Tout d'abord, un point commun : le fait d'atteindre l'orgasme apporte une relaxation immédiate permettant de réduire le stress et l'anxiété. Et dans ces conditions de détente, le sommeil vient plus facilement, pour les deux sexes.
Ils ont constaté que le cortex cérébral masculin, siège de la conscience, se « déconnectait » pendant l'orgasme. Deux autres zones, le cortex cingulaire et l'amygdale entreraient également en jeu, en libérant des substances chimiques intervenant dans l'endormissement.
Les hormones sécrétées lors d'un rapport sexuel favorisent l'endormissement. « Le sexe est mon somnifère naturel ! » Alors qu'un gros tiers des Français se plaint de troubles réguliers du sommeil, Edgard n'a pas de souci particulier pour s'endormir et ne se réveille presque jamais au milieu de la nuit.
L'ocytocine dans l'étreinte amoureuse
Conjuguée à d'autres hormones, notamment l'endorphine et la dopamine, elle procure un sentiment de bien-être avant, pendant et après l'orgasme. Cette hormone dite de l'attachement agit en effet dès les échanges de regard jusqu'aux premières caresses.
Certains psychologues considèrent que certains individus ont des difficultés à se séparer de l'autre après l'acte sexuel. Ainsi, les personnes présentant une forte réactivité émotionnelle ont plus tendance à ressentir des émotions négatives (changements de l'humeur, irritabilité).
Hydratez-vous
« Boire de l'eau après un rapport sexuel peut vous aider à vous hydrater et à maintenir votre niveau d'énergie, car la stimulation sexuelle peut certainement épuiser les forces », conseille Sunny Rodgers. « Cela peut aussi aider à éliminer les bactéries des voies urinaires. Buvez à petites gorgées. »
Ejaculer régulièrement c'est BON pour la santé. Une étude étalée sur 18 ans a prouvé que les hommes ayant éjaculé plus de 21 fois par mois, présentaient moins de risques de développer un cancer de la prostate que ceux ayant éjaculé entre 4 et 7 fois. Un réduction de 20% tout de même.
Enfin, l'absence de rapports peut entraîner une baisse de l'estime personnelle, un climat de tension et d'insécurité au sein du couple ou encore un dysfonctionnement érectile pour l'homme.
La sexomnie est un "somnambulisme sexuel" qui concerne certaines personnes atteintes de troubles du sommeil. Cette maladie consiste en une envie obsessionnelle de sexe en dormant. Cela peut se traduire de manières plus ou moins inquiétantes.
Pendant l'amour, les récepteurs sensoriels et les neurones sont fortement stimulés. Mais après l'atteinte du plaisir, le corps et le cerveau se détendent progressivement. En quelques minutes, certains ont une capacité à rejoindre les bras de Morphée en un claquement de doigts. Les hommes sont davantage concernés.
Les parasomnies du sommeil lent profond comprennent les éveils confusionnels, les terreurs nocturnes et le somnambulisme. Les parasomnies associées au sommeil paradoxal incluent les cauchemars, les paralysies du sommeil et le trouble du comportement en sommeil paradoxal.
« La sexomnie n'est reconnue que depuis une quinzaine d'années, mais c'est une réalité. Les sexomniaques sont souvent somnambules à la base, mais des troubles comme l'apnée du sommeil peuvent aussi en être à l'origine. Les crises se déclenchent souvent quand le sujet est fatigué ou a bu de l'alcool. »
Les personnes atteintes de narcolepsie dorment beaucoup pendant la journée. Ainsi, la narcolepsie peut être invalidante et augmenter le risque d'accidents, notamment d'accidents de la route. La narcolepsie est présente tout au long de la vie, mais n'affecte pas l'espérance de vie.
Il s'agit d'une activité sexuelle inconsciente lors du sommeil. En effet, en dormant, le sexomniaque exprime soudainement une pulsion sexuelle pouvant aller de l'exhibitionnisme à des troubles involontaires du comportement, comme une masturbation, des gémissements voire un acte sexuel avec son/sa conjoint(e).
Avoir des pertes blanches pendant les rapports sexuels est sain et normal. Il s'agit de la réponse naturelle de votre corps à l'excitation. En effet, ces pertes participent à la lubrification. Ainsi, plus vous ressentirez de l'excitation, plus votre corps pourra produire de pertes blanches.
Le sildénafil (Viagra) est souvent préféré parce qu'il peut être pris juste avant l'acte sexuel.
Il est vrai qu'à 50 ans pour les femmes et 55 ans pour les hommes, la fréquence des relations sexuelles diminue. Elle passe en moyenne de 8 rapports sexuels par mois à 5 rapports sexuels par mois. Ce rythme se maintient au moins jusqu'à 69 ans qui est l'âge limite où les études s'arrêtent.
En effet, le rapport sexuel entraîne toujours une petite remontée de microbes dans l'urètre. Une fois présents, ces microbes ont tendance à remonter jusque dans la vessie, pouvant entraîner des infections urinaires récidivantes. Uriner provoque un effet de nettoyage, refoulant les microbes à l'extérieur.
Partager un lit en couple est associé à une augmentation et une stabilisation du sommeil et à la synchronisation des phases de sommeil. Bien que cela puisse parfois paraître très compliqué. La réalité est que dormir en couple peut avoir des effets très bénéfiques sur la santé.
Excellent anti-stress, la sécrétion d'endorphine en journée favorise l'endormissement à l'heure du coucher. L'endorphine produit également un effet excitant. Sécrété proche de l'heure du coucher, l'endorphine peut perturber le sommeil.
46% se tournent le dos pour dormir
46% des couples interrogés admettent se tourner le dos pour s'endormir. Pour Corinne Sweet, psychologue spécialisée dans les relations de couple, cette position traduirait une forme de confiance, voire d'innocence.
Il y a plusieurs raisons possibles. Tout d'abord, votre estomac est situé à gauche. Lorsque vous êtes allongé sur ce côté, il est placé à une hauteur inférieure à celle de votre œsophage, ce qui peut rendre plus difficile la remontée de l'acide gastrique dans ce dernier.
La plupart des adultes ne dorment pas seuls ; ils partagent leur lit avec un partenaire de vie, un enfant, ou un animal de compagnie un peu trop envahissant. Selon une étude récente, présentée au congrès annuel de l'American Academy Of Sleep Medicine, on dormirait mieux à deux que tout seul -- enfin...
La lulibérine est libérée au début de la relation sexuelle. C'est elle qui pousse à rechercher toujours plus de contact et de caresses. C'est l'hormone des préliminaires, en quelques sortes. Elle va laisser la place aux hormones du plaisir : Les endorphines.