La propension à se sentir illégitime sur le long terme découle souvent d'un manque de confiance en soi, cristallisé dans l'enfance.
Se sentir légitime c'est être convaincu que l'on a les compétences, les qualités, l'expérience, le savoir-faire nécessaires pour exercer son activité entrepreneuriale. A l'inverse, ne pas se sentir légitime, c'est avoir l'impression de ne pas être à la hauteur ou encore avoir peur d'être perçu comme incompétent.
Signe d'un problème de santé mentale : Lorsqu'une personne se sent trop souvent inutile, cela peut être le signe qu'un problème de santé mentale existe. Ainsi, dans ces cas, ces sentiments peuvent être dus à un trouble tel que l'anxiété ou la dépression.
Le syndrome de l'imposteur est un sentiment auto-entretenu d'incompétence et de doute en sa personne et ses compétences, et qui persiste malgré les succès scolaires et professionnels. Il s'agit essentiellement d'un conflit entre la perception que l'on se fait des autres et la façon dont on se perçoit soi-même.
Très répandu, le syndrome de l'imposteur donne à celui qui le vit le sentiment de ne pas mériter la place qu'il occupe. Il puise ses origines dans des ego malmenés et dans la nécessité que nous éprouvons de nous comparer aux autres.
Le syndrome de Noé, en anglais Animal Hoarding, est un terme qui désigne le fait d'accumuler chez soi plusieurs animaux alors que l'on ne peut les héberger, les nourrir et les soigner correctement.
Pulsion inconsciente motivée par l'envie de plaire, le syndrome de l'infirmière se traduit par la volonté de faire passer le bien-être des autres et de celui de son partenaire avant le sien. En outre, l'effet de ce mécanisme reposant sur l'empathie est pervers.
Le syndrome de Peter Pan ou SPP correspond à un refus de grandir. Non classifié parmi les maladies mentales, il se manifeste par un ensemble de signes liés à l'angoisse d'intégrer le monde des adultes. Ce complexe concerne généralement les jeunes de 20 à 25 ans, âge où commencent les premières responsabilités.
Qu'est-ce que le syndrome de Münchhausen ? Le syndrome de Münchhausen constitue un trouble psychologique où les sujets simulent ou provoquent volontairement des symptômes physiques ou psychiques sur sur eux-mêmes.
On parle d'un syndrome de l'imposteur lorsqu'une personne attribue ses succès à des facteurs extérieurs plutôt qu'à ses propres compétences. Doutant de la légitimé de ses succès, cette personne vit avec un sentiment de duperie et une crainte d'être démasquée.
La déprime peut être due à un déséquilibre de la chimie du cerveau lorsque la fabrication de certains neurotransmetteurs jouant sur la régulation de l'humeur comme la sérotonine ou la dopamine diminue. Ce déséquilibre hormonal peut provoquer un « coup de cafard », sans vraiment avoir de raison particulière.
L'apathie se caractérise par une perte de motivation, de désirs et d'émotions. Un comportement apathique peut être la conséquence d'un traumatisme émotionnel, de troubles psychologiques ou de lésions cérébrales.
Se sentir utile participe et nourrit l'estime de soi. L'estime de soi permet à son tour d'exprimer pleinement son potentiel et de trouver la manière d'exprimer sa voie (voix), de trouver le but de sa vie et donc d'être utile selon sa vision de la vie, ses valeurs.
Le syndrome d'Ondine est une maladie génétique rare due à une atteinte du système nerveux autonome. Il est caractérisé principalement par une hypoventilation alvéolaire sévère (hypercapnie associée éventuellement à une hypoxémie) due à une anomalie du contrôle autonomique de la respiration.
Le syndrome de Marfan est une maladie héréditaire rare du tissu conjonctif qui provoque des anomalies oculaires, osseuses, cardiaques, vasculaires, pulmonaires et au niveau du système nerveux central. Ce syndrome est causé par des mutations du gène codant pour une protéine qui s'appelle fibrilline.
Peut-on « attraper » le syndrome de Diogène ? Comme nous venons de le voir, c'est souvent un choc psychologique intense et brusque qui est à l'origine du syndrome de Diogène mais l'origine se situe bien souvent en amont, lors de la petite enfance.
Peu connu du grand public, le syndrome de Wendy affecte pourtant de nombreuses femmes. Prenant racine dans la célèbre histoire de Peter Pan, ce syndrome a été mis en exergue par le psychologue Dan Kiley. Sous le charmant nom de Wendy, ce syndrome traduit un besoin excessif de s'occuper d'autrui.
Il désigne la propension des otages ayant partagé longtemps la vie de leur geôlier à sympathiser avec eux et à adopter leur point de vue. L'histoire du syndrome remonte à un hold-up dans une banque commis à Stockholm en 1973 par deux évadés de prison qui prennent en otage quatre employés.
La peur de grandir
Cette peur s'explique notamment par la découverte de la réalité de l'âge adulte, souvent fantasmé quand on est enfant. Cette vie, "on l'imagine un peu sur les schémas de l'enfant, on se dit qu'on va faire ce qu'on veut. L'enfant est sans limite", explique Eudes Séméria.
Il y a toutefois quelques symptômes qui peuvent avancer l'hypothèse d'un syndrome de Münchhausen. Les patients ont tendance à se mutiler. Ils portent des traces de scarification. Ils peuvent aussi présenter des signes d'hypocondrie et demander fréquemment une assistance médicale qui s'avère inutile.
L'un·e des partenaires se dévoue pour l'autre dans le but d'être reconnu·e , d'exister. C'est ce qu'on appelle le "syndrome du sauveur". Un altruisme narcissique qui peut avoir des conséquences néfastes sur le sauveur et ses "sauvés", mais aussi sur le couple.
En situation de soins, le professionnalisme commande des attitudes et des comportements qui se distinguent de ceux généralement adoptés en famille ou dans un groupe social. Par exemple, auprès du malade, l'infirmière doit toujours adopter un agir sérieux, bienveillant, respectueux et responsable.
Depuis des mois, l'artiste belge finalise ce grand projet qu'il a appelé «Sillygomania». Ce terme est un dérivé du mot syllogomanie, qui décrit: «Un trouble qui consiste à accumuler pas mal de choses, pas mal d'objets. Ça évoque aussi une difficulté à faire le tri.