L'affection peut survenir suite à un stress important, un changement alimentaire ou un dérèglement hormonal. Par ailleurs, diverses maladies génétiques peuvent causer cette affection, par exemple, l'alopécie de Pinkus ou le syndrome d'Hallermann Streiff François.
L'hypotrichose est une maladie, à la fois de la peau et du cuir chevelu, qui désigne un arrêt de toute croissance pilaire. Elle se traduit par l'absence de poils et de cheveux et touche : soit une partie du corps ; soit toutes les zones normalement couvertes de poils et de cheveux.
Stress, sommeil, cigarette, mauvaise alimentation, sont des facteurs qui peuvent rendre vos poils de barbe secs, ce qui les fragilise et fait qu'ils tombent plus rapidement.
Vous n'êtes pas sans savoir qu'à partir de la quarantaine, le niveau d'œstrogène ou de testostérone diminue. Ce phénomène s'accompagne alors d'une perte de cheveux ou de poils puisque le processus naturel de vieillissement affecte le cycle de croissance des cheveux/poils.
Le poil cesse toute forme de croissance et tombe. Ainsi, son cycle de vie s'achève pour laisser place à la pousse d'un nouveau poil.
On n'élimine réellement que 15 à 20 % du capital pilaire de la zone du corps. Ainsi, ceux qui sont en phase catagène et télogène repasseront en phase anagène. C'est à ce moment-là que l'on pourra les éliminer définitivement. Chaque poil a son propre cycle et leur phase peut durer plus ou moins longtemps.
La pelade des cheveux, aussi appelée alopécie en plaques (alopecia areata), est une maladie inflammatoire auto-immune. Elle concerne 2 % de la population mondiale. Elle affecte les cheveux, les poils du corps et parfois aussi les ongles.
C'est en fait la peau qui les rejette peu à peu. La chute des poils n'intervient finalement que plus tard. Il faut généralement attendre quelques jours, voire quelques semaines pour que les poils tombent. Certains patients attendent jusqu'à 3 semaines.
Les poils repousseront toujours, mais leur vitesse de croissance et leur densité peuvent varier selon la méthode d'épilation utilisée. Cela dit, une épilation régulière peut affaiblir le follicule pileux, ce qui peut rendre les poils plus fins et plus clairsemés.
C'est un cycle normal où les poils poussent, meurent et puis tombent. Dans certains cas, et ce tout à fait normalement, le poil peut tomber en plus grande quantité. C'est le cas en périodes de mue. Celles-ci s'observent deux fois par an, à l'automne et au printemps.
Enfin, sous l'effet du stress, une stimulation hormonale peut aussi provoquer la pousse soudaine de poils.
Les poils du visage sont ceux que l'on veut le moins voir repousser, car ils sont plus visibles que sur le reste du corps.
Il faut savoir que chez les jeunes filles l'apparition des poils survient quand elles ont 10 ou 11 ans. On est alors aux prémisses de la puberté.
Une pelade peut se manifester de manière fréquente et récidivante par une chute au niveau du cuir chevelu, des sourcils, des cils et d'autres zones pileuses de votre corps. La forme la plus fréquente se traduit par l'apparition de plaques rondes ou ovales de taille variable (de 1 à 4 cm de diamètre).
Les poils et les cheveux poussent selon des cycles. Chaque cycle est constitué d'une longue période de croissance suivie d'une brève phase transitoire, puis d'une brève phase de repos. Au terme de la phase de repos, le poil tombe et un nouveau poil commence à pousser dans le follicule, signant ainsi un nouveau cycle.
Quels sont les symptômes de l'alopécie ? Les symptômes de l'alopécie sont une perte partielle ou totale des cheveux. Dans le cas d'une alopécie aiguë, la perte de cheveux est massive et brutale.
La pelade par plaques est une forme auto-immune de perte de cheveux périodiquement observée en soins primaires. Les médecins de famille sont bien placés pour identifier la pelade par plaques, déterminer la gravité de la maladie et poser le diagnostic différentiel approprié.
Les conséquences que l'on connaît moins
Un autre cheveu blanc repoussera à sa suite. Mais arracher ce cheveu récalcitrant va à l'encontre de son cycle de renouvellement. Le scalp vit une véritable agression. Le follicule pileux – cavité dans laquelle le cheveu prend naissance – est alors béant.
Autre élément, le risque infectieux. En effet, le staphylocoque doré est présent dans la muqueuse du nez (mais aussi de la gorge) d'environ 15 à 30 % des individus. L'arrachage d'un poil peut rompre la barrière cutanée, engendrer une inflammation et permettre à la bactérie de se développer.
La faute à vos hormones
Avec l'âge et la ménopause, les hormones commencent à changer et, dans ce cas, des poils peuvent pousser là où il n'y en avait pas auparavant. « Toutes les femmes ont à la fois des œstrogènes et de la testostérone.
La vie du poil peut être divisée en trois phases : la phase anagène, phase de croissance (1 à 3 mois) ; la phase catagène, pendant laquelle le poil arrête de pousser (2 à 4 semaines) ; la phase télogène : le poil est poussé par un nouveau et tombe (3 à 6 mois).
Le taux d'hormones androgènes augmente à la puberté, ce qui permet de développer la pilosité commune aux deux sexes (aisselles, pubis). Ce taux reste toutefois 20 fois moins important chez la femme que chez l'homme.
Chute partielle ou complète des cheveux et, parfois, des poils (sourcils, cils, barbe, poils des aisselles, du pubis…). C'est un effet secondaire de certains médicaments de chimiothérapie et de la radiothérapie du crâne. Porter un casque réfrigérant lors des séances de chimiothérapie limite parfois la chute de cheveux.