Les rêves permettent de réguler les émotions. Pour certains cliniciens et chercheurs, les rêves sont une forme de « thérapie nocturne » qui aide à absorber et à intégrer les expériences émotionnelles personnelles, surtout les émotions négatives, dans la sécurité du sommeil.
Les émotions dominent l'univers des songes. Nos rêves peuvent être le reflet de notre état d'esprit, de nos inquiétudes comme de notre bonheur. Un rêve qui devient récurrent peut permettre à une personne de comprendre une situation qui l'indispose depuis un certain moment.
Les cauchemars surviennent souvent au cours d'une période où vous êtes très stressé. Peut-être avez-vous trop de travail, ou sentez-vous une tension ou un malaise parce que l'on attend trop de vous. La hantise de l'échec et de l'incertitude peuvent sans aucun doute mener à de « mauvais rêves ».
Le sommeil paradoxal est connu pour être celui des rêves. Attention : cela ne signifie pas que nous ne rêvons pas à d'autres moments au cours de la nuit. Mais cette phase est celle où nos rêves sont les plus intenses, les plus « concrets » et celle où surviennent les rêves dont nous allons nous souvenir au petit matin.
Une solution très efficace qui pourrait vous aider à dépasser vos rêves, c'est de les raconter. Trouvez un professionnel capable de comprendre et d'interpréter les évènements qui surviennent pendant vos rêves. Vous pouvez aussi les mettre par écrit, afin de mieux les analyser vous-même.
SOMMEIL - Se souvenir de ses rêves, ou pas, serait dû à une zone du cerveau plus réactive aux stimuli extérieurs, que des chercheurs français sont parvenus à identifier.
Le rêve est une activité mentale normale qui a lieu pendant le sommeil. Tout le monde rêve. En fait, on fait tous de trois à six rêves par nuit et on passe environ 25 % de son temps de sommeil à rêver – selon certains chercheurs, ce pourcentage pourrait même être nettement plus élevé!
Oui, nous rêvons chaque nuit. Mais les rêves sont compliqués et leur contenu peut être déroutant. Il n'y a rien d'étonnant au fait que nous oublions souvent une bonne partie de ce que nous rêvons. Certaines personnes prétendent même ne jamais rêver.
À chaque âge son besoin de sommeil
Les nouveau-nés (de 0 à 3 mois) : 14 à 17 heures. Les adolescents (14 à 17 ans) : 8 à 10 heures. Les adultes (26 à 64 ans) : 7 à 9 heures. Les personnes âgées (65 ans et +) : 7 à 8 heures.
Le cauchemar provoque des émotions tellement intenses que des zones du cerveau déconnectées pendant le sommeil se reconnectent brusquement avec la réalité. C'est un peu comme si une "alarme de secours" se déclenchait pour mettre fin à un sommeil devenu insupportable. »
Pour certains, les cauchemars peuvent survenir toutes les semaines, voire toutes les nuits, occupant constamment les esprits et les privant de repos. Bien qu'indispensables à la santé psychique, les cauchemars à répétition peuvent être le signe d'un déséquilibre lié à ce qu'il se passe dans nos vies.
Le mauvais rêve devient cauchemar lorsqu'il vous réveille en pleine nuit. Il traduit l'échec de ce processus de "digestion", explique le spécialiste. "L'émotion est tellement forte qu'elle réveille la personne et ne peut pas être digérée. Et tant qu'elle n'est pas digérée, le cauchemar revient".
L'interprétation populaire
Selon la diversité des cultures populaires, rêves et cauchemars peuvent être attribués à des esprits, fées, lutins ou autres entités de l'au-delà. Défunts, ancêtres peuvent également tenter, selon ces croyances, de communiquer à travers les rêves avec les vivants.
Production psychique survenant pendant le sommeil, et pouvant être partiellement mémorisée. 3. Fait de laisser aller librement son imagination ; idée chimérique : Un rêve éveillé.
L'absence de rêves peut survenir, par exemple, à la suite d'un accident vasculaire cérébral (AVC). Les lésions dans l'aire occipitale du cerveau constituent des facteurs de perturbation des rêves. Il en est de même à la suite d'un accident ou d'un traumatisme.
Il s'est d'abord appuyé sur les études précédemment menées par sa directrice de thèse, Perrine Ruby. Les travaux de cette spécialiste des rêves suggèrent que les grands rêveurs sont souvent plus anxieux et plus créatifs que les petits rêveurs, et présentent un profil plus artistique.
Les rêves plus tardifs dans la nuit étaient plus importants sur le plan émotionnel, plus variés dans leur orientation temporelle et plus associatifs que les rêves précoces.
Sur un électro-encéphalogramme, le sommeil lent profond est caractérisé par des ondes lentes et amples. La personne dort profondément et est difficile à réveiller. Au bout d'environ 60 à 75 minutes de sommeil profond, le sommeil paradoxal apparaît.
Insomnie psychophysiologique
On parle aussi d'insomnie chronique. L'idée est que la personne souffre tellement de ne pas dormir qu'elle finit par avoir peur de se coucher et de ne pas réussir à s'endormir : c'est une insomnie qui se nourri elle-même !
Rêver de son ex est typiquement un signe de nostalgie. C'est un songe qui perturbe quelque peu le rêveur puisqu'il évoque une intimité partagée avec quelqu'un, mais aussi une ancienne image de soi-même.
Le sommeil paradoxal (REM)
C'est le moment de rentrer dans le vif du sujet. Le sommeil paradoxal est la phase durant laquelle vous faites soit de beaux rêves soit d'horribles cauchemars. Même si vous êtes toujours plongée dans un sommeil profond, votre cerveau ne dort pas, il est en pleine d'activité !
L'agitation nocturne peut avoir une origine psychologique et être liée à une anxiété, des angoisses ou un traumatisme (accident, agression...), ce qui va favoriser le déclenchement de rêves agités ou de cauchemars. La personne qui cauchemarde peut alors se réveiller en pleine nuit et avoir du mal à se rendormir.