Des causes psychologiques : par exemple, vous avez dû prendre un appartement en solo suite à une séparation, un décès, un divorce ; vous avez dû déménager après une mutation ou un changement de situation professionnelle (chômage, etc).
Rester à la maison a des conséquences négatives sur notre bien-être psycho-physique. Selon une étude publiée dans la revue "Current Biology", cette habitude peut entraîner une augmentation du risque d'anxiété et d'insomnie.
Une maison plus agréable à vivre
C'est devenu un lieu où l'on passe de plus en plus de temps. 90% en milieu urbain, ce dont nous n'avons pas forcément conscience. Se sentir bien chez soi est devenu un enjeu majeur. C'est un gage d'efficacité, de bonne santé et donc de bien-être en société.
"Se sentir chez soi d'une manière heureuse, c'est construire un espace accueillant, où nous pouvons vivre et recevoir" Mais le fait qu'il y ait des déménagements heureux nous montre en profondeur ce que c'est qu'habiter quelque part, habiter dans un lieu, parce que précisément, nous pouvons habiter en plus d'un lieu.
Trouver la cause du malaise
Je me sens mal chez moi, OK, mais pourquoi ? Des causes psychologiques : par exemple, vous avez dû prendre un appartement en solo suite à une séparation, un décès, un divorce ; vous avez dû déménager après une mutation ou un changement de situation professionnelle (chômage, etc).
Se sentir utile participe et nourrit l'estime de soi. L'estime de soi permet à son tour d'exprimer pleinement son potentiel et de trouver la manière d'exprimer sa voie (voix), de trouver le but de sa vie et donc d'être utile selon sa vision de la vie, ses valeurs.
Il est largement prouvé que pour être heureux, il est indispensable que tout soit en ordre chez soi. Sans pour autant partir dans des extrêmes, sauf si vous êtes de nature maniaque, vivre dans un espace ordonné et rangé, permet d'être heureux et de mieux s'organiser au quotidien.
¤ de ses amis, pour apprendre à mieux se connaître (émotions, goûts…), pour s'affirmer, pour comprendre ce qu'il se passe en eux et en nous. On a besoin des autres dans la vie de tous les jours : pour partager ce que l'on vit, vivre des expériences, rire, se sentir bien !
Causes de la clinophilie
La clinophilie est un symptôme très peu spécifique d'une pathologie, qui peut se retrouver dans plusieurs maladies psychiatriques. Symptôme quasi constant dans la dépression, la clinophilie est alors liée à un manque d'élan vital, qui empêche de faire des choses, et de sortir de chez soi.
L'envie de rien, le manque d'appétit, la sensation désagréable de perdre le sens de son existence, tout cela traduit un mal de l'être. Ce dernier consiste en l'existence d'une émotion pénible, dépressive, qui domine le sujet.
GROS DORMEURS - Un sommeil prolongé pourrait annoncer de mauvaises nouvelles. Les adultes qui dorment plus de neuf heures par jour ont deux fois plus de risques de développer une maladie neurodégénérative dans les dix ans. Surpoids, dépression, tension artérielle…
Cette phobie d'être seul cache souvent un manque de confiance en soi et une mauvaise estime de soi. Il n'est pas rare de voir une personne autophobe souffrir de dépression. Le plus souvent, l'autophobie provient d'une blessure d'abandon importante que la personne a vécue.
Une tristesse inhabituelle, mêlant un sentiment d'angoisse et de " fatalité " Une perte d'intérêt et de plaisir qui touche tous les domaines de la vie quotidienne (amis, familles, loisirs, travail) Des symptômes qui durent dans le temps (plus de 15 jours) et perturbent beaucoup le quotidien de la personne.
Des études montrent que l'encombrement et le désordre provoquent de l'anxiété. « L'encombrement peut jouer un rôle important dans ce que nous ressentons à propos de notre maison, de notre lieu de travail et de nous-mêmes. Les maisons et les espaces de travail désordonnés nous laissent anxieux, impuissants et débordés.
Le bonheur peut être parfois complexe à atteindre ! Cultiver la conscience de soi, pratiquer l'auto-compassion et adopter une attitude positive sont autant d'aspects qui peuvent contribuer à votre bonheur.
Les bonnes relations nous rendent plus heureux et en meilleure santé. Les personnes qui sont les plus connectées avec leur famille, leurs amis, leur communauté, sont les plus heureuses. Elles sont physiquement en meilleure santé et vivent plus longtemps que celles qui sont moins bien connectées.
Trouble psychologique
Le mal être se manifeste le plus souvent par du stress, de l'angoisse, de la peur face aux difficultés. Ces troubles sont accompagnés d'un sentiment permanent d'être en situation d'échec. Cela accentue le manque d'estime de soi, ou la perte de confiance en soi.
S'isoler fait partie de nos besoins physiques et mentaux.
Arguant que la solitude nous aide à réguler nos émotions et peut avoir un effet calmant qui nous prépare à mieux nous engager avec autrui, Thuy-vy Thi Nguyen et ses collègues assurent que «la solitude ne nuit pas vraiment à la vie sociale».
Pourquoi avons-nous parfois l'impression de ne pas nous sentir à notre place ? Le sentiment de ne pas être à sa place peut être provoqué par diverses circonstances. Cependant, elles partagent tous la même essence : la disparité entre les inclinations ou préférences personnelles et le contexte extérieur.
Être en contact avec la vie
Pour vous sentir vivant, il est essentiel que vous soyez en contact avec la vie, les êtres vivants: avec des humains mais aussi avec la nature. Promenez-vous dans la colline, la montagne ou un parc (pour les plus citadins).
Assumer une responsabilité vis-à-vis de soi-même et de l'être humain pour qu'il puisse se sentir pleinement, épanoui et libre. Les choses qui nous font vivre sont vraiment faites d'un matériau sans égal: l'enthousiasme.