Pourquoi voulons nous être libres? Pour de nombreuses personnes la liberté représente l'abscence de contrainte, c'est pouvoir faire ce qui nous plait vous répondrons en majorité les individus. La liberté absolue, la liberté illimitée, le libre arbitre c'est certes le plus grand désir de l'homme.
Cela signifie que si l'on prive l'homme de sa liberté, alors, il n'est plus vraiment un homme. En effet, nous sommes des êtres doués de raison. La raison est ce qui permet à l'homme de comprendre les choses qui l'entourent.
Nous avons le sentiment d'être libre lorsque notre volonté agit selon ses envies, en vue d'obtenir du plaisir. La liberté est donc la possibilité de vivre selon son bon vouloir.
Au sens courant, la liberté c'est le pouvoir de faire ce que l'on veut en toute indépendance c'est-à-dire sans contrainte. Une contrainte c'est ce qui vient empêcher notre volonté de s'exercer et même ce qui peut venir appuyer, déterminer, peser, influencer notre volonté elle-même.
Qui a le pouvoir d'agir, de se déterminer à sa guise : Être libre de ses décisions. 5. Qui n'est soumis à aucune contrainte, à aucun contrôle, à aucune restriction : Avoir la libre disposition d'un bien.
Prendre conscience du caractère néfaste d'un acte commis librement et accepter la punition qui en découle rationnellement seraient donc une forme de liberté innée chez l'être humain « libre ». Dans ce sens « vouloir » être responsable rationnellement peut constituer une forme de liberté chez l'être humain.
La liberté est le pouvoir qui appartient à l'homme de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits d'autrui; elle a pour principe la nature, pour règle la justice, pour sauvegarde la loi; sa limite morale est dans cette maxime : Ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu'il te soit fait.
Elle n'est pas un état, mais un processus. Pour l'homme, la liberté consiste à devenir la vraie cause de ses choix et donc de son action. Si nous reprenons les termes de Spinoza, la liberté revient à agir selon la seule nécessité de sa nature.
Pour commencer, on peut définir la liberté comme la possibilité qu'a une personne de penser, de s'exprimer et d'agir selon ses valeurs, ses croyances, ses besoins et ses désirs. La liberté permet, par exemple, à une personne de faire des choix.
La liberté c'est d'avoir le choix, donc il y a plusieurs possibilités. Mais si les choix sont vraiment équivalents, on ne peut pas choisir car chaque choix en reviendrait au même: c'est la liberté d'indifférence, qui est le plus bas de la liberté. La liberté de différence semble être une illusion.
Le bonheur et la liberté sont deux concepts qui peuvent être définis soit objectivement soit subjectivement. La liberté aurait davantage de valeur que le bonheur. L'homme prend conscience de sa liberté lorsqu'il en est privé et dans son rapport avec la mort.
Les différentes formes de liberté :
Liberté naturelle : en vertu du droit naturel. Liberté civile : en respectant les lois. Liberté politique : pouvoir exercer une activité politique, adhérer à un parti, militer, élire des représentants...
La liberté est la valeur première et le corollaire absolu de l'être humain. Elle a donc, comme lui, un passé, un présent et un avenir, même si, selon les époques et les géographies, elle connaît des sorts divers.
Individuellement comme collectivement, l'on ne peut exercer sa liberté sans assumer la responsabilité qui va avec, à l'égard de soi-même et des autres. C'est pourquoi la liberté, qui donne à la vie sa saveur, lui donne aussi sa dignité.
Il y aurait une liberté naturelle de l'homme – puisque les hommes naissent libres. c'est encore cette liberté naturelle que Rousseau attribue à son sauvage et qui est tellement consubstantielle l'homme que renoncer à sa liberté ce serait renoncer à sa qualité d'homme.
Locution nominale
Homme qui n'est pas soumis au servage ou à l'esclavage.
Au sens courant, la liberté est perçue comme l'absence de contrainte qui accompagnerait « la conscience d'un pouvoir indéterminé et la capacité d'un commencement absolu », qui s'exprime plus vulgairement dans l'expression « de pouvoir faire tout ce que l'on désire ».
Liberté d'opinion, liberté d'aller et venir, liberté syndicale… Le droit français comprend des "droits-libertés" consacrés par les textes. L'État peut les restreindre, notamment pour des raisons de sécurité.
Epictète, qui était né esclave, formule, peut-être le premier, une théorie de la liberté : « ce qui dépend de nous est libre, ce qui ne dépend pas de notre volonté est asservi ». Autrement dit, nous sommes totalement libres de notre imagination, de nos idées, de nos rêves, même si nous sommes empêchés d'agir.
Etre libre, c'est agir relativement à une loi que l'on s'est donné soi-même à partir de l'usage de la raison, de façon impérative et non selon les lois de la nature et de sa petite sensibilité. La liberté : l'autonomie de la volonté et celle-ci est la loi morale.
Ces limites sont nécessaires car elles permettent d'assurer le bon fonctionnement de la société. Toutes les libertés sont concernées, y compris par exemple la liberté de conscience. Ainsi, dans le cadre de la démocratie française, chacun est autorisé à croire ou non en un Dieu.
Sachez qu'être libre c'est se donner le droit d'être soi-même. C'est oser écouter ses besoins même s'ils ne correspondent pas aux attentes des autres. C'est sentir que nous sommes le seul maître de notre vie.
Si être libre, c'est être soi, en cohérence avec sa « nature essentielle », comment se débarrasser des contraintes qui nous freinent ? La thérapie est un bon moyen, mais ce n'est pas le seul. Conquérir sa liberté intérieure est le travail de toute une vie.
La dépendance est un autre obstacle à la liberté intérieure. Il peut s'agir d'une dépendance à un objet, une substance, une relation, une habitude. Être dépendant, c'est ne plus pouvoir se passer de quelque chose, c'est perdre sa liberté.