Lors de la pleine Lune, notre satellite est à « l'opposition », c'est-à-dire de l'autre côté de la Terre par rapport au Soleil. Sur Terre, là où il fait nuit, nous voyons la lumière du Soleil éclairer l'intégralité de la face de la Lune et celle-ci se lève puis se couche lorsque le Soleil, lui, se couche puis se lève.
Pour voir la Lune dans la journée, deux conditions doivent être réunies : Il faut que la Lune soit éclairée par le Soleil, mais sans en être trop proche. En phase de pleine lune par exemple, cette dernière se trouve entre le Soleil et la Terre. Sa face visible n'est pas éclairée.
Pour voir la Lune il faut deux circonstances, elle doit être brillante et elle doit être levée. A la Pleine Lune, la Lune est à l'opposé du Soleil, elle se lève lorsque le Soleil se couche et se couche lorsque le Soleil se lève, on la voit donc toute la nuit et on voit la totalité de sa face éclairée.
L'alternance des jours et des nuits s'explique par le fait que la terre tourne sans arrêt sur elle-même devant le soleil. Elle se retrouve donc alternativement face au soleil ou dos au soleil. Il fait nuit lorsqu'un endroit de la terre se trouve à l'opposé de la lumière du soleil.
Comment expliquer l'alternance jour et nuit ? La Terre tourne autour du Soleil et elle tourne sur elle-même, à partir d'un axe de rotation qui passe par le pôle Nord et le pôle Sud. Lorsque la Terre effectue un tour complet sur elle-même en 24 heures, c'est ce qui provoque l'alternance des jours et des nuits.
« Un phénomène qui se déroule lorsque la Lune passe devant le Soleil. Quand les conditions sont réunies, le passage de Lune devant le soleil créé une zone d'ombre, et c'est ce phénomène que l'on appelle une éclipse solaire. » Mais il ne faut pas s'y tromper, « cela n'a aucun effet sur la Terre.
L'absence de gaz à effet de serre ne protège pas la Lune des radiations solaires ni des fortes amplitudes de températures, qui atteignent +120°C le jour, tandis que pendant la nuit, celle-ci descend à -170°C, avec des pointes à -230°C dans le fond des cratères du pôle sud.
La teinte rouge, parfois cuivrée plus ou moins intensément, apparaît donc grâce à la réfraction de la lumière de la Terre autour de l'atmosphère et sa retombée sur la surface de la Lune.
Le 30 décembre 2024, nous verrons une lune noire, car ce sera la deuxième nouvelle lune en un seul mois civil. La nouvelle lune du 19 mai 2023 pourrait être qualifiée de « lune noire », car elle sera la troisième des quatre nouvelles lunes de ce mois.
La belle histoire de la lune verte
Très rare, cet événement ne se produirait qu'une fois tous les 420 ans, offrant par la même occasion un spectacle astronomique unique en son genre. Sauf que voilà, dans les faits, cette histoire n'est qu'un gigantesque hoax en circulation depuis 2016.
Les mers lunaires, ou maria lunaires en latin (au singulier mare), sont des plaines basaltiques grandes et sombres sur la Lune, formées par d'anciennes coulées volcaniques et causées par l'impact de très grosses météorites.
Les scientifiques pensent que la Lune s'est formée suite à une collision entre la Terre primordiale et une protoplanète. Une nouvelle analyse des roches lunaires renforce cette hypothèse.
Seulement voilà, contrairement à ce qu'on peut imaginer, la Lune ne brille pas, elle reflète uniquement la lumière du Soleil. Et pendant sa révolution autour de la Terre, on voit tout ou seulement une partie de la face éclairée de la Lune. Ces changements de forme, on les appelle les phases de la Lune !
« En pleine lune, c'est la phase visible de la Terre qui est éclairée par le Soleil. En nouvelle lune, c'est la face cachée qui est éclairée. Entre les deux, on constate bien qu'il y a une partie éclairée (là où il fait jour) et une noire (là où il fait nuit) », poursuit Eric Chariot.
Réponse : L'ombre de la Lune passe régulièrement sous la Terre et celle de la Terre régulièrement sous la Lune car le plan de l'orbite de la Lune autour de la Terre et le plan de l'écliptique ne sont pas confondus.
Il s'agit d'une pleine Lune, certes, mais pas n'importe laquelle : cette fois elle sera plus visible que jamais, elle apparaîtra 14% plus grande et sera 30% plus lumineuse. Le phénomène, aussi appelé "périgée-syzygie", se produit lorsque l'orbite de la Lune est la plus proche de la Terre et que la Lune est pleine.
"L'odeur de la poussière de pierre, une odeur sèche avec des notes de charbon, de brûlé et puis des notes de souffre", décrit-il. "Grosso modo, c'est cette odeur de la poudre noire brûlée."
Les trous sur la Lune s'appellent en réalité « cratères » et ont été formés par des chutes de météorites.
Un pouvoir sur les journées et les saisons. La Lune, toujours par son pouvoir d'attraction, maintient également notre Terre sur un axe légèrement penché, entre 22 et 25 degrés. Elle a ainsi un rôle de "géant stabilisateur". Sans elle, notre planète effectuerait sa rotation de manière chaotique, à l'image de Mars.
Jupiter est la cinquième planète à partir du Soleil et aussi la plus grosse du Système solaire. Comme toutes les autres planètes, Jupiter s'est probablement formée dans un grand nuage de gaz, de poussière et de glace.
Dans Moonfall, l'attraction gravitationnelle entre les deux astres a des effets cataclysmiques sur la planète Terre. Mais la plus grande liberté que prend le film est peut-être le fait que la Lune n'est pas un satellite naturel, mais une mégastructure artificielle créée et habitée par d'anciens extraterrestres.
En résumé , la Lune : Elle n'est pas une planète → car les planètes tournent autour d'étoiles et la Lune, elle, tourne autour d'une planète. Elle n'est pas une étoile → car elle n'émet pas elle-même de lumière (c'est notre Soleil qui émet de la lumière). Elle est un satellite → elle tourne autour de la planète Terre .
Il ajoute que la Lune ne reflète la lumière d'aucune autre façon. Et il conclut que les taches sombres sont dues au fait que les surfaces en question sont recouvertes d'une matière qui, en raison de propriétés optiques différentes du reste de la surface lunaire, reflète tout simplement moins de lumière.
Il y a de l'eau sur la Lune. Ils sont peu nombreux ceux qui en doutent encore aujourd'hui tant les observations orbitales et les analyses d'échantillons semblent en apporter la preuve. Fin 2020, la Nasa a même confirmé la présence de molécules d'eau (H20) à la surface de notre satellite.