L'huile de palme est extraite du fruit du palmier à huile, un arbre surtout cultivé en Asie du Sud-Est. Elle sert à fabriquer des centaines d'aliments : pâtes à tartiner, biscuits, glaces… Et aussi des produits de beauté : rouges à lèvres, gels douche… Et même du carburant pour faire du biocarburant.
elle a un effet conservateur naturel qui allonge la durée de conservation des produits alimentaires. L'huile de palme a de nombreux avantages. Il s'agit de la culture oléagineuse qui offre le rendement le plus élevé. Elle est, dès lors, très efficace.
L'huile de palme, star dans l'industrie
Sa forte concentration en acides gras saturés fait qu'elle est stable à l'oxydation, qu'elle résiste aux hautes températures et peut être conservée plus longtemps. L'huile de palme est aussi très rentable.
L'huile de palme est l'ingrédient qui assure la texture lisse et onctueuse ainsi que la stabilité unique de la recette de Nutella®. Lisse, parce qu'elle est semi-solide à température ambiante et a une stabilité plus longue que les autres huiles grâce également à notre manière de la traiter.
Nos engagements pour une huile de palme durable
C'est le niveau de certification le plus exigeant, puisqu'il est le seul à assurer une traçabilité depuis les plantations d'origine jusqu'à l'utilisation dans nos usines.
Près de 30 millions d'hectares
Pour la simple raison que deux des plus gros consommateurs d'huile de palme, l'Inde et la Chine, augmentent leurs importations – et leur production - de façon exponentielle : 10 millions de tonnes pour la première, près de 7 millions de tonnes pour la seconde.
L'huile de palme présente dans Nutella® provient d'une chaîne d'approvisionnement certifiée « ségrégée ». Issue de différentes plantations certifiées, elle est maintenue séparée de l'huile de palme ordinaire tout au long de la chaîne d'approvisionnement.
L'huile de palme fait partie des corps gras les plus controversés. En effet, cette huile pas comme les autres est extrêmement riche en acides gras saturés qui, consommés en excès, ont un impact négatif sur le système cardiovasculaire et la santé en général.
L'huile de palme présente dans l'alimentation a décidément tous les défauts possibles et inimaginables. Mauvaise pour l'environnement et la santé métabolique, l'huile de palme favoriserait également l'expansion des cancers, selon une nouvelle étude scientifique, parue ce 10 novembre 2021 dans la revue Nature.
5 639 ringgits (1 347 $). C'est le prix mondial de référence atteint par la tonne d'huile de palme brute sur le Bursa Malaysia Derivatives Exchange, le lundi 31 janvier dernier.
Avec plus de 76 millions de tonnes produites cette année - contre moins de 5 millions en 1980 -, l'huile de palme sera encore, de loin, l'huile végétale la plus consommée sur Terre. Elle est peu chère, son rendement est imbattable, et ses qualités techniques prisées par l'industrie ont fait son succès planétaire.
Sous sa forme actuelle, la production d'huile de palme est responsable d'une importante déforestation, elle contribue à la disparition de nombreuses espèces à l'image des Orangs-outangs, use de produits hautement toxiques et les conditions de travail dans les plantations y sont souvent déplorables.
L'huile de palme est réputée mauvaise pour la santé en raison de son fort taux d'acides gras saturés, qui augmentent le mauvais cholestérol.
Les principaux pays producteurs d'huile de palme dans le monde sont l'Indonésie et la Malaisie, qui représentaient en 2018 respectivement 58 % et 31 % de la production mondiale (source Département de l'agriculture des États-Unis, USDA).
À Sumatra, la population d'orangs-outans est de 7000 individus, tandis qu'à Bornéo, les effectifs de l'autre espèce sont plus importants et se situent dans une fourchette de 45.000 à 70.000 individus.
Premier producteur de pétrole d'Afrique et première économie du continent en termes de PIB, le Nigeria a donc décidé d'investir massivement dans l'huile de palme, dont il était le principal producteur mondial dans les années 1960.
Résultat : les huiles de maïs et de tournesol, riches en acides gras polyinsaturés, ont généré des niveaux très élevés d'aldéhyde, jusqu'à 20 fois plus que la concentration recommandée par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), à partir de 20 minutes de cuisson.
Les huiles à éviter sont l'huile de palme et de coprah, qui contiennent beaucoup d'acides gras saturés. Idem pour l'huile de coco, très utilisée et appréciée pour ses vertus, qui contient tout de même 85% d'acides gras saturés, contre 10 à 20% pour les huiles cités au-dessus.
Si une consommation excessive de graisses augmente à terme le risque de développer une maladie cardiovasculaire, toutes les matières grasses ne se valent pas et certaines sont même indispensables à l'organisme.
L'huile de colza est l'alliée de notre cœur. Elle est riche en oméga 3 et 6, ainsi qu'en antioxydants, notamment les vitamines E. L'huile de colza contient des quantités faibles d'acides gras saturés. Cette huile rejoint également les propriétés de l'huile d'olive en termes de santé cardiaque.
En ce qui concerne le poids, la réponse est simple : toutes les graisses, de quelque composition et de quelque provenance que ce soit, représentent le même apport calorique. La consommation d'huile de palme a les mêmes effets que l'huile d'olive ou de colza. Rappelons à ce sujet que les lipides ne « font pas grossir ».
Aliments : biscuits, céréales pour enfants, pâtes, gâteaux apéritifs, pain de mie, poisson pané, sardines en boîte, bouillon de poulet instantané, mayonnaise, sauce tomate, , chocolat, glaces..
Nutella contaminé : "pas de salmonelle" rassure Ferrero.
L'huile rouge est une huile vierge, bio, extraite des graines du palmier à huile et a une couleur rouge foncée dans son état naturel. Elle contient en majorité des acides palmitiques et oléiques et est saturée à 50%.
Voici le désastre provoqué par l'huile de palme, un des ingrédients clé du Nutella. « Cette huile extraite du fruit du palmier est un danger pour l'environnement puisque sa culture est la première cause de déforestation en Asie du Sud-Est, déclare sans ambages Cécile Leuba, expert des forêts chez Greenpeace France.