Quoi?» équivaudrait à «Cou A» et «Coubeh» à «Cou B».
Le mot ne veut rien dire. Il ne signifie pas autre chose que la volonté de piéger son interlocuteur devant des témoins avertis qui se délecteront de son incompréhension. Il est le mot de ce qu'on pourrait appeler une private joke, un délire privé, exclusif et excluant.
Définitions de « quoicoubeh »
Ce mot a émergé grâce à un tiktokeur nommé La Vache, qui aime piéger les gens en posant des questions de manière confuse. La mode s'est diffusée en dehors de TikTok et de nombreux adolescents utilisent désormais le mot à l'école, au grand dam de leurs professeurs.
ou qui termine une phrase par le mot “quoi”. Cette réplique n'a aucun sens : elle fonctionne davantage comme un piège qui se referme sur l'interlocuteur. La personne qui répond quoicoubeh n'a aucune intention de participer à la discussion et elle cherche juste à s'amuser de la situation.
Ces mots ont envahi les cours de récréations pourtant, ils n'ont pas de signification ! Il s'agit d'un nouveau défi, un jeu de langage, venu de TikTok, et qui fait un carton chez les jeunes. « Quoicoubeh » est une expression qu'on lance à quelqu'un qui vient de dire « quoi ? ».
Le mot « quoicoubeh » est une réplique qu'on lance à quelqu'un qui dit « quoi » ? Ou qui termine une phrase par le mot « quoi ». Elle fonctionne ainsi de la même manière que « coiffeur » (pour « quoi ? - feur »), une autre réplique de cour d'école qui existe depuis les années 1980.
Il faut juste accentuer un peu sur le H de la fin. En gros, ça fait "koikoubehhh". Pour "apanyae", la prononciation varie un peu plus. Certains disent "apiin", d'autres disent plutôt "apinyinn" et d'autres encore prononcent "apanian".
Cette expression émane tout droit de TikTok, un réseau social chinois très prisé des adolescents. Mais à son origine, il y a un utilisateur de la plateforme, qui se fait appeler "La Vache" (@camskolavache). C'est lui qui a lancé la tendance du "Quoicoubeh" : le mot apparaît d'ailleurs dans la description de son compte.
Le mot quoicoubeh est une réplique qu'on lance à quelqu'un qui dit quoi ? ou qui termine une phrase par le mot quoi . Cette réplique n'a aucun sens, elle fonctionne davantage comme un piège qui se referme sur l'interlocuteur.
C'est un mot qui a pour racine le verbe Poukh utilisé dans la langue des Roms, des gitans, et qui signifie trahir, dénoncer. Ses synonymes sont balancer, cafter, rapporter. Il peut aussi bien désigner le fayot de la classe, un indic, ou quelqu'un qui dénonce une injustice.
Interjection. (Par plaisanterie) Expression n'ayant aucune signification, utilisée en réponse à la question « hein ? ».
En 2023, le Petit Robert a ajouté les termes "gênance", "chiller" ou encore "go" (pour désigner une jeune femme ou une petite amie), tellement utilisés par les jeunes qu'ils sont entrés dans le langage courant. De là à dire que "quoicoubeh" ou "apanyae" entreront un jour dans le dictionnaire, rien n'est moins sûr.
Jasiri la hyène et Anga l'aigle sont choqués par le plan de leur roi et s'expriment par un “Hein ?”. Ono, l'oiseau le plus intelligent de la Terre des Lions, enchaîne avec ce qui ressemble à un “apagnan”.
Je suis conscient que j'aurai probablement besoin d'un peu de temps dans les mineures, mais je m'entraînerai dans le but de jouer dans la LNH. » D'ailleurs, si son nom vous a donné du fil à retordre tout au long de la lecture de ce texte, sachez que Xhekaj se prononce « Jack-aille ».
Prononciation de ananas
Le nom masculin ananas, probablement emprunté au portugais, se prononce [anana] (a-na-na) ou [ananas] (a-na-nass). C'est la graphie du mot qui a influencé cette dernière prononciation.
Rhône : L'Arbresle (Arbrèle), Le Bois-d'Oingt (Boi-d'Ouin), Limonest (Limoné), Monsols (Monsol).
Apayinye se prononce à peu près « a-pa-ya-ye » mais avec des a très nasals, proches du son « in ».
Mourir. Synon. calancher, claboter, claquer, crever. On l'a r'trouvé [Pépin] après l'opération, crampsé, et tout étiré comme un boyau d'chat (Barbusse, Le Feu,1916, p.
Une frappe : une personne de bon goût. Une tchoin : se dit d'une fille facile, certains rappeurs utilisent ce terme pour désigner des prostituées. Magl : mon ami (ma gueule). Michto : une menteur, menteuse, se dit aussi d'une personne qui fait les choses par intérêt (michtonneuse).
Exprime le dédain, l'indifférence.
Crari : ça signifie faire semblant. Exemple : « Fais pas crari t'étais à la Fashion Week. T'es qu'un schlag. » Comprenez, ne fais pas genre que tu as des amis dans la mode, tu n'es qu'un moins que rien.
Masculin ou féminin ? Au départ, kichta était surtout employé au masculin, mais il est devenu féminin. On dit aujourd'hui une kichta , la kichta .
Ces expressions n'ont aucune signification mais sont dégainées par les ados pour piéger leurs interlocuteurs qui leur répondent « quoi » ou « hein », à l'image du célèbre « Quoi ? Feur ». Les ados ont trouvé l'équivalent au célèbre « quoi ? Feur » : il faut maintenant répondre « Quoicoubeh ».