Eh oui, Lucas a appris que, dans la plupart des conjugaisons, la terminaison de la 2e personne, le tu, prend un S. Tu vas, tu aimes, tu es, etc. Et c'est vrai qu'on peut trouver ça surprenant, puisqu'on assimile le S à la marque du pluriel.
À l'impératif présent, les verbes en -er conjugués à la 2e personne du singulier (tu), ne prennent pas de -s à la fin. Le verbe aller suit cette règle. Tu manges → Mange ! Tu écoutes → Écoute !
Règle 1 : en général, on forme le pluriel des noms et des adjectifs en ajoutant s ; s'ils sont déjà terminés par -s, -x ou -z , ils ne changent pas au pluriel. Exemples : Un classeur, des classeurs. Un livre, des livres. Un tapis, des tapis.
L'impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) ! Sors (3e groupe) !
Avec "nous", la terminaison au présent de l'indicatif est toujours "ons" avec les verbes en "er". Et avec tous les autres verbes. Par exemple : Courir : "Nous courons." Devoir : "Nous devons tout nettoyer."
Cette catégorie regroupe des noms qui n'existent qu'au pluriel, que l'on appelle aussi pluralia tantum (pluriel de plurale tantum, litt.
Quand tu le souhaites ou souhaite ? Dans je souhaite, le verbe souhaiter est conjugué au présent avec le sujet je. Souhaiter est un verbe du premier groupe et il reçoit donc au singulier les terminaisons -e, -es, -e : je souhaite, tu souhaites, on souhaite. C'est la raison pour laquelle on écrit je souhaite avec un e.
Les règles particulières
Lorsque l'adjectif singulier se termine par -eau, on y ajoute un -x au pluriel. Lorsque l'adjectif singulier se termine par -al au singulier, on change généralement la finale pour -aux au pluriel. Dans les cas suivants, on ajoute simplement un -s aux adjectifs se terminant par -al au singulier.
Il ne faut donc pas mettre de « s » à l'impératif pour les verbes du premier groupe (c'est-à-dire les verbes qui se terminent en « er », comme « manger ») et certains verbes du troisième groupe (comme « offrir » ou « cueillir »), même s'il s'agit de la deuxième personne du singulier !
« On » et « ont » étant homophones (on entend la même chose quand on les prononce), il est facile de se tromper et d'écrire « quand commence-t-ont ? » au lieu de « quand commence-t-on ? ». « On » est un pronom indéfini. « Ont » est le verbe « avoir » conjugué.
Plur. : des pneus (pluriel en s, exception à la règle du pluriel en x des mots en -eu, comme aussi bleu et feu au sens de « défunt »).
Si oralement on peut décomposer le mot en « que en », alors il faut écrire « qu'en », et non « quand ».
On écrit donc « peux-tu », et non « peut-tu ».
N'oubliez pas : après tu, les verbes se terminent toujours par un -s au présent, futur, imparfait, etc. Tu es, tu as, tu manges, tu viens, tu prends, tu offres, tu finiras, tu dormais, etc. Exceptions : Au présent, les verbes pouvoir, vouloir, valoir se terminent par -x.
Elle est belle et bien dans sa peau. Au féminin pluriel, on écrirait : Elles sont belles et bien dans leur peau. Au masculin singulier, on écrirait : Il est beau et bien dans sa peau.
La liaison se fait toujours : Entre le déterminant (un, des, les, mon, ton, son, mes, tes, ses, nos, leurs, aux, aucun, tout, quels, quelles, quelques) et le nom. Les (z) ours. Quelques (z) oasis.
chaud n.m. Chaleur. chaude n.f. Feu vif pour se réchauffer.
souhaites-tu ? souhaite-t-il ? souhaitons-nous ? souhaitez-vous ?
Former le souhait de. Synonyme : ambitionner, appeler, appeler de tous ses vœux, aspirer à, attendre, avoir à cœur de, avoir envie de, brûler de, convoiter, demander, désirer, espérer, lorgner, rêver de, viser, vouloir.
On écrit « je vous aime » et non « je vous aimes »
On écrit « j'aime » donc « je vous aime ». Exemples : On retrouve souvent cette formule à la fin d'une lettre d'amour ou destinée à une personne très proche.
La forme plurielle comme nous la connaissons de nos jours ne s'est imposée qu'à partir du XVIème siècle. Mais pourquoi ? Tout simplement parce que le terme “obsèques” désigne une pluralité, notamment une pluralité de rituels permettant d'honorer une personne décédée.
Certains noms ne s'emploient qu'au pluriel : ils ne changent donc jamais de forme. C'est le cas des noms suivants : gens, fiançailles, funérailles, représailles et victuailles.