En effet, durant la nuit, à cause de l'absence de lumière, le processus de photosynthèse s'interrompt chez les végétaux. Au lieu d'absorber du CO2 et de rejeter de l'oxygène, c'est l'inverse qui se produit. Un phénomène qui pourrait donc, en théorie, provoquer l'asphyxie des personnes à proximité.
Dormir avec une plante serait dangereux pour la santé car celle-ci rejette du dioxyde de carbone (CO2). Or c'est complètement faux car lorsque la nuit tombe la photosynthèse s'arrête alors la plante émet du CO2 en très faible quantité et cela ne nuit pas à l'homme.
En effet, il est généralement conseillé de ne pas mettre de plantes dans sa chambre car la nuit, les végétaux respirent en absorbant de l'oxygène et en rejetant du CO2 (Dioxyde de carbone).
La plante ne produit plus d'oxygène dans le noir et ne rejette qu'une faible quantité de CO2. La quantité de gaz carbonique rejetée par une plante est minime et si la chambre prend la lumière pendant le jour, le CO2 rejeté la nuit reste bien inférieur à l'oxygène qu'elle aura produit pendant la journée.
Il n'est pas recommandé de dormir avec un grand nombre de plantes dans votre chambre à coucher. Cela pour la simple et bonne raison qu'il s'agit d'un organisme qui absorbe de l'oxygène et rejette du dioxyde de carbone (CO₂).
Respiration et photosynthèse, deux phénomènes simultanés
On a coutume de dire des plantes qu'elles respirent (et donc absorbent l'oxygène) durant la nuit et assurent la photosynthèse (et donc rejettent de l'oxygène) le jour.
La nuit, à l'inverse, les végétaux respirent : ils absorbent de l'oxygène et rejettent du gaz carbonique, mais en moindre quantité. Il faut noter que les arbres ne consomment pas la même quantité de CO2 à tous les stades de leur vie.
Le paulownia tomentosa : originaire de Chine, il est réputé pour sa croissance rapide et son adaptabilité à tous les types de terres. Il absorbe jusqu'à 10 fois plus de CO2 que d'autres arbres. Sa durée de vie est de 60 à 80 ans et il est très présent en France.
Tout d'abord, les racines absorbent l'eau et les sels minéraux ce qui constitue la sève brute de la plante. Cette sève se déplace jusqu'aux feuilles où elles absorbent le dioxyde de carbone ainsi que la lumière. Ensuite, les feuilles rejettent de l'oxygène et changent l'eau et le CO2 en glucose.
Leur parfum naturel peut aider à réduire le stress, l'anxiété et favoriser un sommeil réparateur. Les plantes émettent également de l'oxygène la nuit, améliorant ainsi la qualité de l'air dans votre chambre et favorisant un sommeil plus profond et revitalisant.
Les plantes odorantes
Leur parfum peut freiner l'endormissement et dérégler le rythme naturel du sommeil. Le jasmin, le narcisse ou les jacinthes sont de belles plantes d'intérieur à placer dans le salon ou le bureau. Par contre, la place d'une belle plante de ce type n'est pas dans la chambre.
Les bienfaits de l'aloe vera sont réputés en cosmétique, mais ils ne s'arrêtent pas là. Cette plante verte est d'une grande aide pour purifier l'air de votre chambre.
Le cactus pour dépolluer
Il agit comme un filtre pour nettoyer l'air qui nous entoure. Cet air chargé de polluants d'intérieur est potentiellement néfastes pour la santé. Tout comme l'Aloe Vera, le cactus aurait par ailleurs le pouvoir de bloquer les ondes électromagnétiques.
tilleul. Certainement le meilleur choix. Les allergiques aux abeilles devront cependant éviter d'y faire la sieste pendant la floraison de l'arbre (fin mai début juin selon les régions) qui fourmille alors de butineurs en tout genre, les abeilles en tête.
A savoir : le noyer libère à son pied des toxines, la juglone, agissant comme une sorte de « nettoyage » naturel, en désherbant le périmètre. Cette fonction ménagère lui vaut le dicton suivant « il ne faut jamais dormir sous un noyer, faute de quoi vous aurez la migraine ».
Depuis le Moyen Age, le noyer fait l'objet de superstitions. Il est dit que son ombre servirait de «salon des dames aux sorcières». Et que faire une sieste sous son feuillage rendrait malade, causerait des nausées et des maux de tête.
Le Paulownia a donc la capacité de purifier l'air en produisant plus d'oxygène qu'un arbre classique. Il est également capable de nettoyer les sols en absorbant de nombreuses poussières.
Le Paulownia Tomentosa ou arbre Kiri est originaire d'Asie. Ce spécimen surnommé l'arbre impérial pour sa majesté illustre parfaitement les différences qu'il peut exister entre les espèces d'arbres. Ainsi, grâce à ses super facultés de photosynthèse, le Kiri peut absorber jusqu'à dix fois plus de CO₂ que ses compères.
Mesurant aujourd'hui près de 116 mètres, le sequoia géant aurait entre 600 et 800 ans. Plus haut que la statue de la Liberté, il dépasse aussi de très loin les arbres les plus hauts des autres espèces : le plus grand arbre d'Europe, par exemple, un eucalyptus portugais, culmine à "seulement" 72 mètres.
À Locmélar, près de Landivisiau (Finistère), deux agriculteurs ont planté des arbres paulownia, qui poussent vite et absorbent jusqu'à 10 fois plus de CO2 que les autres. Explications. En quatre mois seulement, ces arbres ont poussé de près de quatre mètres.
Le chrysanthème ou les philodendrons sont de bons dépolluants de trichloréthylène, substance utilisée dans les peintures et les solvants.
Dans la chambre : une orchidée
Cette jolie plante fleurie, bien installée dans le Top 3 des fleurs préférées des Français, élimine les COV (Composés Organiques Volatils) ainsi que le formaldéhyde. Très décorative et quasi sans parfum, elle est idéale pour la chambre si elle peut profiter d'une belle lumière.
Le Sansevieria, communément appelé la langue de belle-mère ou snake plant, est une plante robuste connue pour sa capacité à produire de l'oxygène même en l'absence de lumière. C'est l'une des plantes d'intérieur les plus recommandées pour améliorer la qualité de l'air intérieur.
Tous les arbres sont efficaces pour absorber le CO
Nous pouvons donc raisonnablement affirmer qu'un arbre absorbe environ 25 kg de CO2 par an, sachant que c'est une moyenne et que chaque essence est particulière, que sa capacité d'absorption de CO2 varie selon l'âge, le climat, la luminosité et la nature du sol.