D'abord à cause de sa taille : la Grande Ourse est la 3ème constellation la plus étendue de notre ciel. Mais aussi par sa constance : pour les peuples vivant au-dessus du 41ème parallèle nord, la Grande Ourse est visible toutes les nuits de l'année.
C'est simplement que les étoiles sont extrêmement plus loin que la taille de l'orbite de la Terre. Donc par rapport à elles, on ne bouge pas.
Les étoiles de la Grande Ourse peuvent être regardées comme les pattes arrière d'un ours et sa queue. La constellation d'Ursa Major est particulièrement bien visible au mois d'avril aux alentours de 21 h.
Parmi ces constellations que nous voyons toute l'année, citons les très célèbres Grande Ourse (les 7 plus brillantes forment l'astérisme de la Grande Casserole) et Petite Ourse, le Dragon qui serpente entre elles, Cassiopée et son mari Céphée. Au fil de la nuit, les constellations se déplacent dans le ciel.
Parce que le côté nocturne de la Terre est orienté différemment selon la saison, les constellations que nous observons ne sont pas les mêmes. En effet, en un mois, la Terre a parcouru un douzième de son orbite et le côté nuit s'est décalé d'un douzième de tour.
vidéo L'astre principal de la constellation du Grand Chien offre d'étonnants changements d'éclat et de couleur.
Après avoir désagrégé ses couches extérieures, l'étoile se concentre pour devenir une naine blanche très dense. Une simple cuiller à café de matière d'une naine blanche pourrait peser jusqu'à 100 tonnes. Sur une période de plusieurs milliards d'années, la naine blanche se refroidit et devient invisible.
Vénus brille si intensément que lorsqu'elle est visible, c'est la première “étoile” à apparaître dans le ciel après le coucher du Soleil ou au contraire la dernière à disparaître à l'aube.
La Grande ourse
Visible toute l'année, c'est certainement la constellation la plus connue de toutes car ses étoiles principales, toutes assez brillantes, prennent la forme d'une casserole caractéristique.
Elles sont faciles à distinguer, même dans un ciel urbain de qualité moyenne, et vous les avez sûrement déjà remarquées s'il vous arrive de regarder la voûte céleste : elles s'appellent Alnitak, Alnilam et Mintaka, mais on les surnomme souvent les trois rois ou le baudrier d'Orion.
Dans le ciel, la Grande Ourse et la Petite Ourse sont l'une en face de l'autre, mais dans un sens inversé. Pour identifier facilement la Petite Ourse, il faut partir de la Grande Ourse : repérer le bord formé par les deux étoiles qui se trouvent à l'extrémité de la constellation, à l'opposé du manche de la casserole.
Ces étoiles clignotent déjà du fait qu'elle sont relativement basse sur l'horizon et qu'elle sont très brillantes: Elle traversent beaucoup plus d'épaisseur d'atmosphère pour nous atteindre qu'une étoile au zénith, il y a plus d'"impurté" à traversé pour la lumière et ces "impurtés" bougent ce qui fait que des fois ...
Dubhe (α UMa), Merak (β UMa), Phecda (γ UMa), Megrez (δ UMa), Alioth (ε UMa), Mizar (ζ UMa) et Alkaid (η UMa) forment l'un des astérismes les plus connus : la « Casserole » (ou parfois, le « Chariot », ou encore la « Cuillère ») de la Grande Ourse.
Nous voyons effectivement tous les mêmes étoiles. L'espace qui nous entoure est le même pour tout le monde. Cependant, nous ne pouvons pas tous observer simultanément la même portion du ciel.
Pourquoi l'étoire Polaire ne bouge pas ? Les étoiles semblent se déplacer au cours de la nuit, mais en réalité, il n'en est rien. Les étoiles ne bougent pas, c'est la Terre qui, en tournant, nous donne cette impression. Mais l'étoile Polaire échappe à la règle et demeure toujours au même endroit.
En effet, celle ci indique toujours la direction du Nord. Cependant il faut déjà réussir à localiser l'étoile polaire ! Pour cela la méthode la plus simple est d'utiliser la plus célèbre des constellations de notre hémisphère : la Grande Ourse. Commence donc à chercher la Grande Ourse autour de toi.
Avec 250 fois la masse du Soleil, R136a1 est de loin l'étoile la plus massive connue. Actuellement, elle brille autant que 10 millions de soleils ! Les astronomes s'interrogent sur les processus qui ont pu engendrer un tel gigantisme, car les limites théoriques sont de 150 masses solaires.
Sirius « l'ardente », l'étoile la plus brillante du ciel
Impossible de la manquer par une belle soirée d'hiver, elle scintille de toutes les couleurs au-dessus de l'horizon sud, dans la constellation du Grand Chien (Canis Majoris). Au-dessus d'elle, le chasseur Orion qu'elle accompagne.
L'étoile Sirius, phare céleste.
Il s'agit de Epsilon Aurigae, une étoile binaire à éclipse située à une distance d'environ 2 000 années-lumière.
« L'Étoile du Berger , n'est en réalité pas une étoile mais une planète : c'est Vénus. Et on la voit au coucher du soleil. C'est de là qu'elle tire son nom : quand les bergers la voyaient, ils savaient donc qu'ils pouvaient rentrer leurs bêtes », explique Sandrine Morel. Elle représente donc un bon repère temporel.
Sirius est une étoile située très bas sur l'horizon et la lumière qu'elle émet doit traverser une grande distance d'atmosphère pour nous parvenir. Ce sont les turbulences présentes dans cette atmosphère qui dévient les rayons lumineux et produisent cet effet de clignotement de l'étoile.
Sol est le nom et la personnification du soleil, comme en latin. Le terme est fréquemment utilisé en science-fiction comme nom formel de l'étoile.
La naissance des étoiles ou formation stellaire, voire stellogénèse ou stellogonie, est un domaine de recherche en astrophysique, qui consiste en l'étude des modes de formation des étoiles et des systèmes planétaires. Les étoiles en formation sont fréquemment appelées « étoiles jeunes ».
Le carburant d'une étoile, c'est la matière dont elle est formée, soit essentiellement de l'hydrogène et un peu d'hélium. Plus une étoile est massive, plus elle va fabriquer des éléments chimiques lourds.