Causes du trouble de dépersonnalisation/déréalisation Le
La dépersonnalisation (parfois abrégé DP) est un symptôme psychologique dissociatif. Il s'agit d'un sentiment de perte de sens de soi-même, dans lequel un individu ne possède aucun contrôle de la situation.
Le stress, une mauvaise alimentation, une dette de sommeil, une consommation excessive de caféine ou une intolérance au gluten peuvent également expliquer des dysfonctionnements affectant l'humeur et pouvant conduire au sentiment de tristesse.
Il s'agit de la dépersonnalisation, un des symptômes fréquents de l'anxiété. Elle se caractérise par l'expérience prolongée ou récurrente d'un sentiment de détachement et d'une impression d'être devenu un observateur extérieur de son propre fonctionnement mental ou de son propre corps.
Un environnement désordonné ou bruyant peut engendrer du stress et de l'inconfort. Enfin, le sentiment de malaise chez soi peut aussi être lié à des problèmes de santé mentale tels que la dépression ou l'anxiété. Il est crucial de déterminer la cause de ce malaise pour pouvoir y faire face efficacement.
Fatigue réactionnelle : quand le corps ne supporte plus le stress. La fatigue réactionnelle est une forme de fatigue temporaire qui trouve son origine dans des perturbations du mode de vie (souvent un rythme de de vie exténuant et usant, des états de stress répétitifs) ou des maladies de courte durée.
Le trouble de la déréalisation est généralement déclenché par un stress intense ou un événement traumatisant, comme de la maltraitance physique, de la négligence pendant l'enfance ou d'autres sources de stress importantes que l'on subit ou dont on est témoin (accident, attentat, deuil, viol,...).
Prenez le temps de bien respirer et lâchez prise jusqu'à ce que les symptômes s'estompent après leur survenue ; apprenez à accepter les sensations qu'ils vous imposent. Cette approche peut être difficile à mettre en place, mais elle propose une alternative qui parfois réussit à éliminer totalement les symptômes.
La « récupération » a d'autant plus de chances de réussir lorsque ces troubles relèvent du stress. Le traitement le plus connu est l'usage est la psychothérapie ou la thérapie cognitivo-comportementales qui est l'une des solutions les plus plébiscitées pour guérir la dépersonnalisation et la déréalisation (chronique).
Le premier signe de la dépression est bien sur une profonde tristesse, elle est particulièrement douloureuse, incompréhensible et envahissante. Elle peut s'accompagner de pleurs inexpliqués et d'un sentiment de désespoir, de l'impression que tout va mal, que tout est noir, et que rien de positif ne peut nous advenir.
Le mal de vivre est souvent lié à des états dépressifs ou à des troubles émotifs. Ce profond et intime mal de vivre demeure traitable.
Excès de stress : Un sentiment de mal-être peut également survenir lorsque vous faites face à un problème spécifique dans votre vie qui vous stresse plus que vous ne le pensez. Dans ces cas, le fait de subir des niveaux élevés de stress peut entraîner une dérégulation émotionnelle ainsi que des sautes d'humeur.
Stress chronique : Parfois, vous pouvez être triste parce que vous traversez une situation stressante dans votre vie. En fait, la tristesse peut indiquer que ce stress est malsain pour vous. De plus, vivre trop de stress peut finir par provoquer une dérégulation émotionnelle ou des sautes d'humeur imprévisibles.
Pour éviter que la situation ne s'envenime, un seul mot d'ordre : ne pas rester seul. Plusieurs structures peuvent vous aider à sortir de cette mauvaise période. Bouleversements physiques et hormonaux, choix d'orientation, quête d'indépendance, nouveaux rapports à l'autre, découvertes des injustices du monde …
La peur de devenir fou est parfois la raison-même qui mène au premier rendez-vous avec le psychologue. Il s'agit souvent d'une grosse inquiétude, qui provient généralement de pensées intrusives automatiques et incontrôlables, qui sont souvent à caractère agressif (faire du mal à quelqu'un, à un enfant, à soi-même).
Associés à des symptômes psychiques, tels que fatigue morale, dépréciation de soi, sensation de déréalisation (comme si on vivait dans un film), angoisses et sensations de ne pas être reconnu à sa juste valeur. Si rien n'est fait, la troisième phase prend rapidement le relais.
Les médecins diagnostiquent un trouble dissociatif de l'identité sur la base de l'histoire de la personne et des symptômes : Les personnes ont deux identités ou plus, et leur sentiment d'être elles-mêmes et de pouvoir agir comme étant elles-mêmes est perturbé.
Changement d'humeur, perte de plaisir, découragement, agressivité Difficulté à assumer ses responsabilités, à prendre des décisions. Sentiment de débordement. Isolement ou baisse de participation aux activités.
Quand les nerfs lâchent, vous pouvez remarquer un certain nombre de symptômes cognitifs : une difficulté à vous concentrer, une perte de la mémoire, un sentiment de désorientation, une forte indécision et le sentiment de ne plus réussir à réfléchir clairement, comme si votre cerveau était empli de brouillard.
symptômes émotionnels : sensibilité et nervosité accrues, crises de larmes, angoisse, excitation, tristesse, sensation de mal-être… ; symptômes intellectuels : perturbation de la concentration entraînant des erreurs et des oublis, difficultés à prendre des initiatives ou des décisions…
Une déprime se caractérise par un sentiment de tristesse passagère qui peut être lié ou non à des raisons précises. Cependant, si l'état psychologique ne s'améliore pas après environ deux semaines, il est important de consulter, car il s'agit peut-être d'une dépression qui s'installe.
Émotionnelle / Morale : anxiété, déprime, abattement, manque d'estime de soi, susceptibilité, agressivité… Physique : fatigue, insomnies, atonie, troubles alimentaires, autres maladies plus ou moins graves (addictions, blocages divers, douleurs récurrentes…)
Selon l'Américaine Sherrie Bourg Carter, psychologue de profession, le fait de vivre dans une maison encombrée augmente logiquement l'exposition au stress. En effet, dans ce type d'environnement, notre esprit est beaucoup trop stimulé, aussi souvent — voire davantage — que lorsque l'on se promène dans un centre-ville.