En effet, la Lune est souvent considérée comme dépourvue d'atmosphère, car elle n'absorbe pas de quantité mesurable de radiations, elle ne se décompose pas en couches et ne circule pas à la surface de la Lune.
Dans l'espace, il n'y a rien du tout, ni atmosphère ni oxygène. Personne ne peut donc y respirer. C'est pourquoi les astronautes qui travaillent à l'extérieur de la Station Spatiale Internationale doivent revêtir un scaphandre dans lequel ils reçoivent de l'air. Sur la Lune, il n'y a pas d'atmosphère.
Une fois sorti de l'atmosphère, donc dans l'espace, on est presque dans le vide, donc il n'y a quasiment plus rien donc plus d'oxygène du tout. Des organismes comme les tardigrades, capables de survivre longtemps sans respirer, peuvent supporter une exposition prolongée au vide de l'espace, mais pas nous.
Contrairement à ce que vous pouvez penser, il y a bien de l'air dans l'espace! Mais cet air est extraordinairement dilué. Ainsi, dans l'air que nous respirons, il y a environ 30 milliards de milliards de molécules d'air (azote + oxygène) par centimètre cube.
Sur Mars, l'atmosphère est très hostile pour les organismes qui ont besoin de dioxygène pour pouvoir vivre : la pression est environ 170 fois plus faible que sur Terre, car il y a très peu de molécules gazeuses présentes.
Leurs poumons captent de l'oxygène (appelé plus justement dioxygène) quand il est sous sa forme gazeuse. Mais les humains ne peuvent pas utiliser ce même dioxygène quand il est dissout dans l'eau.
Mars est aujourd'hui un monde désolé, balayé par les tempêtes de poussières, et plus aride que les déserts terrestres. Les températures moyennes, bien inférieures à 0°Celsius, et la faible pression atmosphérique, 6 hectopascals en moyenne, interdisent la présence d'eau liquide à sa surface.
Dans l'Univers la température atteint -272°C
La température la plus basse possible théoriquement est le zéro absolu à -273,15 °C. À cette température, les atomes ne bougent plus ! Même dans l'espace, loin de toute étoile, on ne peut pas descendre aussi bas.
Mais aujourd'hui, l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique (NOAA) a fixé la ligne de Kármán a une « frontière imaginaire » qui se trouve à environ 100 km d'altitude.
Vous ne pouvez pas verser d'eau dans un verre, mais vous pouvez l'aspirer d'un sac à l'aide d'une paille. Et c'est délicieux : après tout, cette eau provient vraisemblablement de transpiration et d'urine des membres de l'équipage.
L'air provient de bouteilles d'oxygène et d'azote transportées régulièrement par les fusées à la station ISS, car il n'y a pas d'air dans l'espace. Pour respirer, il faut reconstituer l'environnement ambiant et fabriquer de l'air artificiel.
Re : comment se fait la respiration en apesanteur ? Il sagit justement de convection forcée, pas naturelle. La convection naturelle nécessite de la pesanteur, la convection forcée nécessite un système mécanique de mise en mouvement du fluide (ventilateur, muscles, etc).
En ce qui concerne la pression, il s'agit de la pression atmosphérique qui est de l'ordre de 1 bar (environ 1 013 hPa). Il est possible d'envisager à ce niveau une discussion sur les conditions autorisant la vie sur Terre avec la relation entre distance au Soleil, température et présence d'eau liquide.
Que mange-t-on dans l'espace ? Habituellement dans l'espace, les astronautes mangent des plats lyophilisés. La lyophilisation est un principe de déshydratation d'un produit par le froid. Elle a d'ailleurs été développée par et pour la NASA.
Cette course à l'espace culmine en 1969 avec les premiers humains posant le pied sur la Lune lors de la mission Apollo 11 emportant Neil Armstrong et Buzz Aldrin. Dix autres astronautes de la NASA foulent ensuite le sol lunaire jusqu'à Apollo 17 en 1972.
La Terre effectue un tour complet sur son axe en un jour, de l'ouest vers l'est. Cette rotation est la cause du mouvement apparent du ciel en sens inverse : ainsi, les étoiles, la Lune, les planètes mais aussi le Soleil se lèvent vers l'est et traversent le ciel jusqu'à leur coucher en direction de l'ouest.
Le ciel est à la fois l'atmosphère terrestre, dans laquelle volent les oiseaux et courent les nuages, et la sphère céleste, au-delà de la perception de la distance, que l'on désigne par métaphore comme une voûte immense.
Aujourd'hui, on sait que l'espace est essentiellement constitué de vide. On sait que la lumière est capable de se propager sans matière, et les forces de gravitation qui permettent aux planètes de se déplacer n'ont pas non plus besoin d'un support matériel pour agir à distance.
C'est un constat qui se fait aisément en haute altitude, où l'eau bout en dessous de 100 °C, car l'atmosphère y est amoindrie et donc la pression également. De la même manière, de l'eau liquide placée dans une chambre à vide se mettra à bouillir rapidement et intensément.
Dans l'espace, il n'y a pas d'air. Les échanges de chaleur se font uniquement par échange de rayonnement, et pas par rayonnement et convection et conduction comme sur Terre.
Les scientifiques ont fait chuter un gaz quantique d'une tour pour dépasser le zéro absolu. Des physiciens allemands sont parvenus à produire la température la plus froide jamais enregistrée. Le zéro absolu, difficile à dépasser, est stabilisé à -273,15°C (soit 0 Kelvin).
La température en surface présente des extrêmes moins élevés, une atmosphère ténue fournit une certaine protection contre les rayonnements nocifs et constitue une source potentielle notamment d'oxygène tandis que l'eau est présente sous forme soit de glace soit de vapeur ou encore sous forme liquide en profondeur.
Cette couleur est attribuée aux petites poussières provenant de la surface désertique et poussées par de fortes tempêtes de vent. Cette poussière est composée en partie d'oxyde de fer, connu sur la Terre sous le nom de rouille.
L'eau s'évapore, forme la vapeur d'eau qui, en se transformant en pluie, va alimenter les mers, les cours d'eau et les nappes souterraines. Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme : l'eau change d'état au cours de son cycle, passant de l'état gazeux à l'état liquide ou à l'état solide.